Cookies

Utilisation des cookies

Pour le bon fonctionnement du site, nous utilisons des cookies techniques qui permettent de gérer votre connexion.
Nous utilisons des cookies Google Analytics pour le suivi anonyme de la navigation. Vous pouvez désactiver ces derniers à tout moment ici.

Confirmation

Par défaut, nous conservons votre acceptation durant 13 mois.
Gérez vos cookies ici.



Personnaliser

Black Book Éditions, le site de référence des jeux de rôle

Les Sahis 4

Forums > Jeux de rôle > Archéorôlie > Midnight

avatar
et une traduction et adaptation de l'article de Smeagol « The Sorshef and the Sahi priests: An outlook on Sarcosan religion » (http://www.againsttheshadow.org/index.php?page=78), avec son aimable permission.
Les Sahis
L'après-vie Sarque
En fait il existe un secret connu d'un petit nombre, et qu'encore moins de personnes comprennent vraiment.
Le Sorshef est composé d'Esprits Éternels, c'est pourquoi ils ne sont pas de « vrais » dieux et ne répondent donc pas aux prières.
Ils sont cependant des esprits très spéciaux, puisqu’ils personnalisent les énergies des étoiles, et, comme ils ne peuvent pas être facilement atteints, ils sont très éloignés des préoccupations de leurs suivants mortels (les prêtres du Sorshef et les croyants).
Quelques rares âmes qui ne sont pas corrompues en Affamés ou esprits égarés à leur mort, et qui ne sont pas non plus réincarnées ou « liées » au monde (comme les Adeptes du Murmure par exemple) peuvent voir leur volonté d'acier récompensée en devenant une nouvelle étoile. Ils perdent ainsi une part de leur humanité et rejoignent concrètement le Sorshef. La lumière qu'ils irradient prouve la pureté de leur esprit, mais masque aussi un autre secret ...
Ils vivent alors la vie d'un Esprit Éternel, avec le privilège que leur domaine n'est pas envahi par Izrador ou ses suivants. Insoupçonné de la plupart, chaque esprit du Sorshef est comme un « trou » dans le Voile, et parfois, chacun d'entre eux peut atteindre un autre plan étrange et brillant …
Une prophétie secrète des prêtres Sahis veut que quand le ciel sera rempli d'étoiles, le Voile sera déchiré et les Dieux viendront à nouveau sur le monde pour défaire le mal à jamais.
Comme ils vivent dans les confins de l’espace, les prières des mortels ne leur parviennent généralement pas. Il faut garder à l’esprit que que ce ne sont pas de vrais dieux, seulement des Esprits Éternels des étoiles - certains les appelleraient des Célestes, bien que leur alignement soit loin d’être toujours Bon.
Les tours étoilées furent construites pour les atteindre plus facilement, dans l’espoir qu’ils entendent ainsi les prières. Bien sûr cela ne fonctionna pas comme voulu initialement, et les tours furent utilisées comme des centres d’observation astronomiques.
Parfois une étoile tombe du ciel (le plus souvent dans une pluie de météorites). Ceci est généralement perçu comme un présage de grande importance, et les métaux récoltés de la chute céleste sont utilisés pour forger des artefacts spéciaux. Une prophétie prédit qu’un jour, un membre du Sorshef tombera sur terre pour aider le peuple dans sa lutte contre Izrador. Ou que seules les étoiles condamnées ou traîtresses sont ainsi expulsées de la voûte céleste pour s’écraser sur la terre. Le Sorshef Sahi est particulièrement ambigu sur le sujet.
Localiser le point d’impact des météorites, en rassembler les métaux fumants, et les forger en artefacts de puissance étaient les principaux devoirs des Sahis au temps de leur apogée. Il est dit que beaucoup d’armes légendaires (cédéku), d’armures et d’objets magiques furent créés ainsi, et étaient réputés pour apporter la sagesse du Sorshef à leurs propriétaires. Les Prêtres avaient établi un ordre légendaire de forgerons pour créer des objets-étoiles. La plupart de ces derniers ont étés soit perdus dans les brumes du temps soit détruits par les armées du roi Jahzir pour nourrir les miroirs noirs de son maître. Certains furent cependant sauvés par des prêtres sahi fuyant les ténèbres et furent oubliés de tous. La rumeur veut qu’ils soient cachés dans des cachettes particulières, pour ne pouvoir être découverts que par des héros en temps de grand besoin.
Le Sorshef, l'Armée Cavalière
Chaque individu du Sorshef est l’équivalent d’une étoile, et personnifie une vertu particulière. Comme il y a d’innombrables étoiles, il y a énormément de dieux mineurs qui personnifient des vertus très mineures ou très spécifiques, tels que « réparer les sabots d’un alezan clair au milieu du désert pendant une tempête de sable ».
Faire appel à eux n’est pas recommandé, car ils n'écoutent pas les prières, mais on peut essayer de les impressionner (encore faut-il savoir à quel individu du Sorshef s’adresser) ce qui est habituellement un véritable exploit. Parfois une étoile brille plus fort dans le firmament lorsqu’un Sarque accompli une action qui la satisfait. De telles actions extraordinaires ne pouvaient généralement être accomplies que par des Sarques très pieux, instruits de rituels ignorés de tous ou presque, permettant d'attirer l’attention d’une étoile particulière. Ces exploits ont toujours été accomplis à la clarté des étoiles afin d’en améliorer les chances de succès, et étaient généralement accomplis lors d’occasions particulières, notamment à l'occasion de grandes fêtes, ou après les cérémonies de mariage ou de naissance.
Personne ne sait si de tels rites sont encore accomplis correctement au Dernier Âge. On pense que même les derniers Cavaliers Libres ont oublié les anciennes coutumes et que très peu savent encore exécuter correctement les rites antiques. Ceux-ci sont transmis de génération en génération, mais, en dépit la survivance de prêtres Sahi dans les villes, seule une poignée d’individus s’en souvient et les comprend correctement. Et parmi eux rares sont ceux qui osent accomplir les rites ouvertement, de peur d’attirer l’attention des Légats.
La rumeur veut que Khalif Saida a récemment gagné les services d’un nouveau conseiller qui prétend être initié aux plus grands secrets des anciens prêtres Sahi, capable d’exécuter les antiques rituels afin d’attirer la faveur du Sorshef sur la troupe des Cavaliers Libres. Bien sûr personne ne peut attester la véracité de ses propos.
Ce qui est certain par contre c’est que le Sorshef, quand il est correctement adressé et impressionné, montre sa faveur de manière subtile et indirecte.
avatar
Les Prêtres Sahi de l’ancien temps
Exégètes, érudits et prophètes
Traditionnellement, les Sahis étaient des sages et philosophes Sarques. La plupart du temps ils étaient davantage des érudits que des prêtres. Ils étudiaient la sagesse des textes sacrés ainsi que les constellations d’étoiles. Ce n’étaient pas des gens reclus, ils partageaient au contraire leur savoir et leur sagesse avec les plus humbles, car tel était leur devoir. Leurs conseils étaient recherchés par les sessars tout comme par les sheols, et c’est bien cet aspect de leurs attributions qui leur donnait le plus d’estime dans la culture Sarque. Ils prenaient aussi grand plaisir à formuler des énigmes qui servaient à stimuler l'esprit de leur congrégation.
Ils étudiaient les paraboles du Sorshef et étaient capables de découvrir des prophéties secrètes, cachées dans le texte du Livre sacré. Pendant le Troisième Âge plusieurs vénérables Sahi dévouèrent leur vie à décrypter ses mystères afin de gagner plus de savoir pour lutter contre Izrador. Jusqu’à présent le Livre a correctement prédit la chute du **Vieil Empire, la chute du Peuple Libre et la trahison de Jahzir. Il est seulement regrettable que les vieux sages n'aient n'aient pu enfin comprendre les énigmes que lorsqu'il était trop tard. Quoiqu'il en soit les prêtres Sahi étaient profondément respectés pour leur intelligence acérée et leur capacité à faire des prédictions à partir du Sorshef Sahi. Seuls les prêtres les plus hauts placés dans la hiérarchie avaient accès à l'ensemble des textes sacrés, car ils étaient ceux sensés être capables de les interpréter et d'en tirer des prophéties .
Au Dernier Âge, de tels trésors de savoir et de sagesse sont présumés disparus à jamais. Cependant certains des membres de l'ancien clergé sont peut être à l'origine du Chandrahaal (NdT : décrit dans l'article suivant :  http://www.againsttheshadow.org/index.php?page=96). Il y a en tout cas des liens certains entre les derniers survivants (qui se cachent) des Sahi et la société secrète. Et, bien sûr, si des copies des livres perdus sont probablement toujours échangés en secret entre érudits entrés en clandestinité, il n'est malheureusement toujours pas possible de savoir si quelqu'un est capable de percevoir ses subtils sens cachés. Une telle capacité serait un avantage non négligeable pour la résistance, car les étoiles étaient réputées pour être des outils de prédiction fiables.
Enseignants, partisans, et conseillers
Dans la tradition Sarque, les individus du Sorshef enseignaient à l’humanité. Les prêtres Sahi rassemblèrent le savoir de leurs divinités dans des paraboles ou des fables, et essayèrent de les adapter aux situations nouvelles de manière pratique et pragmatique. Quand ils y arrivaient, ils semblaient capables de déceler les mensonges et la trahison, et ce quelque soient les conditions. Cette aptitude aurait pu en faire des favoris des cours, mais les Sahis méprisaient la vie des courtisans. Pour d’obscures raison, peu de califes ont jamais réussi à obtenir les conseils de ces hommes sages, qui persistaient à affirmer que les étoiles interdisaient l’interférence entre les pouvoirs mystiques et séculiers. Dans toute l’histoire Sarque connue, seuls des Sahis corrompus sont jamais devenus les conseillers de sessars ou de califes.
Au Dernier Âge cependant, il y a profusion de ces soi-disant prêtres Sahi, en fait à peine capable de déchiffrer un parchemin, qui servent de conseillers aux usurpateurs sessars. Leur durée de vie est souvent encore plus courte que celle de leur maître, mais les plus rusés d’entre eux peuvent fournir à l’Ombre des remplaçants commodes et obéissants dans le cas où un prince collaborateur s’attirerait le déplaisir du Seigneur des Ténèbres Jahzir.  
Les Cavaliers Libres ne comptent actuellement pas de tels érudits dans leurs rangs. On pense qu’ils sont perdus à jamais pour les derniers Sarques libres.
Les Sahis utilisaient aussi leur savoir religieux pour trouver de l’espoir et du rire même dans les heures les plus sombres.
Un vrai Sarque ne faillit pas lorsque ses dieux le mettent à l’épreuve. On trouvait donc des prêtres Sahi dans les unités militaires Sarques, et particulièrement dans les batailles sans espoir du Troisième Âge, afin de fournir à ces troupes la résistance mentale et le semblant d’espoir dont ils avaient grand besoin face à l’adversité. De tels capacité sont grandement regrettées, bien que quelques personnes parmi les Cavaliers Libres honorent encore les rituels et améliorent sensiblement le moral des troupes avant la bataille, mais cela n’est en rien comparable aux prouesses dont les prêtres d’antan étaient capables. Ceci prend généralement la forme d’une prière commune silencieuse, sous les étoiles, à l’aube des événements importants.
Maîtres astrologues
Bien sûr, la connaissance astronomique a ouvert la voie à l'astrologie, qui permettait aux prêtres de faire des prédictions, mais sans garantie de réussite. Ceci revenait la plupart du temps à faire des devinettes savantes d'après la position des étoiles.
Cependant, certains Sahis étaient des arcanistes, et même des magiciens parfois, capables d'utiliser la magie divinatoire. Maintenant ces sages se cachent bien sûr, car les troupes d'occupation ne sont pas très friandes de l'espoir que ces prédictions donnent aux gens du peuple (NdT:  et les Légats fraîchement débarqués du Nord ne manquent pas d'enthousiasme à la perspective de mettre la main sur un prêtre d'un autre culte que celui d'Izrador, et qui en plus peut être un arcaniste … Leurs aînés survivants, eux, ont appris à tempérer leur zèle)
D'après la rumeur, d'autres Sahis seraient aussi prisonniers des princes collaborateurs et obligés de leur prédire l'avenir. Si leurs prédictions déplaisent à leur prince, ils sont exécutés. Graduellement ces prêtres ont étés remplacés par des astrologues professionnels, dont la plupart ne sont que de simples charlatans, du fait du manque général de connaissances au Dernier Âge. Ces gens ont accès, pendant tout le temps où ils ont la faveur de leur maître, au luxe de la cour et à des repas fins et abondants. Le plus souvent, le simple fait de montrer une aptitude à lire suffit à impressionner un usurpateur sessar mineur, et à être pris dans sa cour (NdT: bien entendu le prétendant à la vie de cour s'expose ainsi directement à l'attention des Légats et sa vie dépend dorénavant  littéralement de la protection de son prince). Ces bâtards faibles ont si peur de perdre leur vie, que ce soit dans une rébellion, ou car ils ont encouru le déplaisir de son maître, qu'ils ne sont que trop heureux de croire des horoscopes leur annonçant des haut faits glorieux et une longue vie ...
Les Prêtres Sahi au Dernier Age
Les Tours Etoilées
Les Tours ont toujours été des endroits mystérieux, même à l'apogée de la religion Sarque. Elles étaient utilisées à la fois en tant que temples du Sorshef, et comme centres d’observation astronomiques, et bien des cérémonies, dont la signification est désormais perdue, y étaient accomplies, toujours à des dates particulières ou lors de conjonctions stellaires. Bâties avec les plus nobles des matériaux, elles avaient toujours la même architecture, et, d'après certaines vagues rumeurs, elles étaient supposées concentrer l'énergie des étoiles pour alimenter les pouvoirs magiques des prêtres (ou ceux qui leurs étaient prêtés).
En vérité, correctement réalignées et reconnectées, les Tours Étoilées peuvent être utilisées comme Berceau de Pouvoir avec une Affinité pour la Divination ou capable de reproduire les effets d'un sort de divination une fois par jour. Un tel savoir a bien sûr échappé aux Légats de la Cabale, qui auraient sinon tout mis en œuvre pour rendre opérationnelle une telle tour et y installer un Zordrafin Corith pour capter l'énergie des étoiles. Quand à Sunulael, en tant qu'ancien Sahi il possède techniquement cette connaissance, mais il l'a rejetée en même temps que tous les enseignements du livre du Sahi, admettre que ses anciens dieux pourraient être la source d'un quelconque pouvoir est une hérésie pour le seigneur des ténèbres, et quiconque mentionnerait cette possibilité devant lui le paierait au prix fort. La mise en place d'un miroir noir  à proximité d'une Tour Étoilée alignée pourrait avoir des répercussions cataclysmiques, car cela priverait une partie du Sorshef de leurs pouvoirs, et ils ne seraient plus capable de chevaucher dans le ciel. En termes plus simples, cela provoquerait une chute majeure d'étoiles sur Aryth, et le firmament perdrait beaucoup de ses étoiles (et beaucoup de lumière nocturne, une source d'espoir pour les gens, même si très peu de monde le réalise).
Des prêtres en cavale pourraient demander aux personnages de "reconquérir" une Tour Étoilée perdue (elle pourrait avoir été transformée en un bâtiment radicalement différent au dernier Âge, peut-être même la résidence d'un Légat local?), afin d'utiliser ses pouvoirs pour créer des objets magiques cruellement manquants.
Le Livre du Sahi
Cet objet légendaire est un livre de savoir, de prophéties et de mystères, mélangés à des énigmes et tours d'esprits. La plupart de ses sentences sont obscures, et peux sont capables de les comprendre  pour acquérir une once de sa sagesse. Il est aussi réputé pour permettre à ses lecteurs d'entrevoir le futur, bien qu’interpréter correctement les visions ainsi obtenues soit une toute autre histoire.
Il n'en existe qu'une seule copie connue, et il s'agit de celle que les Sahis en fuite ont réussi à emporter avec eux de Sharuun quand la cité tomba. Toutes les tentatives d'en faire des copies conformes ont toujours été des échecs.
Prêtres clandestins
Bien sûr, l'endroit évident où fuir pour les Sahis était, vu leur étrange sens de l'humour, la Forêt des Sahis. Arrivant de toute l'Éren Méridional au signal de leur Archonte, un petit groupe de Sahi fut accueilli par des druides humains, qui étaient restés à l'écart des autres humains depuis les premières invasions Dorn. Les esprits sylvestres locaux avaient prédit l'invasion d'Érédane, et, étrangement, étaient prêts à mettre à l'abri les sages en fuite. Les druides, protecteurs de la forêt, étaient suffisamment sages pour ne pas contredire les souhaits de leurs maîtres.
Pendant un siècle la forêt a soigneusement été évitée par les troupes de l'Ombre, car c'est un endroit reculé et prétendument hanté, et nul serviteur de l'Ombre y ayant pénétré n'en est jamais ressorti. Les druides et maraudeurs locaux, secondés d'animaux sanguinaires, furent remarquables d'efficacité dans cette tâche.
Dans la forêt, une Tour Étoilée secrète fut construite (NdT: l'observateur Hagarin, voir Star and Shadow p29), qui héberge une école d'érudits clandestine. A cet endroit, les prophètes, les astrologues et les gardiens d'artefact oubliés se rassemblent (ce qui ne fait guère plus d'une vingtaine de personnes en tout). Bien sûr la plupart de leur savoir a été perdu durant leur fuite face à l'Ombre, et bien des rituels ne sont plus que de vagues souvenirs.
Même les Cavaliers Libres Sarque n'ont pas entendu parler des érudits perdus, qui sont supposés avoir tous disparus au Dernier Âge d'Aryth. Curieusement, une fois toutes les quelques années, un jeune Sarque ressent le besoin pressant d'explorer la forêt et sera admis en son sein. Il rejoindra alors la petite communauté qui s'y dissimule.
(Ndt : snip)
Les prêtres urbains
Tous les prêtres Sahi ne se sont pas enfuis ou n'ont pas été éliminés par l'Ombre lors des combats ou au cours d'exécutions publiques. Nombreux sont ceux qui ont choisi la voie de la clandestinité, avec la complicité de la populace. Habitués à la nuit noire, ils se sont réfugiés dans des caves obscures, où la faible lumière des chandelles remplace celle des étoiles. Là ils continuent à étudier le Sorshef, et à prodiguer leur enseignement au peuple. Une bonne partie de leur savoir s'est certes perdu, mais de nouveaux prêtres sont régulièrement ordonnés, et le savoir restant se transmet. Les Sarques continuent à honorer le Sorshef, même si, pour ne pas provoquer inutilement les Légats du Nord, ils prétendent que les membres du Sorshef sont de simples mortels entrés dans la légende. Quoiqu'il en soit, les enseignements du Sorshef continuent à guider la plupart des Sarques.
Jouer un prêtre Sahi
Le supplément Star and Shadow introduit l'acolyte Sahi (p57) comme classe de background (une classe spéciale de substitution pour le niveau 1) et le Sahi (p59) comme classe de prestige.
Les prêtres Sahis actuels de la forêt sont techniquement plus des druides, avec un don pour l'astronomie et l'astrologie.:
avatar
Ne peux-tu pas mettre ça sous PDF?
avatar
c'est prévu, une fois que j'aurais fini la mise en page, le rajout d'un peu de technique etc ...