[COF] Récupération pour les PNJs 8

Si je ne me trompe pas, dans COF, seuls les PJ ont des "dés de vie". D'ailleurs la règle de récupération p17 semble ne s'appliquer qu'aux personnages joueurs.

Comment gérez-vous la récupération naturelle de PV pour les PNJ ? La question se pose en particulier pour les compagnons des PJ, genre écuyer ou loup.

Personne n'a d'idée là-dessus ?

Fais simple, les compagnons dépensent leurs récup en même temps que les PJs, et ils peuvent récupérer par exemple 1d8+NC.

Il n'y a pas de NC pour les compagnons (je crois), mais je vois l'idée. Au moins c'est simple, mais est-ce équilibré ? Il faut aussi garder un intérêt aux capacités qui permettent de soigner ses compagnons en utilisant ses PV.

Personne d'autre n'a d'idée sur ce sujet ? Après réflexion, je pense que la formule d'Amaranth est bien pour la récupération des PNJs par nuit de repos, mais pour les compagnons, ça me semble trop fort de récupérer en même temps que leur PJ. Vous en pensez quoi ?

Je me permet de déterrer ce sujet, en espérant avoir d'autres réponses : j'ai maintenant un rôdeur à ma table, son loup est très fragile et se prend souvent des coups. Est-ce que pour l'équilibre des classes, le loup est sensé démarrer chaque combat avec tous ses PV ? Le même problème doit se poser avec la panthère d'un druide ou l'écuyer d'un chevalier, comment avez-vous géré ça ?

Comme il n'y a pas de règles, personnellement j'en inventerais une. Le compagnon obtient autant de PR que son maître, et suit les mêmes règles de récupération pour les joueurs.

Quand à la fragilité, je me souviens que la question avait déjà été posée. Les joueurs ne doivent pas oublier que ces compagnons ne sont pas des combattants de première ligne. Ils n'ont ni la DEF, ni les PV, ni les DM, ni les capacités de combat. Au mieux pour le loup et la panthère, leur principale utilisation au combat serait plutôt l'escarmouche et la diversion.

Comme il n'y a pas de règles, personnellement j'en inventerais une. Le compagnon obtient autant de PR que son maître, et suit les mêmes règles de récupération pour les joueurs.

Le problème des mêmes règles, c'est que leur "dé de vie" n'est défini nulle part. Ils ont aussi beaucoup moins de PV, donc si on applique ces règles avec le d8, c'est régénération automatique totale à chaque combat, et ça limite l'intérêt de la capacité suivante qui permet le soin du compagnon.

Quand à la fragilité, je me souviens que la question avait déjà été posée. Les joueurs ne doivent pas oublier que ces compagnons ne sont pas des combattants de première ligne. Ils n'ont ni la DEF, ni les PV, ni les DM, ni les capacités de combat. Au mieux pour le loup et la panthère, leur principale utilisation au combat serait plutôt l'escarmouche et la diversion.

Alaric

Ils sont quand même sensés être une source de DM supplémentaire, et même plutôt pas négligeable pour le druide, il faut donc bien qu'ils aillent au contact.