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L’ile de Kwa- Tessq et ses méchas. 5

Forums > Créativité

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Première partie : l’ile.

Une idée pour du méd fan magitek. Une très brève description.

C’est une ile de 1000 km2 qui, lors des jours de marées exceptionnelles est reliée à l’ouest du continent par un étroit chemin de terre. Le reste du temps, elle est belle-et- bien une ile.

A l’origine, l’ile n’était qu’un rocher nu de forme presque carré. Dépourvue de vie animale et végétale. L’ile a la forme d’une caldera avec quelques plages et criques artificielles.

Suite à un conflit violent sur le continent, un couple de gnomes Ano Jouwé et Ybo Nawée échouèrent sur l’ile emportant avec eux un artefact « l’Orbe de vie et création ».

Ano Jouwé était un enchanteur (forgesort pour CO) qui pour ses loisirs fabriquait des automates pour les enfants.

Ybo Nawée était une enseignante, avec un fort caractère, de l’académie des druides, spécialisée en plantes et pour qui l’expérience du terrain avait une grande valeur.

Ybo Nawée et Ano Jouwé décidèrent de sauver la population et le savoir du continent. Mais pour recevoir des réfugiés, il fallait de la vie sur cette ile qui n’en avait pas.

Décision fût prise alors d’utiliser la magie de l’Orbe même si cela voulait dire que celle-ci ne pourrait plus être utilisée avant des siècles.

Le vœu d’Ybo Nawée et Ano Jouwé fût que chaque climat, chaque type de relief géographique, chaque environnement soient représentés sur l’ile. Afin d’accueillir tous types de plantes et espèces vivantes.

L’ile de Kwa-Tessq subit alors une formidable transformation. La plus importante est la présence de micros environnement, l’ile s’étant divisée en de multiples calderas intérieures avec chacune son climat et son environnement.

Fay-froii par exemple est une caldera de type montagnard qui jouxte au nord la caldera polaire de Caa-Caaii.

On y trouve un grand fleuve, un grand lac et même une mer intérieure salée. Mais aussi montagne, plaine, savane, jungle et même un monde souterrain.

La capitale de Kwa-Tessq est divisée en deux zones. Mai-Cetyss, le port situé dans une crique aménagée qui est séparé par un canal artificiel « Loh-Dwoit » et passe dans la caldera rejoindre Euh-Saahh.

Le nom complet de la capitale est Euh-Saahh-Mai-Cetyss-Kwa-Tessq. Le canal ne fait pas parti proprement dit de la ville.

Les Refugiés du continent situé à l’ouest de l’ile furent accueillis au compte-gouttes. Un quota fût déterminé pour que toutes les races et toutes les philosophies soient représentées. Chaque groupe de réfugiés reçu la même question - « acceptez-vous de vivre à côté de vos ennemis, en paix, sans préjugés d’aucune sorte ? - Tout groupe disant oui fût accepté. Les autres refusés.

On trouve sur l’ile des communautés Orcs vivant en bonne intelligence avec des communautés Elfes.

Attention, l’ile n’est pas dénuée de conflits mais ils ne sont ni de nature religieuse ni raciales. Ils sont de nature individuelle ou de petites communautés

Par ailleurs, il existe un mois entier de conflits. Ybo Nawée et Ano Jouwé décidèrent lors de la création de l’ile que ses habitants devaient être préparés à un monde de conflits au cas où l’ile serait redécouverte par le continent.

Chaque année, une caldera avec un climat et environnement propre, est choisie au hasard mais, jamais deux fois de suite. Des Groupes sont sélectionnés pour représenter les différents conflits possibles que le continent avait connus. Guerres religieuses, raciales, corporatistes etc.

Les participants peuvent subir tous les désagréments des conflits ou mourir mais, le pouvoir résiduel de l’ile les ramène à la vie à la fin de ce mois. Cette résurrection ne concerne que les participants.

Ybo Nawée et Ano Jouwé constatèrent à leur grand désespoir, que le chaos sur le continent avait été si violent que ses civilisations avaient disparues. L’ile fût donc oubliée pour des siècles. Ybo Nawée et Ano Jouwé devenus immortels depuis l’utilisation de l’Orbe observèrent la fin de cultures millénaires.

Depuis dix ans cependant des Barbares humains se sont installés non loin des côtes et la question se pose de savoir s’il faut les contacter pour leur apporter des connaissances si durement préservées.

Etant devenus Immortels sans être des Dieux, depuis l’utilisation de l’Orbe, Ybo Nawée et Ano Jouwé ont profondément influencé l’ile en dehors de sa transformation physique. Le druidisme et les enchanteurs ayant un impact au quotidien.

Rien n’est plus vrai que dans l’automatisation de l’agriculture, l’industrie, les services et la guerre.

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Partie 2 : les Mecwa

Que se soit le mecha de transport « Tra-Mecwa», Le mecha agricole « Agr-Mecwa » voire le mecwa armé «Arm-Mecwa », le Mecwa est partout !

Les Mecwas sont issus de trois types de fabrication :

- La mécanique standard ;

- La mécanique des jouets et automates ;

- La naturelle.

La mécanique standard et celle des jouets, misent au point par Ano Jouwé sont différentes par leur motorisation. Si les deux furent conçues par le même gnome, la seconde méthode fût adoptée par le petit peuple qui la perfectionna en la combinant avec la troisième méthode celle dite de la « de la pousse » d’Ybo Nawée.

Au début de l’exode des réfugiés des continents, il y avait beaucoup à faire et peu de bras. De plus, Ybo Nawée et Ano Jouwé avaient l’idée que, conserver le savoir était la clé pour rebâtir le continent. Pour eux la connaissance primait sur le travail manuel. Il fallait donc trouver une solution.

Un des groupes de réfugiés était issu du petit peuple. Leur chef Hector, étrange barde de son état, était fasciné par les jouets d’Ano Jouwé. En particulier ceux des automates avec leur moteur à clés et les boites à musiques. Il était tout aussi fasciné par le contrôle des plantes d’Ybo Nawée.

Ce fût lui qui eu l’idée des Mecwa. Hector exposa son idée : fabriquer des automates adaptés à la taille de chaque habitant de l’ile. Mais le premier test de Mac-Mecwa, le mecwa maçon, fût désastreux. L’automate répétait le même geste qu’il y ait des briques ou non et ne se déplaçait pas pour continuer le mur.

Décision fût prise d’y mettre un pilote. Pour des raisons de coûts, les premiers modèles furent faits à l’échelle du petit peuple.

Les premiers modèles furent purement mécaniques car ils étaient adaptés des jouets d’Ano Jouwet. D’ailleurs, on les nomme les Aut-Jouwé. Au lieu de tourner une clé pour actionner un mécanisme, ils sont alimentés par l’énergie magique d’un sort. Plus un sort est puissant plus son énergie l’est aussi. Dés lors, un sort de base alimente pour 1 heure le moteur du Mecwa. Le lanceur perdant son sort.

C’était avantageux à petite échelle. Cependant, même si ils sont relativement nombreux les lanceurs de sorts ne sont pas partout sur l’ile.

Le Fafardet Bate d’Eurie eu l’idée de focus magiques capables de stocker l’énergie magique des sorts. Les Bat-Eurie comme on les nomme.

Dés lors, un lanceur de sorts de type barde, druide ou enchanteur peut au prix d’un sort alimenter une ou plusieurs Bat-Eurie d’une heure pour un Mecwa.

Plus le sort est important plus le nombre de Bat-Eurie peut être chargé.

Attention : toutefois la taille du Mecwa influence directement le nombre de batterie nécessaire pour fonctionner.

Par exemple, il faut une batterie d’1 heure pour un Mecwa minuscule qui fonctionnera une heure. Alors qu’il en faut 1 de plus par différence de taille pour le même temps de fonctionnement par taille, au dessus de minuscule.

Par exemple, il faut six fois plus de Bat-Eurie pour le même temps de fonctionnement d’une heure pour un Mecwa de taille gigantesque !

Les Mecwas armés consomment deux à trois fois plus de batterie que les Mecwas civils car une Bat-Eurie doit alimenter la défense, l’attaque et la coordination. Alors qu’un modèle civil n’alimente que la coordination voire la coordination et la défense si il s’agit d’un modèle dont l’environnement peut être dangereux comme le Mecwa mineur creuseur le « Cre-mecwa ». Les Bat-Eurie prennent donc de plus en plus de place dans la construction au détriment du confort du pilote.

Types de construction de Mecwa :

- La mécanique standard :

Elle est faite de tous types de matériaux bois, métal, pierres et même carapaces. Les pièces sont sculptées et assemblées.

L’avantage de cette méthode est qu’ils sont extrêmement flexibles. En effet, le mecwa de base possède un tronc sur lequel peuvent être attachés : tête, jambes, bras, tentacules, queue de serpent et autres appendices. Il peut même recevoir des améliorations dorsales comme des ailes ou des nageoires voire des conteneurs. C’est valable pour les modèles civils comme militaires. L’acheteur commande un tronc et des appendices standards bras, jambes têtes et les batteries nécessaires puis il peut l’améliorer ou l’adapter.

Le désavantage est une plus grande fragilité du mecwa car les pièces sont assemblées et de nature différentes. Il demande une Bat-Eurie de plus que les autres types de fabrication simplement pour que les pièces coexistent.

Par exemple un mecwa minuscule de ramassage des baies, un Ceu-Mecwa a besoin pour fonctionner, avec la méthode de mécanique standard, d’une heure de 1+ 1 Bat-Eurie de 1 heure juste pour la coexistence. Alors que le modèle gigantesque a besoin pour fonctionner une heure de 7+1 Bat-Eurie de 1 heure.

- La naturelle

Les mecwas naturels sont poussés et façonnés de manière à laisser de la place à un pilote et aux Bat-Eurie, pas plus. Ils sont le plus souvent faits en bois mais ils peuvent être faits à partir d’autres matériaux. Ils sont vivants mais inconscients Le pilote se branche au mecwa naturel à travers des racines qui entrent dans son corps.

Les avantages sont d’une extrême durabilité tant que des matériaux ne sont pas mélangés, d’une très grande coordination, d’une très grande vitesse. Cela fait que le mecwa naturel utilise une Bat-Eurie de moins que les modèles mécaniques de toutes tailles.

L’entretien est facile. Comme le pilote ressent ce que ressent le mecwa il sait très vite où ca ne va pas. S’il a soif à travers ses pieds pendant qu’il pilote son mecwa arbre c’est qu’il est temps de planter le mecwa près d’une source

Par exemple, un mecwa minuscule de ramassage des baies, un Ceu-Mecwa a besoin avec la méthode naturelle pour fonctionner une heure de 1 Bat-Eurie de 1 heure. Alors que le modèle gigantesque a besoin pour fonctionner une heure de 7 Bat-Eurie d’une heure.

Les désavantages sont tout aussi importants. De par sa nature, la connexion entre le pilote et le mecwa naturel fait que le pilote ressent très fortement ce que ressent son mecwa vivant. Cela peut aller du grattage d’un mulot sur l’écorce qui s’apparente à du chatouillage pour le pilote à la sensation d’être coupé en deux si le mecwa est attaqué par la hache. Le pilote doit donc se concentrer plus que sur un autre modèle pour fonctionner. Il peut aussi perdre sa santé mentale, si il perd le contrôle. Ce qui peut être plaisant ou pas.

Maya, une pilote Fée d’un Ceu-Mecwa a besoin d’être butinée à chaque floraison car son mecwa est fait avec une fleur et Elles ont fusionné leurs esprits. Ce qui est une source de joie continue pour Maya.

L’autre problème est qu’un mecwa naturel est spécialisé dans sa forme et sa fonction. Un mecwa naturel cueilleur aura bras, jambes un panier comme amélioration dorsal et un cockpit. Pour en faire un mecwa volant, il faudra faire une bouture avec des ailes. Un peu comme un bonzaï en fait. Par soucis de simplicité, les mecwas naturels ont toujours des mains dans lesquelles on place un outil.

Enfin un mecwa naturel doit pousser jusqu'à la taille désirée. Ce qui peut prendre du temps et beaucoup de travail pour un mecwa naturel gigantesque.

  • La mécanique des jouets et automates.

C’est un compromis entre les deux. Les pièces sont cultivées comme dans la méthode naturelle et assemblées comme dans la méthode mécanique standard.

La méthode d’assemblage prévoit un tronc végétal sur lequel on greffe des pièces végétales ou non.

Les avantages sont que les Bat-Eurie sont au même nombre que la naturelle sans avoir besoin de la connexion au Mecwa à travers des racines.

Les désavantages sont que les pièces de rechange prennent encore plus de temps à fabriquer que pour la méthode mécanique standard et que l’entretien est plus difficile que pour la naturelle.

Peut être que c’est dû à son origine féerique mais un mecwa fabriqué à partir de la méthode des jouets et des automates à besoin, en plus des Bat-Eurie, que son pilote lui chante ou siffle une chanson adaptée à son activité. Si on chante un chant de guerre lors de la cueillette des fraises avec un Ceu-Mecwa minuscule, il refusera de cueillir et attaquera les fraises. Il n’est pas important que son chant soit original ou un chant continu tant qu’il est chanté juste et mélodieux. Un chant faux, une récitation ou tout autre son provoqueront un refus du mecwa de fonctionner. Ce type de mecwa ne peut être furtif sauf si la cible est sourde. Le mecwa doit être inspiré !

Ce qui explique que ce type de mecwa ne soit pas le plus répandu et que les bardes en soient les meilleurs pilotes.

Récemment, un barde humain du nom Pavirriti a expérimenté avec succès « l’ordre opéra ». Il s’agit d’une méthode où chaque action que le Mecwa doit faire est chantée. Efficace, dans le sens où l’on a plus besoin d’improviser une chanson ou en apprendre une par cœur mais, particulièrement fatigant pour tout le monde : mecwa, pilote et ceux qui l’entendent.

Imaginez une heure de « bras droite lève toi et main droite cueille la fraise » sur un air d’opéra…

Même Pavirriti n’est pas sûre de son succès commercial.

Une rumeur persistante dit qu’il existe une méthode vampirique. Celle-ci, peu importe la construction, nécessite un animateur de mort quelconque qui remplacerait les Bat-Eurie par un être vivant. Une fois vidé de sa vie, il est recyclé comme zombie. Toutefois, officiellement on en a jamais trouvé un.

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Partie 3

Les modèles de mecwa.

Tous peuvent recevoir un cockpit de résine ou de verre pour les pluies et les climats froids. Le cockpit est de base sur les modèles de travaux dangereux ou de guerre.

Les modèles agricoles :

  • Les modèles de récoltes « les Ceuwa »

Principalement bipèdes, ils ont un tronc sur lesquels on installe des bras pour les types mécaniques et les hybrides des types « jouets et automates ». Ils existent aussi avec la méthode naturelle mais sans outils qui sont ajoutés après.

Ils existent en taille minuscule, petit, moyen, grand et gigantesque. Ils sont généralement équipés de panier pour leur amélioration dorsale dans lesquelles on dépose la récolte.

A noter que, pour les fruits et légumes à hauteur de sol on utilise des modèles plus petits qui agissent comme les plus grands modèles qui eux, se chargent des arbres fruitiers. Ils sont équipés de pinces et d’une main pour la coupe et la récolte.

  • Les modèles travaux des champs.

Ils sont équipés, pour leur amélioration dorsale, de charrue montée sur de longs bras. Puis, on change l’amélioration dorsale par un panier. Deux bras sont là pour jeter les graines ou bien une piqueuse et un bras pour planter les légumes. Par la suite, pour les récoltes des céréales le travail se fait en équipe de deux. Un mecwa avec une faux et un avec des bras pour récolter.

Les modèles de constructions sont similaires dans le sens où comme les modèles agricoles ils sont équipés d’outils.

Il y a toutefois des Mecwas qui se distinguent des autres.

Par exemple, on trouve :

  • Le modèle chenille de perçage « Cre-Mecwa :

C’est un modèle qui est équipé d’une visse géante et de multiple bras répartis le long d’un corps, segment ouvert et équipé de chenilles au lieu de jambes. Les meilleurs sont les modèles hybrides « jouets et automates ». Le corps en bois pousse jusqu'à atteindre des dizaines de mètres avec une visse en métal. Il faut pour ce modèle trois pilotes au lieu d’un : 1 pilote proprement dit, 1 qui gère les bras et 1 pour le corps. Leur fonction principale est de creuser les tunnels entre les calderas.

Il existe une variante de ce modèle, « le creuseur de cheminé ». Il y a diverses tailles afin d’assurer aussi bien le perçage de tunnel de ventilation que de canalisation.

Similaires mais pas identiques on trouve :

  • Le modèle « Pos-Mecwa ».

Là aussi, on a un corps de chenilles. Mais la chenille est chargée de matériaux nécessaires à la construction de routes ou de « chemins de chenilles ». Les bras prennent les pavés ou les rails et les posent sur les sillons tracés par les « Cre-Mecwas »

Autres « Pos-Mecwa ». On trouve le « canalisation, le pose échelle, le maçon etc …».

  • Les mecwa utilitaires « Uti-Mecwa »

On y trouve en vrac : « le mecwa balayeurs, l’égoutier qui est amphibie.. »

  • Les mecwa de transport.

De nouveau, les Mecwa présentés ici sont divisés en taille : minuscule, petit, moyen grand et géant. Même si ils ne sont pas des Mecwa par leur forme, du fait de leur conception, ils sont assimilés comme tel.

Ils peuvent aussi bien transporter des personnes que des marchandises. Dans le second les sièges sont tout simplement enlevés.

Ils sont de trois types : Air, Terre, Eau et Sous-marin. Plus un expérimental qui peut aller partout.

Ils sont bâtis le long d’un tronc oblong plus ou moins similaires à un cigare. Pour des raisons pratiques les modèles de transport se déplacent sur des voies prédéfinies de rail et sur des routes spécifiques. Celles-ci, sont toujours à sens unique et tourner ne peut se faire qu’à des points précis de l’itinéraire. En termes de choix de capacité de transport, il n’existe que les transports de 9 + 1 pilote avec quelques bagages ou de 97 + 3 membres d’équipage et quelques bagages. C’est d’ailleurs sur le plus gros modèle que sont entrainés les pilotes et membres d’équipage.

Compte tenu de leur taille, par rapport à un Mecwa individuel, un Mecwa de transport possède une Bat-Eurie de plus par passager. Il doit être chargé par un niveau de sort supplémentaire par taille au delà de : minuscule.

Par exemple un Mecwa de « transport » de 10 personnes de taille : moyen, devra avoir 10 Bat-Eurie de niveau 3.

Compte tenu de la difficulté de charger les Bat-Eurie avec des sorts importants, ceux-ci ne font que des trajets fixés à l’avance. A L’exception des transports de troupes de police ou de guerre.

A noter que même les transports de troupes ne sont pas armés mais juste blindés car leur coûts en énergie est trop grand.

Les Mecwa de « transport sur rails » sont plus fréquents car ils sont alimentés depuis des postes relais répartis sur le réseau. Il y en a 1 par heure 24/24.

  • Le Mecwa aérien modèle « albatros » : Le Alb-Mecwa.

Il n’existe qu’en modèle 9+1 passagers pour les forces spéciales ou 97+3 pour tous les autres. Son coût en Bat-Eurie étant prohibitif, il ne fait qu’un aller/retour par semaine.

Il se compose du fameux modèle en « cigare » avec une paire d’ailes de grande taille pour tout membre pendant le vol. Il a aussi : une paire de pattes pour décoller/ atterrir qui sert de gouvernail en vol. Comme il court pour décoller et atterrir, certains diraient s’écraser, des sacs pour estomacs fragiles sont mis à disposition des passagers. Le vol n’est pas sans surprise car le Mecwa surf sur les courants d’air chaud et froid, il peut faire des embardés violentes.

Terre

Existe en deux modèles :

  • Le modèle éléphant : le Ele-Mecwa.

C’est tout simplement un éléphant mécanique. Il comporte un maximum de neuf places. Le pilote est situé dans la tête de l’éléphant. Ce modèle existe en version civile et militaire. S’il permet plus de flexibilité le coût de chargement des Bat-Eurie fait que le prix du voyage est onéreux.

  • Le modèle la chenille : le Che-Mecwa.

Il avance exclusivement sur les rails. Pour plus de vitesse si nécessaire il peut être chargé de Bat-Eurie supplémentaires. Celles-ci vides, sont rechargées grâce à des relais de sort tous les kilomètres par un nouveau sort. Ainsi le Che-Mecwa obtient une plus grande autonomie. Ce dispositif ne sert que lorsque le convoi nécessite un déploiement exceptionnel.

Enfin :

  • le modèle tortue : le Tor-Mecwa.

C’est probablement le modèle le plus versatile et le plus populaire. Bien que lent sur terre, ce modèle permet d’aller sous l’eau et sur l’eau. La seule chose qu’il ne peut faire c’est voler. Bien que certains se penchent sur le sujet pour créer le modèle Mecwa de transport ultime qui remplacera tous les autres modèles.

Les défauts du Tor-Mecwa sont peu nombreux :

D’une part, la lenteur et sa capacité de plongé limité en profondeur. D’autre part, il n’est pas armé mais il est souvent accompagné de Mecwa de combats mercenaires car chaque modèle vaut une fortune.

Il est blindé, climatisé et éclairé par des lanternes magiques.

Les Mecwa de guerre.

Tous peuvent recevoir un cockpit en résine ou en verre pour les pluies et les climats froids. Le cockpit est de base sur les modèles de guerre.

  • Les modèles de guerre « Les Guewa »

Tous sont bipèdes, ils ont un tronc sur lequel on installe des bras pour les types mécanique et pour les hybrides de type « jouets et automates ». Ils existent aussi avec la méthode naturelle.

Ils peuvent être en taille : minuscule, petit, moyen, grand et gigantesque.

Les armes : Armes de contact de tous types. Hache, boulet sur chaine, épée, lance, lasso, filet, marteaux, poing gantelet, etc.

Les boucliers sont possibles mais peu fréquents du fait du blindage et des sorts de protection. De plus, les modèles les plus légers peuvent être déséquilibrés.

Encore plus rare les queues dorsales à aiguillon sont réservées aux meilleurs pilotes du fait de la coordination des mouvements.

Les armes de tir comportent des Arc, Arbalète, Lance aiguillon multiples, lance brume, lance gaz.

Certains modèles peuvent stocker des sorts de défense en plus du bouclier d’énergie.

On trouve aussi des modèles équipés de sort d’attaque comme des projectiles magiques.

Enfin, sur commandes on peut y ajouter des sorts spécifiques tels que le sort d’immobilisation par les plantes.

Les modèle de combat sont toujours équipés de Bat-Eurie déjà chargés et peuvent être équipés de Bat-Eurie additionnels pour les sorts de combat.

Il existe de rares modèles bi- places d’entrainement. Mais, ils ne participent pas au combat.

Il est important de noter que les Guewa n’ont jamais été déployés en dehors de l’ile et pour des guerres simulées et des micros conflits.

Leurs performances, contre les nouveaux voisins, barbares des côtes n’ont jamais été testées en dehors des modèles furtifs. Tout comme les modèles civils ont été interdis à proximité des côtes à moins d’être furtif.

L’apparition des barbares sur les côtes du continent est à la fois excitante et terrifiante pour les habitants de l’ile.

Que se passera t-il ? Commerces, échanges ou guerres ?

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Je vais essayer de faire des exemples de Mecwa pour COF mais toute aide est bienvenue.

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Ou pour D&D ou tout autre systéme de jeu Méd Fan.