Cookies

Utilisation des cookies

Pour le bon fonctionnement du site, nous utilisons des cookies techniques qui permettent de gérer votre connexion.
Nous utilisons des cookies Google Analytics pour le suivi anonyme de la navigation. Vous pouvez désactiver ces derniers à tout moment ici.

Confirmation

Par défaut, nous conservons votre acceptation durant 13 mois.
Gérez vos cookies ici.



Personnaliser

Black Book Éditions, le site de référence des jeux de rôle

La pitance dans les jeux de rôle 139

Forums > Gnomes & liches

avatar

2 semaines avec des jets de volonté pour ne pas être obsédé par la nouriture, 2 semaines avec des jets de volonté et de constitution pour ne pas subir de la fatigue, baisses de carac progressives au delà. Des compétences en survie doivent pouvoir permettre de trouver la nouriture necessaire, ou augmenter ces delais parce que le PJ apprends à économiser ses forces.

Patrick

Autant les règles des jeux de rôles habituels me semblent beaucoup trop sévères, autant celles-ci me paraissent un peu trop cools.

Deux semaines sans aucune autre conséquence sur l'activité qu'une éventuelle obsession pour la nourriture ? Quand on est en milieu hostile, obligé de se défendre contre des créatures qui veulent vous tuer en permanence, et qu'il faut crapahuter pour rejoindre un endroit où on pourra enfin trouver de quoi manger ?

Ne vaudrait-il pas mieux s'orienter vers un juste milieu...

Ceux qui ne mangent vraiment rien pendant de telles durées ne sont pas très actifs : pour une grève de la faim, ils restent généralement allongés ; et pour les jeûnes thérapeutiques, ils mènent une activité réduite. En plus, ils ne stressent pas autant (c'est pour une durée limitée et ils savent qu'il y a des secours et de la nourriture à portée de main si ça se passe mal).

Même les participants de Koh-Lanta font beaucoup de siestes. En plus, ils ont de la nourriture de temps à autre... Et un hélicoptère prêt à les rapatrier en cas d'urgence...

Ce message a reçu 1 réponse de
  • Patrick
avatar

Livre des régles de Alien (page 78) le premier des talents généraux présenté est appétit d'oiseau. La gestion des ressources lors d'un voyage dans l'espace, c'est primordial.

Appétit d'oiseau (Light Eater) : quand vous faites un test de Réserve de Nourriture, vous pouvez lancer 2 dès de moins que votre réserve actuelle (minimum 1 dé)

Le jeûne est une bonne pratique, par contre difficile de faire quoique ce soit de physique au bout de quelques jours. Du coup, dans les grands donjons...c'est champignon ou roti de monstre.

Enfin, le plus compliqué dans le jeûne, c'est la volonté. De fait, si il y a un manque de nourriture, j'aurais tendance à demander un jet de sauvegarde en sagesse (5e) ou jet de sagesse (CO) pour simuler le volonté de résister à la faim. Au bout du deuxième jour, ça devient compliqué, tu commences a avoir des sensations d'affaiblissement, ça devient des jets de constitution. Après 4 jours, la nutrition doit reprendre doucement, donc jet de sagesse pour s'assurer que le personnage à la volonté de faire une reprise douce. Si il fait son morfale, il vomit.

Encore une fois, ce mode de gestion même simpliste doit avoir du sens. Pour les Montagnes de Cthulhu et Kingmaker la gestion des ressources est centrale, cela a du sens. Avoir une approche comptable durant toute une campagne, ça peu devenir lourdingue et en perdre. Tout est question de contexte.

avatar

Non, non excuse moi, mais je ne crois pas que le problème était l'eau, que nous avions en abondance. Juste que c'était de la marche physique pour nous, randonné sac à dos à la Réunion (dénivellé de malade, et chemin très accidenté), je connaissais très bien et c'était prévu pour qu'on se mette un peu minable...

Ours

T'es sérieux en affirmant cela ? Un climat comme la Réunion, très chaud et surtout très humide, déshydrate terriblement quand on crapahute en étant chargé. Il faut boire énormément, 3 à 4 fois plus que pour une rando en climat tempéré.

D'après ce que tu décris vous aviez de l'eau en abondance mais vous n'avez pas bu en abondance. Si on ajoute les repas sauté à la déshydration partielle, c'est normal que vous vous retrouviez HS aussi vite.

J'ai pas mal d'expérience vécue en crapahutage dans des milieux avec un climat très hostile, avec sac à dos d'une 20aine de kgs plus les armes et munitions qui rajoutent bien 10 kgs. Manquer de nourriture que ce soit parce-qu'on en a pas ou qu'elle n'est pas assez calorique, n'a jamais pausé de problèmes tant qu'on avait assez d'eau et qu'on buvait assez. On continuait à fonctionner sans perte d'efficacité. Même avec juste une poignée d'heures de someil par 24 heures. Par contre si l'eau manque ou qu'on ne pense pas à boire suffisament, les problèmes physiques arrivent assez vite.

C'est pour ça qu'il est vital d'avoir un clerc ou un druide qui puisse lancer "create water" (ou l'équivalent) plusieures fois par jour si le groupe explore un donjon.clin d'oeil

Ce message a reçu 2 réponses de
  • Ours
  • et
  • Patrick
avatar
WolfRider4594

Non nous avons bu en abondance ! je comprends pas pourquoi tu crois ça, j'ai du mal m'exprimer ! Très humide, oui, très chaud... dans les cirques pas tant que ça ! content

avatar
Gollum

Pourquoi ?!...

Parce que je te reconnais bien là à vouloir que tout se passe au mieux (et j’en reste admiratif) jusqu’à raccommoder des partis qui ne sont pas forcément tendres entre eux et qui le font savoir sans complexe (ou qui se montrent bien maladroits). Chacun campant sur ses positions sans en démordre et surtout sans chercher à écouter. (Ma « critique » vaut moins pour Ours sur ce point).

Aussi oui, je jette l’éponge car la discussion est vaine me concernant… m’apportant peu, voire passablement énervante pour tout te dire (et ce n’est hélas pas la première fois).

Ta conclusion est exactement celle que j’ai livrée il y a cela vingt posts plus haut ! Mais personne n’a rebondi sur mes propos… continuant à exposer ses points de vue, cherchant toujours des réponses sans nullement réagir sur celles déjà avancées (il n’y a pas que la mienne du reste). Aussi participer à une discussion en ayant travaillé la question pour tenter d’apporter des éléments concrets (car reliés au JdR et non pas que sur notre seule résistance IRL) et se voir totalement ignoré pour continuer à tourner en rond, n’aide pas à poursuivre ladite discussion : je n’ai hélas pas ta patience… ni de temps à perdre si mes propos n’intéressent pas !

Car oui tout est question dans ce domaine de variabilité interindividuelle. Les écarts types sont importants et les normes n’existent pas. Oui une IMC + 18 peut être un seuil mais je sais aussi pertinemment que des IMC à 16 ou 17 peuvent bien mieux résister que d’autres à 20 ou même 22… comme de la même façon on croise régulièrement des personnes avec des taux de cholestérol prodigieux ou des tensions très élevées pour la plupart d’entre nous et qui pour autant nous enterreront tous sans problème (leur physiologie étant différente, ils y sont parfaitement adaptés). D’où mon choix qui a toujours été le mien de traiter le sujet au niveau de chaque personnage et certainement pas en une règle générale si l’on veut coller à une certaine réalité. (cf mon post précédent). Ces variabilités adjointes à des paramètres psychiques (jeûne voulu ou subi) se voient à nouveau multipliées, d’où au final une résistance au manque de nourriture bien différente d’un individu à un autre (pas la même chose pour l’eau même si…) et d’une circonstance à une autre !

Tu dis t’intéresser aux deux positions ce que je crois volontiers (positions intéressantes du reste) mais là encore mon avis aurait dû également t’interpeller (certes simplement éludé mais je pensais que le sujet n’était pas de parler de soi) car j’ai personnellement effectué des jeûnes tant

  • « calculés et volontaires » voisins de ceux abordés par Patrick : j’ai en effet réalisé de nombreux trials sur un, deux jours : 75 km, 4000 m de dénivelés positifs pour les plus modestes… à 180, 200 km nuit comprise, avec des dénivelés allant jusqu’à 8000 m… + courses sur Kilimandjaro, Mawenzi, Mont Mérou (les trois plus hauts sommets africains)… mais aussi de nombreux cols de la Cordillères des Andes, encore plus hauts, aux contreforts des Rocheuses ou de Patagonie… où automatiquement on étudie son corps au travers des nombreuses préparations (des mois au préalable), entrainements, rationnements, statistiques, courbes, topographies,… obligatoires !... Jeûnes également plus « spirituels » avec quelques grands shamans d’Amérique du Sud… ou sorciers papous.
  • que des jeûnes davantage subis à la manière contée par Ours : en tant que chasseur de plantes, habitué à un confort relatif (en cumulé : plus de 11 ans à dormir sur de la terre battue (au mieux) sous huttes, tentes ou belle étoile) et souvent source d’erreurs multiples qui auraient pu m’être dramatiques. Toujours seul (prérequis perso qui effrayait mes employeurs mais dont je ne dérogeais pas : on adopte plus facilement un être esseulé qu’un groupe même composé seulement de deux personnes (plein d’anecdotes sur le sujet) et mon but étant d’entrer en communication et surtout vivre avec des autochtones (les vrais : souvent mal considérés par les locaux… mêmes par les plus déshérités) … Je me suis régulièrement perdu, mangeant ce que je pouvais parfois (scarabées, araignées, larves, serpents, escargots, sangsues… et bien d’autres choses pas forcément ragoutantes…) (Boire ne m’a jamais posé de problème : je connais les plantes qui en sont riches)… Le pire : après déjà de nombreux jours de frustrations, une semaine seul avec rien ou presque en forêt primaire de Papouasie Nouvelle Guinée (Région du fleuve Sépik) avec les sensations décrites par Ours : crampes stomacales, ténesmes terribles, épreintes à répétitions, envie de vomir avec rien dans le ventre ou juste son chyle, étourdissements réguliers, délires parfois ou s’en rapprochant (et sans l’aide de plantes hallucinogènes, hein ?)… J’étais complétement paumé, épuisé… à me voir disparaître. (Rien à voir en effet avec l’idée que l’on se fait couramment de la faim)

Donc ce n’est pas forcément parce que je ne fais qu’évoquer mon vécu et n’en parle pas si l’on ne me questionne (je peux en effet vite saouler) que je ne sais pas de quoi je parle pour autant (d’ailleurs certains ainsi vont l’apprendre par ce post).

Aussi revenir au point de départ après m’être exprimé sans que cela ait servi à quiconque : non merci… c’est au mieux une perte de temps, au pire vexatoire.

Merci pour cet article d'un interet réel, parce qu'il sait par expérience de quoi il parle

Et s’il faut des titres ou des écrits pour voir ses propos considérés (même si je ne trouve pas cela particulièrement intelligent et encore moins élégant) : sachez que je suis entre autres trois fois docteur (es sciences et d’état) dans le domaine des sciences biologiques et, outre la botanique, la phytologie et la pharmacognosie, celles directement liées à notre physiologie et celle animale au sens large… que j’ai travaillé pour différents groupes pharmaceutiques européens en dirigeant le plus souvent leurs parties Recherche & Développement avec en moyenne une cinquantaine de chercheurs de tout poil (MIT, Stanford, Polytechniciens, Docteurs es sciences, médecins, vétérinaires,…), que j’ai participé à de nombreux écrits (davantage botaniques ou avoisinants que sur mes conditions de vie in situ, très scientifiques la plupart du temps mais également autres jusqu'à des illustrés pour la jeunesse), inspiré et participé à des reportages télévisés français et étrangers, fait de multiples conférences à rallonge (là pas mal sur mes conditions de vie, en France mais surtout à l’étranger (US, Europe, Amérique du Sud et un peu partout…)… Et pour en revenir au sujet (ce qui aurait dû être notre constante) : menant à présent une vie bien plus rangée (hélas !) j’emploie en ce moment dans mes équipes trois nutritionnistes et un préparateur physique assermenté qui tous partagent mon avis sur la question.

Voilà pourquoi !

Après, ne vois pas en mes propos d’aigreur à ton égard, loin de là, j’étais sincèrement amusé par ta remarque et je garde au contraire en mémoire ton accueil chaleureux concernant ici même ma présentation pour le moins fantaisiste faute de mieux.

Pour tes questionnements : comme pour l’oxygène, le cerveau est de loin l’organe le plus gourmand en énergie, le sucre prioritairement (le jeûne, surtout forcé, agit sur la lucidité). La résistance à la douleur comme la récupération est aussi très variable d’un individu à un autre (j’ai plein d’exemples).

Ça sera je pense le seul post du genre que je ferai car hélas ce que je lis régulièrement me pousse de moins en moins à vouloir m’exprimer dans ces colonnes, hormis JdR stricto sensu... où là il m'est plus facile d'accepter d’être d'entrée considéré comme un novice.

Je sais que ça va déplaire mais pour ce que ça m’a apporté depuis quatre ans de me montrer courtois et bien élevé… soit en restant coi devant des posts qui auraient justifié un traitement différent mais qui hélas aurait été certainement perçu comme quelque peu dissonnant (!).

Ce message a reçu 2 réponses de
  • Patrick
  • et
  • Gollum
avatar
Otto le poilu

Il sont très bien tes posts, l'aspect individuel j'y souscrit plainement, encore certains témoignages me laissent vraiment dubitatif.

Ceci dit j'ai essayé vu le tour que ça prenait à recentrer la discussion sur le jdr et dans ce cas c'est ou l'absence de règle et au feeling selon l'expérience perso soit une règle unique simple et Vraisemblable. Et dans ce cas l'individualité est EXCLUE' par définition la règle de jeux est une norme.

Il semble que certains aient du mal à faire la part des choses. Et pour le coups je ne peut pas rivaliser avec l'expérience remarquable que tu as. Je ne vois pas ce que je pourrais t'apporter.
Edit: 7 pouces négatif, probablement 7 qui n'on jamais jeûné de leur vie. (réaction pathétique par excellence)

Ce message a reçu 1 réponse de
  • Otto le poilu
avatar
WolfRider4594

Même expérience, ce qui m'a vraiment surpris, c'est que même en buvant cette semaine-là plus d'un litre par jour (aujourd'hui je me forcerais à voir au moins 1,5 litres) j'ai perdu énormément d'eau sur la balance. 4 bons kg, 4% de mon poids. Deux semaines de ce régime qui me semblait bien alors, et je me serait mis en danger.

Plus tard des examens rénaux de routine au milieux d'une vie sédentaire m'ont convaincu que je ne buvais pas assez. Une conclusion peut être attive, est que beaucoup de gens sont en déficit chroniques sans même avoir une activité physique soutenue, du moins si j'en crois les standard médicaux. Évidement ça dépend des métabolismes, mais statistiquement je n'en serais pas étonné.

avatar
Gollum

Je suis partis sur 2 semaines parce que c'est la durée à partir de la quelle il faut aller progressivement pour reprendre la nourriture, je n'ai jamais dépassé cette durée, et n'ai jamais fait plus d'une semaine en intensif.

Donc en jdr, je specule qu'à plus de deux semaines, l'organisme est mis à l'épreuve sérieusement, on manque de minéraux on maigris visiblement' donc pénalités façon "blessures simples"

Et à plus de quatres semaines' on a des sequelles façon "blessures graves" pertes durables de points de constitution et de force qu'il faudra récupérer durement.

avatar
Otto le poilu

Ouah ! Eh bien merci mille fois pour cette réponse détaillée qui confirme ce que je pensais sur le cerveau sans que ce ne soit pour moi autre chose qu'une simple hypothèse (mes connaissances en biologie étant celles d'un amateur peu éclairé : c'était juste ma matière préférée en terminale D, même si j'ai également bénéficié de quelques cours d'épistémologie menés par un prof de la fac de biologie de Bordeaux). Et merci aussi pour tous ces détails qui enrichissent encore plus la réflexion...

Ma tendance (ou peut-être manie) à vouloir concilier les points de vue apparemment opposés est due au fait que, contrairement à toi, je ne suis spécialiste de rien. Mon diplôme le plus élevé est une maîtrise de philo (ça joue sans doute aussi) que j'ai passée après des études scientifiques (mon bac D), religieuses (séminaire catholique, mais je ne suis plus catholique), et mon service militaire en tant que sergent dans les transmissions, le tout en m'intéressant également aux langues, à la psychologie, à la BD, à la microédition, à la musique, au cinéma, aux arts martiaux... Et bien sûr, aux jeux de rôles ! Bref, comme tu as pu t'en rendre compte, je suis un touche à tout. Ça a un défaut : dès qu'on rentre dans la précision et les détails, je deviens vite approximatif. Mais ça a aussi un avantage : je peux participer à plein de conversations et suivre ce qui se dit... Jusqu'à un certain point. En tout cas, ça correspond bien à mon job d'instit : je peux tout faire aimer à mes élèves, parce que j'aime vraiment tout. Et à mon goût pour les jeux de rôles universels (je ne suis pas du genre à me limiter à un seul thème, du coup). clin d'oeil

Pour en revenir au sujet, je pense que les règles les plus réalistes en la matières seraient donc celles où les personnages sont créés avec des avantages et désavantages (et il n'y a pas que GURPS * ; Savage World, F.A.C.E.S., etc., avec leurs systèmes d'atouts et autres défauts peuvent très bien le faire, ainsi que Fate et les autres jeux narratifs, via leurs aspects ou équivalents).

Ça permet en effet d'avoir une règle pour Mr Joe Average (ou M. Jean Moyen-Partout, pour les français, mais ça sonne moins bien) et de faire ensuite des variations à loisir : plus résistant à la faim, moins résistant à la soif, panique à l'idée de manquer de nourriture, etc.

___

* GURPS est toutefois celui qui pousse le bouchon le plus loin en la matière, faisant la différence entre les avantages et désavantages importants et les simples particularités et petit plus (quirks and perks). On obtient ainsi par exemple tout un dégradé allant de la phobie traumatisante des araignées (qui paralysera complètement le personnage) à une simple peur de ces bestioles.

Ce message a reçu 1 réponse de
  • Otto le poilu
avatar

Non nous avons bu en abondance ! je comprends pas pourquoi tu crois ça, j'ai du mal m'exprimer ! Très humide, oui, très chaud... dans les cirques pas tant que ça ! content

Ours

Désolé pour le ton je suis parfois un peu trop direct et le tact n'est pas ma qualité première. Mais concrètement si vous avez bu moins d'au minimum 5l d'eau par jour et par personne durant votre rando, vous étiez partiellement déshydrater à votre arrivée. Effet accentué par les deux jours sans manger.

Pour revenir au JdR, ama, des règles pour traiter de tels cas de figures ne sont utiles que si on cherche la simulation pointue. Et encore ça me semble assez compliqué à mettre en oeuvre. Chaque PJ étant un cas particulier il faut prendre en compte la physiologie et le mental. Donc prévoir les malus et bonus applicables, variables suivant les conditions rencontrées. Bon courage à celui ou celle qui se lancerait.

Ce message a reçu 2 réponses de
  • Patrick
  • et
  • Ours
avatar
WolfRider4594

vous étiez partiellement déshydrater à votre arrivée

Ou alors dans ses rations il n'y avait surtout des hydrates de carbonne et autres sucres, l'inverse de ce qu'il faut faire, se retrouver en hypo permanante et crever la dalle 2 jours durant.
Mais comme monsieur est émotionellement hypersensible, je n'insite pas ...

Ce message a reçu 1 réponse de
  • Ours
avatar

S’envoyer de telles amabilités sur un tel sujet, c’est quand même formidable. Moi qui pensais lire des considérations sur la bonne bouffe en jdr... mort de rire

Ce message a reçu 2 réponses de
  • Patrick
  • et
  • Sammy
avatar
NooB294044

J'aurais bien aimé, le gras c'est la vie ! ^^

(apparement le sujet ne s'y presse pas)

avatar
NooB294044

Sur ce thème, il y pas mal de choses à dire en effet.

- Comment la description des repas contribue à l'ambiance ? Et oui, l'immersion, c'est faire appel aux sens. On pense toujours à ce que voient et entendent les personnages...mais les autres sens souvent moins. N'oublions pas le goût !

- Et aussi, faites-vous partie des groupes qui se font un repas à thème pour se mettre dans l'ambiance ?

Par exemple, ce bouquin de recettes peut servir à un MJ sur Deadlands:

Titre : Lucky Luke - Recettes pour bien nourrir son cow boy

  • Édition : Editions Prisma
  • ISBN : 9782810419043
Ce message a reçu 1 réponse de
  • Patrick
avatar
Sammy

Idée géniale, je n'y avait pas songé.

Il m'arrive pour le medfan d'apporter des ustensiles (dont fourchette, couteau, et corne) et vétements d'inspiration médievale, mais pas de cuisine.

ça me rappel que BBE vend des livres de cuisine à théme.
catalogue.php?id=761

avatar

S’envoyer de telles amabilités sur un tel sujet, c’est quand même formidable. Moi qui pensais lire des considérations sur la bonne bouffe en jdr... mort de rire

Jay

Oui mais comme souvent ça finit par une démonstration de celui qui a la plus grosse.

avatar

S’envoyer de telles amabilités sur un tel sujet, c’est quand même formidable. Moi qui pensais lire des considérations sur la bonne bouffe en jdr... mort de rire

Jay

Oui mais comme souvent ça finit par une démonstration de celui qui a la plus grosse.

Spark5262

Ma période de jeûne est plus grosse que la tienne ! Tranananère !
En vrai, je ne jeûne jamais. C'est contre mes convictions philosophiques. mort de rire

avatar
WolfRider4594

5 litres, j'en sais trop rien, j'avoue, c'était il y a un bail maintenant, pas loin de 20 ans, et je ne saurai dire. J'ai le souvenir d'avoir eu de l'eau en abondance, et d'avoir pas mal bu. Possible que ça ait augmenté le soucis, mais je randonnais souvent, et c'est la seule fois où je me suis retrouvé dans cet état. je ne pense pas avoir moins bu que d'habitude au contraire même...

avatar
Patrick

:) content content Si je te disais ce que je pense de ton discour... Pas de ration de ce genre, je randonnais à la créole, riz/carri matin et soir !

Ce message a reçu 1 réponse de
  • Patrick
avatar
Oui mais comme souvent ça finit par une démonstration de celui qui a la plus grosse.
Spark5262

Ou de la bande qui sait mettre plein de pouces négatifs parce que t'en fait pas partie.