Casus 8 154
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Juste qu'encore une fois on constate les degats...
Le retard traditionnel, on se croirait dans le batiment c'est dire...
Fragle
On se croirait dans un truc qui a peiné à trouver son rythme et qui s'est pris un coup momentané dans l'aile.
Tiens, le bâtiment, ce bel exemple. Personne n'irait (légitimement) reprocher à un entrepreneur de ne pas avoir coulé une dalle de béton en plein gel, au risque de la voir s'effriter et de devoir tout refaire.
Et là, c'est un peu la même chose, tu constates certes, mais tu ne peux pas reprocher au mag de subir de contrecoup d'un événement fâcheux.
Maintenant, je sais, je sais, périodicité annoncée, tout ça tout ça. Dans les faits, les abonnés paieront pour 6 numéros, les non abonnés paieront pour les numéros qu'ils veulent acheter... Et comme tout n'est pas une question d'actu immédiate dans le JDR, autant philosopher et se dire que les gars tiennent la barre tant bien que mal, et arrivent quand même à faire arriver le navire au port alors que le gouvernail a pété et que le maître charpentier est tombé à l'eau.
Enfin bref... Je ne vois pas, là, présentement, dans la situation actuelle, comment ça aurait pu ne pas prendre de retard.
Loin de moi de leur jeter la pierre...
Je constate simplement l'accumulation répetée des retards, c'est tout.
C'est un fait... Le reste c'est de la litterature...
Fragle
Sujet mainte fois abordé et récurrent...
D'un côté tu as la passion et l'envie de faire et de l'autre tu as la réalité et la loi de Murphy...
Murphy était un ingénieur de la Nasa qui avait établi comme principe que si quelque chose pouvait mal se passer, il fallait partir du principe que ça allait mal se passer et intégrer cette perspective dans l'établissement des procédures et les délais.
Donc, dans le cas présent, mauvais exemple puisque Casus (comme la plupart des entrepreneurs) part du principe pour définir ses délais que ça va bien se passer.
Contrairement à ce que présente Kobbold, un entrepreneur qui n'intègrerait pas dans ses délais le fait qu'en période froide il puisse geler, pour moi c'est une faute de sa part.
Mais c'est sans rapport avec le problème actuel de Casus.
Donc, dans le cas présent, mauvais exemple puisque Casus (comme la plupart des entrepreneurs) part du principe pour définir ses délais que ça va bien se passer.
Contrairement à ce que présente Kobbold, un entrepreneur qui n'intègrerait pas dans ses délais le fait qu'en période froide il puisse geler, pour moi c'est une faute de sa part.
Mais c'est sans rapport avec le problème actuel de Casus.
Je trouve au contraire que l'on en plein dedans !
Probablement que nous faisons pas référence à la même définition de la loi de Murphy !
Probablement que nous faisons pas référence à la même définition de la loi de Murphy !
Une autre approche c'est aussi comment on enregistre les choses comme étant un évènement, quand un train a 15 minutes de retard on s'en rappelle mais pas les fois où il est à l'heure, du coup on a l'impression que les trains sont très souvent en retard.
Sinon en tant que programmeur j'ai toujours cette loi en tête et considère que l'utilisateur ne saura pas bien utilisé mon programme, du coup j'anticipe la plupart des erreurs qu'il pourrait commettre et la plupart des programmeurs font ça.
Une autre approche c'est aussi comment on enregistre les choses comme étant un évènement, quand un train a 15 minutes de retard on s'en rappelle mais pas les fois où il est à l'heure, du coup on a l'impression que les trains sont très souvent en retard.
Sinon en tant que programmeur j'ai toujours cette loi en tête et considère que l'utilisateur ne saura pas bien utilisé mon programme, du coup j'anticipe la plupart des erreurs qu'il pourrait commettre et la plupart des programmeurs font ça.
Rasend
Le cerveau enregistre ce qui ne va pas , le détail qui cloche donc on s'en souvient .
Je reprends juste ton exemple du 2° § , ce n'est pas personnel : Et si ton ordi tombe en panne ou que tu sois cloué au lit ...le prévois-tu dans les retards ?
Parce que là vous dites (tous) qu'il aurait valu prévoir une défection au plus niveau !!!!! Vous êtes sérieux
Une autre approche c'est aussi comment on enregistre les choses comme étant un évènement, quand un train a 15 minutes de retard on s'en rappelle mais pas les fois où il est à l'heure, du coup on a l'impression que les trains sont très souvent en retard.
Sinon en tant que programmeur j'ai toujours cette loi en tête et considère que l'utilisateur ne saura pas bien utilisé mon programme, du coup j'anticipe la plupart des erreurs qu'il pourrait commettre et la plupart des programmeurs font ça.
Rasend
Je reprends juste ton exemple du 2° § , ce n'est pas personnel : Et si ton ordi tombe en panne ou que tu sois cloué au lit ...le prévois-tu dans les retards ?
MASTER
Je prévois les erreurs que l'utilisateur fera quand il aura le programme, pas les retards que j'aurais, après j'ai plusieurs plateformes de travail et mes données sont enregistrés sur plusieurs supports.
....
Ce n'est absolument pas ce que j'ai dit, il me semble même que c'est tout le contraire...
Der§en
J'avais bien compris ce que tu as dit ,ma remarque ne découlait pas de ton post .
Tout comme je comprends le post de Rasend :prévoir ce qui est prévisible (plantage ,sauvegarde , renfort ,etc ) pas la maladie ou autre chose ... ce qui s'est produit .
Dans notre cas c'est la LEM .
Murphy était un ingénieur de la Nasa qui avait établi comme principe que si quelque chose pouvait mal se passer, il fallait partir du principe que ça allait mal se passer et intégrer cette perspective dans l'établissement des procédures et les délais.
Donc, dans le cas présent, mauvais exemple puisque Casus (comme la plupart des entrepreneurs) part du principe pour définir ses délais que ça va bien se passer. Menhir
Ouais d'ailleurs le jour où l'imprimeur brûlera avec les casus, ça sera aussi la faute à casus, parce qu'ils auraient dû prévoir un plan de secours.
Contrairement à ce que présente Kobbold, un entrepreneur qui n'intègrerait pas dans ses délais le fait qu'en période froide il puisse geler, pour moi c'est une faute de sa part.
Mais c'est sans rapport avec le problème actuel de Casus.
En même temps, tu as l'habitude de prendre un exemple qui n'est là que pour expliciter un concept (l'imprévu qui arrive) pour sortir un "oui mais". On s'y fait.
Mais bon z'avez raison les râlistes, c'est abomifreux, y'a que des retards (faux, des deux derniers numéros sorti ont eu un délai de deux mois environ entre les deux sorties), c'est la littérature de dire que ça se redressait (mais bien sûr fraggle), et puis en plus tout devrait être prévisible, surtout avec une structure (le mag) qui ne fonctionne que par la bonne volonté, outre de l'éditeur, d'une petite tripotée de pigistes qui bossent comme ils peuvent à côté de leur vie de tous les jours et qui, malgré le prix qui parait si important dans l'absolu, ne sont pas payés à coup de rolex.
Enfin bon.........
Loin de moi de leur jeter la pierre...
Je constate simplement l'accumulation répetée des retards, c'est tout. Fragle
Non, ce n'est pas tout, tu ajoutes également un commentaire, du coup, tu n'es plus juste dans le constat.
C'est un fait... Le reste c'est de la litterature... Fragle
Non, ce n'est pas un fait, mais une phrase très très bizarre (accumulation répétée, très bon)
Je prévois les erreurs que l'utilisateur fera quand il aura le programme, pas les retards que j'aurais, après j'ai plusieurs plateformes de travail et mes données sont enregistrés sur plusieurs supports.
Rasend
Ce sont deux choses différentes pour moi
Quand tu programmes tu pars du principe que si un utilisateur a la possibilité de faire planter le programme, à un moment ou à un autre au moins un utilisateur le fera
Ensuite quand tu fais un planning, la règle d'or c'est d'évaluer le temps qui te semble raisonnable pour le faire, et (car comme le disait Rumsfeld quand il n'a pas trouvé les armes de destruction massives: "Shit happens") tu multiplies par 2.1 ou 2.3, et la réalité est généralement proche de ça (du moins dans l'industrie)
je connais rien à l'impression, donc le chiffre est probablement différent et plus élevé (et si tu prends le pire cas, ça se compte en années, donc je vois mal un éditeur annoncer que le produit sera livré dans 2 ans car il prévoit le pire ...)
Et les gars!!
Le JdR = loisir et pô prise de tête!!
Tu as acheté 5 CB. Tu en auras 5!
T'es pô à 6 ou 12 mois près!
NURTHOR
Casus Belli, le magazine de référence des jeux de rôle signe son grand retour après sa mue sous la houlette de Black Book Editions. Cette nouvelle version du premier magazine des jeux de simulation se veut généraliste et s'adresse à toutes les générations de joueurs, fort d'une équipe mêlant nouveaux venus (issue de la précédente formule de Casus qui n'a connue que 5 numéros), jeunes loups des steppes (issus du défunt magazine Black Box) et grands anciens (issus de la première version de Casus Belli, celle de l'âge d'or du JdR).
Tous les deux mois, retrouvez dans les pages de Casus Belli :
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