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Sorts de résurrection 35

Forums > Jeux de rôle > JdR Black Book > Héros & Dragons

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Bonjour,

J'aimerais un peu d'aide dans l'objectif de nerfer un peu les sorts de rez, pour que ça colle mieux à mon setting perso.

Ce qui me dérange, c'est qu'à partir d'un certain niveau, il n'y a plus vraiment de risques de mourir sauf si toute la team y passe (tpk).

Si d'hasard il y avait une ou deux pertes, hop sort de rez et tout va bien.

D'un autre côté, j'ai pas envie de les interdire, ça fait partie des sorts de certains de mes PJ et de la construction de leurs persos.

J'ai pensé à un malus de stat de 1 point, du fait de la douleur et du traumatisme de ramener une âme dans un corps décédé (sauf pour les meilleurs sorts de rez)

D'un autre côté, ça me paraît violent, moins 1 pt de stat définitif.

Avez-vous des idées ou des suggestions sur le sujet. Peut-être que certains d'entre vous, utiliséent déjà des règles maisons sur le sujet ?

Merci

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Il y a... longtemps... mon meneur en 2ème et 3ème édition faisait systèmatiquement perdre 1 niveau.

Ça nous a rendu plus prudents...

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dans une ancienne édition, subir une Résurrection n'était pas anodin :

Résurrection

Niveau : Prê 7

Temps d’incantation : 10 minutes

Ce sort est semblable à rappel à la vie, si ce n’est que la créature ressuscitée se réveille en pleine possession de ses moyens. Peu importe l’état de la dépouille. Du moment qu’il reste ne serait-ce qu’une partie du corps (présente au moment de la mort), le défunt peut être ressuscité (les cendres laissées par une créature désintégrée suffisent pour la ramener à la vie). L’individu ne doit pas être mort depuis plus de 10 ans par niveau de lanceur de sorts.

Au terme de l’incantation, le sujet se réveille en pleine forme (maximum de points de vie et totalité de ses sorts préparés en mémoire). Par contre, il perd un niveau, ou 2 points de Constitution s’il est de niveau 1. Si cela devait réduire sa Con à 0 ou moins, résurrection ne fonctionne pas. Il est possible de ressusciter quelqu’un qui a été tué par un sort de mort, ou transformé en mort- vivant puis détruit. Par contre, même résurrection ne peut rien pour quelqu’un qui est mort de vieillesse. Créatures artificielles, élémentaires, Extérieurs et morts-vivants ne peuvent être ressuscités.
Composantes matérielles : quelques gouttes d’eau bénite et un diamant valant un minimum de 10 000 po.

Donc tu peux utiliser ce principe pour éviter les abus.

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Tu aurais interet à ce qu'un personnage haut niveau meurt et que le joueur perde son personnage, qu'il soit obligé d'en creer un nouveau ? Ou tu veux juste punir les joueurs en cas de mort ?

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  • alanthyr
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Je ne trouve pas que ce soit violent de perdre un ou deux points de caractéristiques. Après tout, c'est ça ou la fin du perso.

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Globo

Je pense surtout que c'est une question d'abus de l'utilisation du sort. Il n'est pas question ici de punition.

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Alors j ai lâché critical role depuis un moment mais j aimais bien la façon de Matt mercer de faire des resurrections un mini scénario en soi

Un contre la montre ou les joueurs doivent trouver un max d éléments et de pnj importants pour le personnage décédé pour pratiquer le rituel

En gros plutôt que de ressusciter directement la personne la magie permet d atteindre son âme et de tenter de la convaincre de quitter la quiétude du repos éternel et revenir sur terre.

Si t'es joueurs sont partants ça peut faire une partie riche en emotions

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  • alanthyr
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Remwise

ah oui sympa comme idée mais il faut avoir le scénar déjà prêt de côté, a priori la mort d'un PJ n'est jamais programmée clin d'oeil

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  • Remwise
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alanthyr

Ça peut s improviser si le bg de ton perso a un peu été exploré dans la campagne ça consiste surtout en

-sécuriser le corps

Trouver un moyen de transport rapide

Trouver un pnj et interagir avec

Apprendre un élément inconnu sur le défunt

Répéter le processus n fois

Revenir au corps

Rituel

Chaque PJ adresse quelques mots à son ami

Resurrection happy end

Et le mort peut interpréter un pnj de son background pour ne pas être puni au coin...

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Il ne faut pas oublier que les sorts de résurrections demandent des pierres précieuses qui ne se trouvent pas chez le marchand de légume du coin.

Le barème que j'ai donné à mes joueurs est le suivant (pour toutes les composantes ayant un coût) :

Jusqu'à 500 PO : dans une grande ville.

Jusqu'à 1000 po, si c'est une poudre il faudra du temps, dans une grande ville, pour réunir assez de poudre. Et si c'est un objet/une pierre unique il faudra le faire fabriquer pour l'occasion, la tailler, donc là aussi du temps pour trouver le ou les artisants et les ressources.

Au delà de 1000 PO par contre ce sera une quête pour trouver l'objet/ la pierre.

Avec cette contrainte, sauf à avoir par avance acheté un diamant de 500po, ou à être à dix jours d'une grande ville, cela devient plus compliqué de vaincre la mort, moins automatique.

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  • NooB294044
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Dans les précédentes versions de DD (ADD et antérieur) le personnage avait une "chance de survie a la résurection" qui dépendait directement de son score de CON (40% a 3 de CON +5% par point supplémentaire jusque 90%puis 2% de plus par point par delà.). Et a chaque résurection il perdait un point de cette même CON.

La perte de CON était moins handicapante a l'époque (car il fallait une CON de 15 pour commencer a avoir des bonus aux PV) mais ça reste une option envisageable, sale mais envisageable.

Dans le même état d'esprit mais moins problématique, surtout si tu as souvent des morts, c'est de transformer le pourcentage de "chances de survie à la résurection" en une "chance de ne pas perdre un point de CON". Alors oui ça veut dire que les personanges avec une très grosses CON auront plus de chance de pas en perdre que ceux avec une faible et un personnage avec 18 en CON n'en perdra jamais mais en faisant ça tu respecte le choix du joueur de favoriser cette caractéristique ou pas (et puis les personnages avec une faible CON ont souvent plus de chance d'y rester.)

My two cents

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  • Docdemers
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Sur H&D ou D&D5 tu peux envisager au minimum des niveaux de fatigue pour le revenant que tu peux justifier par le traumatisme de la mort et du processus de résurrection. Ca pénalise le groupe temporairement mais pas définitivement.

Le truc problématique que je vois avec le malus de carac infligé c'est que ton joueur te dise "Ah non je préfère encore refaire un perso!!"

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En contre partie d'une redirection, j'aime bien le concepteur de Séquelle comme présenté dans les Cinq Royaumes. Parce que oui, échapper à la mort à un coût : pour le PJ (un désavantage à un type de d'action ou compétence en fonction de la séquelle) et pour le joueur (se poser la question "suis-je à ce point attacher à mon perso pour accepter de le jouer blessé ou en créer un nouveau ?")

Les autres propositions dans ce sujet sont très intéressantes également ! content

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Ombreloup

C'est ça. Le coût financier de ces sorts est quand même énorme.

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Merci à tous, je vais piocher dans plusieurs de vos idées, je pense partir sur :

- 2 pts de fatigue

- La rareté et le prix des composants comme Ombreloup le proposait

On verra ce que ça donne. Au pire si ça ne nous plaît pas à l'usage, vous m'avez donné des pistes.

Et non en effet je ne cherche pas à punir mes joueurs mais éviter une routine de la résurrection. À savoir que les joueurs y sont favorables aussi plaisantin

On a déjà quelques règles maisons, notamment sur les repos, inspirés en partie par Role N Play

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Une règle optionnelle dans un supplément non officiel (dont je vais rechercher le nom) proposait qu'après chaque retour à la vie, la difficulté du JS contre la mort augmentait de 1.

Symbolisant le fait que "l'âme" était plus attiré pour retourner dans la paisible mort.

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Faut pas oublié que résurection, rappel à la vie se sont des sorts de prêtre et si la personne devant être résusité avait mal agi selon dogme ou pire était athée . Le dieu ou la déesse pourrait refuser le lancement de sort( ou sournoisement légèrement modifier le personnage, exiger quelque chose en échange : sa fidélité, son âme imortelle, une mission divine). Les voix divines sont impénétrabbles.

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Lyle

Dans les précédentes versions de DD (ADD et antérieur) le personnage avait une "chance de survie a la résurection" qui dépendait directement de son score de CON (40% a 3 de CON +5% par point supplémentaire jusque 90%puis 2% de plus par point par delà.). Et a chaque résurection il perdait un point de cette même CON.

La perte de CON était moins handicapante a l'époque (car il fallait une CON de 15 pour commencer a avoir des bonus aux PV) mais ça reste une option envisageable, sale mais envisageable.

-Lyle-

Je suis un vieux joueur et c'était exactement la façon dont notre DM fonctionnait à l'époque. C'est la première solution qui m'a traversée l'esprit en lisant la question. Toutefois, ça fait des lustres que je n'ai joué à AD&D et je dois avoué que je ne sais plus quel genre d'impact qu'une telle règle aurait aujourd'hui. Je me souviens toutefois très bien qu'après "quelques" résurections, mon moine avait alors bien fait comprendre au prêtre qu'il ne voulait pas, mais absolument pas, qu'il le ramène à la vie la prochaine fois qu'il allait mourir. Je réussissais mes jets, mais ma constitution était rendue tellement basse que ce n'était plus drôle du tout ! mort de rire

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  • Lyle
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Docdemers

Je me souvient d'une table a laquelle j'ai participé dans ma folle jeunesse ou le paladin de la table, malgré un haut score en constitution, avait raté son jet de survie à la résurection (contre toute probabilité) et lui non plus n'avait pas trouvé ça drole joyeux

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Mourir d'une résurrection, c'est quand même ballot ! mort de rire