Lamentations of the Flame Princess 572
Forums > Jeux de rôle > JdR Black Book > Lamentations of the Flame Princess
Comment ça obligé de s'excuser? L'auteur a muri et il trouve que son œuvre était stupidement outrancière et peu subtile et il la desavoue parce qu'il se sent capable de faire bien mieux desormais et il veut pas qu'on l'associe avec un truc qu'il a écrit plus jeune et qu'il regrette maintenant. De fait son livre est outrancier et manque de subtilité. On peut pas lui en vouloir de le désavouer.
Non pas fin. Tu as balancé une théorie du complot. Ce sera bien de la retirer et de respecter le droit des auteurs d'avoir l'appréciation qu'ils veullent sur leurs œuvres. Si tu parles pas anglais tu peux utiliser DeepL ou Google Translate pour lire a déclaration de l'auteur mais c'est ultra irrespectueux envers lui ce que tu fais.
L'auteur a violement rompu les ponts avec LotFP en 2018 après que les divergences d'opinions sont devenu de plus en plus grande. Et il profite de l'occasion des ENIes 2 ans plus tard pour désavouer une œuvre pour laquelle il a été recompensé mais qu'il trouve pas au niveau qualitatif de ce qu'il est capable de produire.
Non pas fin. Tu as balancé une théorie du complot. Ce sera bien de la retirer et de respecter le droit des auteurs d'avoir l'appréciation qu'ils veullent sur leurs œuvres. Si tu parles pas anglais tu peux utiliser DeepL ou Google Translate pour lire a déclaration de l'auteur mais c'est ultra irrespectueux envers lui ce que tu fais.
L'auteur a violement rompu les ponts avec LotFP en 2018 après que les divergences d'opinions sont devenu de plus en plus grande. Et il profite de l'occasion des ENIes 2 ans plus tard pour désavouer une œuvre pour laquelle il a été recompensé mais qu'il trouve pas au niveau qualitatif de ce qu'il est capable de produire.
Derle
Une théorie du complot ? Ben voyons... , voilà aut'chose...
Irrespectueux ? j'ai beau relire ce que j'ai écrit, je n'y vois pas l'once d'une forme d'irrespect.
[Fin donc, je confirme]
J'ai déjà plusieurs dizaines de sessions de jeu sur LotFP. J'ai joué des scénarios publiés par différents auteurs, d'autres que j'ai créé moi même. Le système de jeu est mortel, son aspect old school est très plaisant et la magie est surprenante, à la fois puissante et dangereuse. Mais rien dans les règles n'oblige à jouer des scènes de viol.
Quant aux scénarios, ils sont tous très différents, les auteurs ont chacun leur style, et la seule chose commune à tous est leur thème : la weird fantasy. L'étrange et l'imprévisible, c'est le coeur des histoires racontées quand je joue à LotFP. Les PNJs sont parfois violents, d'autres fois impitoyables et détestables, mais ils sont aussi bizarres et uniques. Les situations sont toujours inattendues, les objets magiques incontrôlables, les monstres incompréhensibles, les villes impossibles et l'Histoire revisitée (celle avec un grand H). La violence est par moments poussée à l'extrême par certains auteurs dans leurs scénarios, et c'est parfois fait avec talent (elle crée une rupture, le choc réveille les joueurs et les pousse à fuir ou à chercher vengeance), parfois avec maladresse (quand ce n'est qu'une vitrine destinée à choquer). Dans le second cas, lorsque ces scènes n'apportent rien à l'histoire, je m'en dispense. Du sang dans le chocolat est un excellent scénario, rempli d'un humour morbide et absurde qui me parle beaucoup. Mais certaines idées sont juste maladroites et ratées. Comme pour beaucoup de scénarios, j'adapte et je garde ce qui me plait. Parler de viol de manière triviale, ça ne fait pas partie des choses qui me plaisent, mais heureusement pour moi, il y a plein d'autres idées à prendre dans le livre. Et contrairement à ce que tu sembles penser, les mentions de viol explicites sont assez rares dans les scénarios de LotFP. À croire que le jeu ne consiste pas simplement à montrer des images choquantes et provocantes, mais peut aussi proposer des histoires intéressantes.
Je peux tout à fait jouer à LotFP en évitant ce genre de scènes si elles me mettent mal à l'aise, je te remercie. Et si tu penses que les scènes de viol sont inévitables pendant une partie, je suis bien content que nous n'ayons jamais à jouer ensemble.
- Chair a Dragon
Je n'ai jamais dis que les scènes était toute obligatoire, je suis aussi du genre à prendre ce qui me plaît et à jeter ce qui ne me plaît pas dans un jdr. Mais je voulais dire que comme moi qui n'aime pas loftp car je le trouve ridiculement gore et violent à un tel point que sa devient absurde. Du coup je me contente de ne pas investir dans ce jeu.
- Bibibye
Bonne nouvelle pour ceux qui ont commandé sur le site lors des dernières ventes, les envois sont en cours ! J'ai reçu un mail avec le numéro de suivi.
Le probleme c'est que sous telle ou telle raison, on cherche à en faire un monde édulcoré de bisounours. L'histoire à été cruelle partout, la vie est cruelle partout et ce n'est pas en gommant certaines atrocités des livres ou de l'histoire en général, que l'on va rendre le monde meilleurs ou le transformer.
Il faut toujours faire la différence entre information et appologie
Chachatle viol existe et c'est mal, les tordus existent malheureusement, et là où il faut faire comprendre aux joueurs, c'est qu'ils sont là pour faire cesser ces horreurs, pas y participer (sauf si tu as des joueur un peu beaucoups tordus)
Mais là on en fait un objet de divertissement, rien d'autre. Chouette...
Le probleme c'est que sous telle ou telle raison, on cherche à en faire un monde édulcoré de bisounours. L'histoire à été cruelle partout, la vie est cruelle partout et ce n'est pas en gommant certaines atrocités des livres ou de l'histoire en général, que l'on va rendre le monde meilleurs ou le transformer.
Il faut toujours faire la différence entre information et appologie
ChachatMais là on en fait un objet de divertissement, rien d'autre. Chouette...
Spark5262
Affirmation gratuite et absolument infondée puisque ce "rien d'autre" est absolument faux, évidemment. Il est par exemple un objet de réflexion dans le scénario en question.
Comme dit plus haut, LotFP est glauque, tout le monde le sait, il ne faut pas non plus sortir les discours de vierge effarouchée ... 
Après il faut adapter mais à trop édulcorer certains "mondes" on va en venir à se taper dessus avec des sucres d'orge et Tails of equestria passera pour un jeu hardcore ...
N'empeche que j'aime bien jouer à tails of equestria 
Moi je trouve rafraichissant le fait de mélanger des histoires d'horreurs cosmiques et des vrais événements historiques de l'Europe du 17ème siècle (période intéressante: colonisations de l'Amérique, début du capitalisme, pirates célèbres mais aussi chasses aux sorcières, épidémies, chismes religieux, etc ...)
Après certains scénarios sont effectivement des kross farceus pas très subtiles mais cette gamme a amené des choses intéressantes pour des joueurs et arbitres adultes.
A l'instar des films de boules c'est quand même marqué sur le devant que c'est 18 et plus (oui y'a du sesque des fois et c'est souvent 'insolite').
Le précieux colis vient d'arriver ! J'ai également profité des soldes sur le site de BBE pour acheter The Punchline et No Rest for The Wicked. Ça va faire un peu de lecture.
Ça commence à me faire une belle étagère LotFP (Maze of the Blue Medusa est rangé ailleurs à cause de son format).
Ça tombe bien, c'est le premier que j'ai lu (et le seul pour le moment). Sans plus tarder donc :
The Punchline est un scénario très court (le tout tient en une trentaine de pages) ayant pour particularité de ne pas contenir de surnaturel (à l'exception peut être de la Mort Rouge). Pour faire simple : l'histoire est celle d'une secte dont les meneurs déguisés en clowns sont les porteurs sains d'une maladie atroce qu'ils propagent de village en village. Cette maladie, la Mort Rouge, s'attrape au contact des fluides corporels (les PJs auront des risques de l'attraper s'ils sont éclaboussés par le sang de leurs ennemis durant les combats), met 3 jours à incuber, mais est contagieuse au bout d'une journée. Après incubation la mort survient souvent dans l'heure, la victime se vidant de son sang par les pores de sa peau (il est possible de survivre avec beaucoup de chance, mais dans ce cas le personnage risque d'être à jamais affaibli avec une perte permanente en Constitution). Le scénario part du principe que les PJs sont de passage dans un village où la secte vient d'arriver. Cette dernière a enlevé une enfant dans le but de la sacrifier durant un rituel (qui n'a rien de magique). Les PJs ont des indices sur la maladie, et leur motivation peut être d'essayer de sauver l'enfant ou d'arrêter la secte, mais cette mission s'annonce très difficile. Même s'ils arrivent à arrêter la secte, le village n'est pas forcément sauvé pour autant (et s'ils sauvent l'enfant, cette dernière a 50% de chances d'avoir contracté la maladie). L'auteur dédie une page entière à expliquer que ça sera probablement l'unique occasion qu'aura le MJ de proposer une aventure avec des clowns à ses joueurs, et il encourage ce dernier à essayer d'en profiter pour placer un maximum de punchlines durant la partie ("Why so serious ?", "They all float down there", "Stop clowning around" etc...), d'où le nom du scénario... En français ça donnerait des choses du genre "Tu as mangé un clown ?", "Arrête ton cirque !" etc... Sur la forme, j'ai trouvé le scénario très mal présenté, et assez peu agréable à lire. Ça ressemble d'avantage à des notes pour une campagne qu'un vrai scénario. On a droit à une liste de PNJs, une liste des lieux etc... Chaque section pouvant faire référence à une autre. Par exemple, la Mort Rouge, qui est au coeur du scénario, n'est décrite qu'à la moitié du livre alors que l'auteur y fait référence plusieurs fois avant. Mais mis à part ça, le livre est très joli (les pages tachées de sang pour rappeler le destin qui attend probablement les PJs...) et très bien illustré avec les cartes de tous les lieux. Sur le fond, j'aime beaucoup l'idée, et je trouve ça original de faire de la weird fantasy sans avoir recours au surnaturel. Donc mon avis est mitigé : le livre est mal pensé, mais les idées qui sont dedans me plaisent.
- jeanclume
Mes lectures continuent, alors voici quelques avis supplémentaires à propos des livres dont je n'ai pas encore parlé ici :
Tout d'abord, Maze of the Blue Medusa. Je ne vais pas forcément m'attarder sur toutes les qualités du donjon tant il a été loué de partout sur internet, mais je me permet de confirmer ce que vous avez pu lire à son sujet. Le livre est magnifique en tant qu'objet, et les illustrations si particulières de Zak donnent un cachet inimitable au tout. On aime le style ou pas, mais avec moi ça fonctionne à fond. Ensuite, et tous les livres décrivant des donjons devraient prendre exemple dessus : c'est très pratique à lire. En plus de la carte principale du donjon, on a des gros plans sur les zones concernées à chaque entrée, et les salles ont chacune une description détaillée à lire lors de la préparation de la partie, et une section simplifiée pour aider à se rappeler ce qui s'y trouve en cours de jeu. Enfin, les idées contenues dans le livre sont à la fois cinglées et magnifiques, avec le thème de l'art qui sert de fil rouge au lieu. Le donjon contient 304 salles, et rares sont celles qui m'ont semblées fades. Seul bémol selon moi : le format du livre. Il est plus grand que les autres livres de la gamme LotFP, mais plus petit que du letter US ou du A4. Du coup, impossible de le ranger de manière satisfaisante sur ma bibliothèque. Mais bon, je cherche la petite bête. Si vous comptez faire jouer ce donjon, pensez à faire un tour sur le chaîne youtube de Roliste TV, il y a une série de vidéos consacrées à MotBM.
No Rest for The Wicked est un petit scénario pouvant se dérouler en Europe centrale au 17e siècle. Une famille qui fuit la guerre et dont le père est accusé de mutinerie par l'armée impériale fait halte dans un relais dont le propriétaire est un allié de l'Union Protestante et permet à ses agents d'y échanger des messages. Lorsque les PJs arrivent à l'auberge, ils précèdent de quelques heures des espions venus d'un camp de l'armée impériale à seulement 1/4 de mile au nord de l'auberge. Les événements qui suivent dépendent de leur action et de leur envie de se mêler à cette affaire. S'ils n'interviennent pas, une famille (enfants compris) risque d'être massacrée, et les propriétaires de l'auberge arrêtés pour complicité. J'ai beaucoup aimé la manière dont les deux familles en danger sont présentées, qui permet aux PJs d'éprouver un minimum de sympathie ou de compassion à leur égard avant que les ennuis ne commencent vraiment. L'ambiance à l'arrivée des espions impériaux (puis du général et de sa troupe de soldats) me fait penser à du Tarantino (La scène de l'auberge dans Inglourious Basterds ou The Hateful Eight) où la violence peut éclater à tout moment. Même si le scénario ne possède aucun élément vraiment typé Weird Fantasy (et aucune trace de surnaturel ou de magie), je l'ai quand même beaucoup aimé, et je pense qu'il a parfaitement sa place dans une campagne jouée en Europe. Après tout, le surnaturel n'est surprenant que s'il est utilisé avec modération, et je pense que c'est important d'avoir quelques scénarios de ce type au sein d'une campagne pour que les joueurs ne fassent pas une indigestion de surnaturel. Le scénario doit pouvoir se jouer en une session assez facilement.
Veins of the Earth est l'un des plus gros livres de la gamme (avec Adventure Anthology : Blood) et décrit une version Weird Fantasy de ce qui serait appelé Underdark à D&D ou Ombreterre à Pathfinder. La première partie est un genre de bestiaire qui décrit les différentes créatures et cultures pouvant être croisées dans les souterrains qui parsèment la terre, et certaines entrées sont particulièrement effrayantes ou déjantées (Les Cholérides, qui ne sont pas morts mais ne vivent plus, et continuent de transmettre des maladies comme la tuberculose ou le choléra, les abeilles atomiques dont il vaut mieux éviter la piqûre, les hommes-noeud, qui laissent entrevoir les distorsions de leurs veines à travers leur peau translucide, incapables de trouver le confort ou d'échapper à la douleur etc...). Cette partie occupe bien la moitié du livre et elle contient sa propre version des races du dessous "classiques" (les Dvargir pour les duergars, les Gnonmen pour les Svirfneblins etc... Mention spéciale aux dErO dont je ne dirai rien au sujet de leur machine). La section suivante s'attarde sur la lumière et la gestion des sources de lumière en introduisant une nouvelle ressource, le lume, qui correspond grossièrement à 1h de lumière dans l'obscurité. Les distances, la lumière, la monnaie, l'encombrement ; tout peut être converti en lumes. L'auteur insiste sur le fait que l'obscurité n'est pas une absence de lumière, mais que la lumière est une absence d'obscurité. Cette dernière doit être vue comme un être vivant qui poursuit et malmène les PJs. Le livre propose également plusieurs lanternes exotiques pouvant être trouvées dans les profondeurs. La section suivante propose de nouvelles règles pour l'encombrement (qui ont l'air assez pratiques -> chaque PJ a un certain nombre de cases pour ranger ses objets selon les valeurs de ses caractéristiques), pour l'exploration avec une procédure à suivre pour chaque "tour d'exploration" afin de savoir à quel point les PJs se perdent et pour l'escalade (de manière à permettre à des gens qui se préparent d'avoir plus de chances de succès entre autre). La section qui suit est dédiée à un système permettant de générer automatiquement un réseau de veines. Comme pour tout générateur de donjons aléatoires, l'auteur assure que le système est simple à utiliser et peut servir à la volée, mais je pense que c'est infaisable en cours de partie sans se tromper. Si vous comptez l'utiliser, préparez vous avant la séance de jeu. La section suivante contient des tables de trésors, des objets étranges et des nouveaux sorts. Enfin, la dernière section propose des règles pour gérer les changements psychologiques et physiologiques qui peuvent survenir chez les PJs après un trop long séjour dans le noir. L'ouvrage se clôt sur plusieurs appendices, dont une description de 12 obscurités différentes et une nouvelle fiche de personnage adaptée aux règles d'encombrement du livre. Au niveau de la forme, Veins of the Earth est presque intégralement en noir et blanc avec quelques rares touches de couleurs sur certaines illustrations. Le livre est entièrement illustré par Scrap Princess dont le style est déroutant au premier abord (on a l'impression d'avoir affaire à des gribouillis. Si vous avez déjà lu Tomb of the Serpent Kings, c'est la même illustratrice). Pourtant, durant ma lecture j'ai fini par comprendre la pertinence de ce style de dessin. Alors que les yeux sont concentrés sur le texte, ces formes floues et mal définies dans la vision périphérique deviennent oppressantes, et elles illustrent parfaitement les silouhettes sombres que les PJs devront essayer de déchiffrer dans l'obscurité pour espérer survivre. Dans l'ensemble, j'ai adoré le livre et il fait partie selon moi des incontournables de la gamme. Même si tout n'est pas forcément bon à prendre (le système de génération de veines me semble trop compliqué, les procédures d'exploration trop laborieuses), Veins of the Earth propose tellement de matériel de jeu qu'il y a forcément des choses à en tirer. Je pense qu'après ma lecture du livre et la vision de l'obscurité proposée par l'auteur, ma manière de faire jouer des aventures dans les souterrains va radicalement changer. La citation du livre que j'ai trouvée la plus évocatrice : "When an hour of light costs the same as a silver piece or a mouthful of flesh, then you are within the Veins" (-> Lorsqu'une heure de lumière a la valeur d'une pièce d'or ou d'une bouchée de chair, vous avez atteint les Veines).
The Deck of Weird Things est un livre consacré à la description d'un objet magique inspiré par le fameux deck of many things de D&D. Pour simuler le deck, il faut un deck de 54 cartes (avec les jokers donc). Chaque carte tirée peut avoir l'un des 4 effets différents proposés dans sa description (pour déterminer lequel, on tire une nouvelle carte dans un autre jeu de 52 cartes cette fois ci, et on regarde uniquement la couleur de la carte). D'une manière générale, les cartes rouges ont un effet bénéfique et les cartes noires ont un effet négatif. Les changements apportés vont du suivant rencontré par le joueur (ou du compagnon animal) jusqu'à l'immortalité en passant par des changements cosmétique (une peau réfléchissante !). Tous les effets sont typés "Weird Fantasy" (qui n'a jamais rêvé d'avoir un ver lacet volant pouvant être chevauché comme compagnon animal ?) et l'auteur explique que la meilleure chose à faire avec cet objet magique est de le donner aux PJs assez tôt dans la campagne pour complètement changer leurs personnages. Clairement, le livre n'est pas indispensable, mais c'est une curiosité rigolote à avoir dans sa bibliothèque. Je serais presque tenté de faire tirer une carte à tous les nouveaux personnages de mes joueurs avant de commencer une partie (ou une campagne) pour avoir des personnages vraiment uniques à chaque fois. À voir.
Enfin, The Octo-Planetary Blade of Somnambulistic Beneficence est, tout comme le Deck of Weird Things, un objet magique à placer dans sa campagne. Le livre est difficilement trouvable puisqu'il était offert lors de commandes sur le site de lotfp, mais si vous l'avez raté, pas de panique, lui non plus n'est pas indispensable. L'objet en question est une rapière qui propose des pouvoirs aux joueurs selon la planète avec laquelle elle est en "phase" actuellement. Le changement de phase s'effectue lors du sommeil du propriétaire, et un PJ malin apprendra à faire des rêves lucides pour contrôler l'épée. L'originalité du livre vient surtout du support sur lequel il a été imprimé, puisque toutes les pages sont recouvertes d'une encre réfléchissante. La description des effets des différentes planètes rend particulièrement bien, puisque l'illustration de la planète est réfléchie sur la page d'en face. Malgré tout, l'aspect miroir rend le texte difficile à lire par moment (quand ma tête se reflète derrière les lettres, j'ai du mal à me concentrer sur ce que je lis), et j'ai peur que le livre vieillisse assez mal (j'ai déjà une petite marque sur la couverture, je pense que les pages vont marquer assez rapidement en cas de choc ou de griffure)... Et puis je suis désolé, mais le livre ne sent pas bon. J'ai du mal à en décrire l'odeur, mais l'encre miroir pue.
Prochaines lectures : Big Puppet, Fermentum Nigrum Dei Sepulti et Adventure Anthology : Blood.
