Cookies

Utilisation des cookies

Pour le bon fonctionnement du site, nous utilisons des cookies techniques qui permettent de gérer votre connexion.
Nous utilisons des cookies Google Analytics pour le suivi anonyme de la navigation. Vous pouvez désactiver ces derniers à tout moment ici.

Confirmation

Par défaut, nous conservons votre acceptation durant 13 mois.
Gérez vos cookies ici.



Personnaliser

Black Book Éditions, le site de référence des jeux de rôle

Les concepts ou mécaniques de jeu avec lesquels vous avez de plus en plus de mal... 371

Forums > Gnomes & liches

avatar
NooB294044

En même temps pourquoi cela baisserait ? Les campagnes du commerce qui te montent du niveau 1 au niveau 15 s'étalent jamais sur plus d'un an ou deux en temps de jeu. Avec un perso niveau 1 de 18 ans et qui arrive niveau 15 à 20 ans, l'effet de la vieillesse c'est très surfait mort de rire (et puis à force de boire des potions de points de vie, il doit bien y avoir un effet secondaire anti vieillissement à la longue^^)

avatar

En même temps pourquoi cela baisserait ? Les campagnes du commerce qui te montent du niveau 1 au niveau 15 s'étalent jamais sur plus d'un an ou deux en temps de jeu. Avec un perso niveau 1 de 18 ans et qui arrive niveau 15 à 20 ans, l'effet de la vieillesse c'est très surfait mort de rire

jayjay37

C'est vrai. mort de rire

Reste que savoir que pour jouer un personnage qui a +4 de compétence en Histoire, je dois non pas lui faire étudier l'histoire, mais lui faire tuer plein de monstres et de gens, et que ce +4 en Histoire s'accompagnera de whatmille PV et d'une compétence bien plus grande en poutrage de son prochain, ben j'aime pas. Jadis, j'ai aimé, hein, mais maintenant non, j'aspire à autre chose.

PS. Si Jacques Le Goff avait été un personnage de D&D 5, il aurait du finir sa vie avec plus de PV que Tiamat, ou presque. démon

Ce message a reçu 1 réponse de
  • jayjay37
avatar
NooB294044

Si tu fais de la montée en niveau quand l'histoire en a besoin et sans XP, cela va quand même beaucoup mieux, et D&D c'est du pur ludique pour moi cette montée en niveau. Et la montée en Histoire, dans des mondes comme D&D c'est plus de l'oral glanée au fur et à mesure des voyages/rencontres que des études en université (c'est souvent du hors champ par rapport au scénario, une montée qui n'est pas racontée pendant la partie mais consolidé en ellipse lors de la montée en niveau).Du coup cela peut s'expliquer aussi. Il faut aussi noter que cette compétence Histoire n'est pas là pour que le perso enseigne ou écrive des livres ou fasse une thése ou devienne un puit de science, on n'est pas dans une optique moderne de la matière.

avatar

Si tu fais de la montée en niveau quand l'histoire en a besoin et sans XP, cela va quand même beaucoup mieux, et D&D c'est du pur ludique pour moi cette montée en niveau. Et la montée en Histoire, dans des mondes comme D&D c'est plus de l'oral glanée au fur et à mesure des voyages/rencontres (c'est souvent du hors champ par rapport au scénario, une montée qui n'est pas racontée pendant la partie mais consolidé en ellipse lors de la montée en niveau) que des études en université.Du coup cela peut s'expliquer aussi.

jayjay37

Je comprends, mais je ne suis pas tout à fait d'accord : un monde comme les Royaumes Oubliés n'est pas un Dark Ages, il y a une tradition académique très importante, avec de grands savants qui ont passé une vie d'études érudites et cloîtrées et qui n'ont jamais tué rien de plus gros d'une poulet. Du reste, j'ai pris Histoire, j'aurais pu prendre n'importe quelle autre compétence, bien évidemment.

Ce message a reçu 1 réponse de
  • jayjay37
avatar
NooB294044

Les règles sont faites pour de jeunes et fougueux aventuriers pas pour des vieux pantouflards d'universitaires^^

Au MJ de savoir la différence entre un +4 en Histoire pour un voleur de 20 ans et un universitaire de 70 ans en terme de contenu sur le résultat du jet. L'échelle varie. A résultat égal, le contenu sera drastiquement différent d'un personnage à l'autre.

avatar
Rankkor

Après pour STAR WARS c'est cohérent, il suffit de voir dans THE MANDALORIAN la facilité avec laquelle un jedi dérouille des ennemis avec lesquels un chasseur de primes galère. Je crois que les jedis ont des limitations, d'armure et d'armement. En gros ils ont juste leur robe et un sabre-laser. Et le MJ ne devrait accepter que les archétypes aux pouvoirs limités : jeune jedi, jedi raté (autant dire alcolo)...

Ce message a reçu 1 réponse de
  • Julien Dutel
avatar
Noob

Ou utiliser un jeu où il est prévu que cette asymétrie de puissance ne provoque pas d'asymétrie d'action. Dr Who et Buffy/Angel le font parfaitement par exemple.

Ce message a reçu 1 réponse de
  • Noob
avatar

Les règles sont faites pour de jeunes et fougueux aventuriers pas pour des vieux pantouflards d'universitaires^^

jayjay37

Quand bien même. Pourquoi le jeune Gilgamesh qui défait Enkidu serait-il d'un niveau plus bas que le Gilgamesh qui va à la rencontre d'Ut-Napishtim ? Ne serait-ce pas plutôt l'inverse ? Evidemment, je crois en la mesure de la puissance d'un personnage d'un point de vue de la narration, qu'un Gilgamesh serait d'un niveau très supérieur au péquin de base, mais je ne crois au concept de "tous démarrent au niveau 1 et augmentent".

Pour moi, il y a derrière ce paradigme un côté... pseudo-nietzschéen (pour rester poli) qui ne me plait pas. Je sais bien que cela hérisse le poil de certains (je ne t'y inclue pas) de lire qu'on pourrait ne pas aimer ce côté-là. Mais je me sens tout à fait le droit de ne pas aimer.

Ce message a reçu 1 réponse de
  • jayjay37
avatar
Julien Dutel

Ou faire un groupe de PJ tous jedis. C'est un peu ce qu'ils ont fait avec FORCE & DESTINEE. Cela dit j'ai oublié un autre désavantage : le jedi se bat au corps à corps il n'a pas d'arme à distance. En plus, dès qu'il dégaine, il est traqué, la période se déroulant pendant la chasse des jedis Donc ça n'est pas forcément un bon plan de jouer un jedi dans STAR WARS.

avatar
NooB294044

C'est juste parce que ce concept de "tous démarrent au niveau 1 et augmentent" n'est pas un concept narratif mais ludique. Quand je joue à D&D le curseur est plus poussé vers l'aspect jeu (au sens technique du terme, jeu de plateau, règles..) que vers l'aspect rôle (au sens narratif, créatif).Quand je joue à Maléfices, le curseur s'inverse. C'est pour ça que je pratique les deux^^.

Ce message a reçu 1 réponse de
  • Julien Dutel
avatar
jayjay37

C'est ça, en fait, le jeu a son paradigme qui est clair, il n'est pas fait pour tout émuler (et c'est d'ailleurs tant mieux). Pour émuler des histoires mythologique, peut-être vaut-il mieux se tourner vers Heroquest/Herowars, qui est parfait pour ça.

avatar

C'est juste parce que ce concept de "tous démarrent au niveau 1 et augmentent" n'est pas un concept narratif mais ludique. Quand je joue à D&D le curseur est plus poussé vers l'aspect jeu (au sens technique du terme, jeu de plateau) que vers l'aspect rôle (au sens narratif, créatif).Quand je joue à Maléfices, le curseur s'inverse. C'est pour ça que je pratique les deux^^.

jayjay37

Tout à fait. D'ailleurs, comme je l'ai dit précédemment, ne pas aimer les niveaux ne m'empèche pas de jouer à D&D aussi. clin d'oeil

avatar
Rankkor
[message supprimé]
Ce message a reçu 2 réponses de
  • NooB294044
  • et
  • Fabien4927
avatar

Voilà, pour schématiser le gros souci des jdrs à niveaux, notamment quand les PV y sont corrélés.

Du coup le soucis c'est que ça ne correspond pas à ce que tu attends d'un jeu quoi. Ce n'est pas un soucis en soit, alors. (en plus de ça, je ne sais pas pour l'ON mais les PV, ne l'oublions jamais, dans D&D5 ne sont pas des blessures.

[citation supprimée]

La vitesse de passage de niveau dans D&D5 n'est que le fait du MJ et de la campagne. Si une campagne doit mener des personnages du niveau 1 au niveau 20 sur 70 ans dans l'univers, c'est possible. On n'est pas obligé de monter de niveau toutes les 4 séances. plaisantin

Il y a même des tables où on met de plus en plus de temps à passer un niveau au fur et à mesure des montées (du coup les permiers niveaux vont vite, les derniers niveaux prennent des mois - du monde réel - de jeu)

Ce message a reçu 1 réponse de
  • Utilisateur anonyme
avatar

Sérieusement ? Ben, prenons D&D 5 par exemple, déjà, je trouve complètement absurde que pour avoir plus en Histoire, tu dois monter de niveau, donc être meilleur en combat, avoir plus de PV, et que toutes tes autres compétences maîtrisées augmentent, sans parler des nouvelles capacités. En plus, je ne crois pas en l'idée d'une progression positive mais jamais négative de l'ensemble des potentialités, à dire vrai, je trouve cela totalement ***. Non, quand on vieillit (parce que, pour augmenter de niveau, il faut aller vers un "après", donc vieillir), tout n'augmente pas, certains trucs peuvent baisser. La vue, par exemple. La constitution aussi. D&D 5 est un jeu merveilleux où ta perception visuelle a bien des chances d'être meilleure à 70 ans qu'à 20, mais en aucun cas plus basse. Le concept même de puissance qui augmente est dérangeant. La puissance d'un être humain, ça n'existe pas.

Jay

Alors attention, la tu pars sur un jugement de pure "réalisme" .... par rapport à une vision de ce qui te sembles cohérent.

Ce qui est important, à mon avis, c'est que le système réponde à une vrai cohérence avec les effets qu'il doit rendre et à un goût ludique.

Moi non plus je ne suis plus très fan des niveaux ... pour des raisons un poil différentes mais proches ... mais la notion de niveau en elle même n'est pas un problème ou une erreur. Le soucis est pour moi en général le contexte de son usage (univers et types de propositions ludiques), mais par défaut dans une proposition de type high fantasy à forts écarts de puissance les niveaux peuvent être pertinents.

avatar
Utilisateur anonyme

Quitte à avoir des niveaux, finalement je préfère le système (peu aimé) de CODA, qui inverse la proposition : c'est parce que tu progresses (tu accumules desdites progressions) que tu augmentes de "niveau", pas l'inverse. Le niveau est là comme indicateur de ta progression, non comme déterminant de ta progression. Ce n'est pas rien, puisque, par exemple, dans CODA, tu peux tout à fait gagner un "niveau" parce que tu as progressé uniquement (mais beaucoup) dans une compétence, et pas du tout dans le reste.

avatar
Utilisateur anonyme

Pendragon tient compte de l'âge, par exemple.

Édit : ah, tu as trouvé un autre exemple en fait...

avatar

Pendragon tient compte de l'âge, par exemple.

Fabien4927

Tout à fait, et d'ailleurs c'est pour moi l'un des meilleurs systèmes qui soit (et pas que pour cette raison).

avatar
Julien Dutel
[message supprimé]
avatar

Bonsoir à tous, effectivement... le jeu qui m'a le plus charmé par son système était et reste celui de Runequest (donc le même système que Stormbringer ou Hawkmoon des années 90), avec ses augmentations de compétences en % sur 100 et les points de vie fixes. Créant un lore extrêmement particulier : discussion avec des Broos (sortes d'Orcs de Runequest) ou des Trolls pour éviter des combats... réfléchir à des embuscades pour limiter les risques, apprendre à fuir ou éviter les trop grands dangers, miser sur le RP... J'ai même masterisé D&D et les Royaumes Oubliés en utilisant les règles de Runequest pendant plus de 2 ans avec un groupe de joueurs à l'école d'ingé il y a 25 ans. Rejouer à D&D5 me permet de renouer avec les Royaumes Oubliés (quoi que, cette version soit particulièrement dénuée de suffisamment de background et j'utilise les livres DD4 et surtout DD3.5 et AD&D). Il est vrai que j'ai toujours beaucoup de mal avec cette notion de Points de Vie où l'on touche avec une flèche et pourtant il n'y a pas de réelle blessure mais une perte de "combatitivité"... hors on peut "encaisser" des dizaines de coups sans perdre réellement en combatitivité c'est-à-dire en efficacité réelle défensive ou d'attaque. A Runequest on ne risque pas de perdre énormément de temps avec des attaques, parades etc... car finalement en 2 blessures, on est au tapis. Finalement le lore, la finesse, la stratégie priment sur la mécanique. Et la mécanique de DD5 ne me convient pas réellement même si j'ai du plaisir à jouer à ce jeu. Les alignements, je ne les fait pas jouer tout simplement lorsque je suis MJ. Les niveaux et les classes ou races, cela ne me dérange pas. Voir j'apprécie. Car cela permet de mettre du relief. Le système d'XP m'est étranger. J'ai longtemps fonctionné à la montée de niveau en fin de quête sans jamais calculer. Pour finalement le faire, poussé par des joueurs sur R20... mais je n'aime pas cela. Trop lourd. On peut gagner la même expérience que si on tue un monstre, en résolvant la rencontre sans le tuer dans DD5 a priori. C'est une bonne évolution. Mais cela ne m'enchante guère plus de "compter les points". Enfin, la Magie, je n'ai pas encore trouvé cette notion de magie modulable (à part peut être avec les cartes de construction de sort de Maze Rates), où l'on peut modifier les sorts... avoir des points de magie plutôt que des fatras de règles de sorts connus, non connus etc... me va bien. Mais j'aime bien l'idée de "créer" des effets de sort, ses propres sortilèges. Comme du temps de Gary Gigax où les lanceurs de sort de ses groupes de joueurs ont créé des sorts qui portent leur nom désormais. Je me rends compte qu'il me faut varier les JdRs pour ne pas m'emprisonner dans un système ou d'en éprouver un sentiment doux amer où l'on prend plaisir à jouer tout en s'obligeant à composer avec des mécaniques auxquelles on n'adhère pas. Pour savoir être heureux tout simplement, se laisser surprendre et s'immerger, en oubliant le reste.

Ce message a reçu 1 réponse de
  • Utilisateur anonyme