Comment faire pour participer au casus belli ? 24

Bonjour,

je souhaiterai savoir comment participer au casus belli (aide de jeu ou scénario)

quel format? nombre de caractéres? etc etc...

cordialement

un vieux roliste

Le mieux c'est d'ouvrir un casus belli récent, de trouver le mail du rédac chef dans l'ours et de lui demander en direct ça sera plus simple à mon avis.

Ouaip... contacter le fouetteur est la meilleure solution

Yep, n'hésite pas à envoyer un mail à tête brûlée en lui disant bien ce que tu proposes etc.

Tu peux aussi contacter des membres de la rédac selon la rubrique (comme on a un peu notre "spécialité").

En tout cas, tu fais bien de poser la question car ça permet d'insister une nouvelle fois: n'hésitez jamais à proposer vos aides de jeu, scénarios, articles divers et variés, vos chroniques de produits, etc. Nous sommes preneurs de toutes les bonnes volontés (ensuite, Fouette-man décide de qui a le droit de vivre ou d'être fouetté (bien que les deux soit souvent possible)).

Je plussoie.

Et pour le nombre de caractères je crois qu'une page du magazine correspond à 3000 signes. Un scénario de 12 pages, c'est donc environ 36 000 signes. C'est environ ce qui est attendu (avec beaucoup d'exception !).

Pour le gabarit, tête brûlée t'en dira plus.

Si c'est des aides de jeu et des scénarios et si c'est validé par tête brûlée pas de soucis, il t'en dira plus sur le format, les besoins, etc, c'est mieux d'être d'accord avant de te lancer dans un gros projet d'écriture.

En revanche si tu fais des critiques spontanées, saches que tout ne sera pas forcément retenu (surtout si c'est hors JdR, comme par exemple la rubrique l'étagère du rôliste) souvent par manque de place, faut le savoir et ne pas hésiter à proposer toujours d'autres nouveautés, ce qui implique d'être au taquet sur tout ce qui sort (sphère ludique, culture pop', films, séries tv, livres, BD, comics, Artistes, etc).

Et il faut savoir mettre son ego de côté et accepter la critique, ou le refus d'un article parce qu'il est mal écrit ou qu'il ne correspond pas à la ligne éditoriale.

Merci à tous pour ces infos

je jette un coup d'oeil dans mon casus et je maile le fouetteur au plus vite

J'ai contacté tête brulée pour mon aide de jeu " description des PNJ". Je pense pas que le format soit adaptée au magasine, mais si cela peut aider quelques personnes ...

Par curiosité, ce type de contribution est rémunérée comme pour un pigiste non professionnel ?

C'est rémunéré tout court, soit en facturant si tu le peux, soit via une note d'auteur sur laquelle seront prélevées tes cottisations sociales.

Comme a dit Julien.

Par contre, tu entends quoi par "un pigiste non professionnel"? Pour moi, à partir du moment où tu es payé pour faire un travail, même au lance-pierre, ça devient professionnel (que tu puisses émettre des factures ou non). En tout cas, quand on écrit, même un petit texte, il faut se dire que c'est un travail "professionnel" que l'on essaie d'offrir (y arriver ou non est un autre souci ) puisque des gens vont payer pour lire.

Petite précision importante, bien discuter avant d'envoyer les textes ou illustrations des modalités de rémunérations. Dans le cas contraire, il y a un risque de rien avoir.

Tu parles de casus là où des éditeurs en général ?

De ma propre expérience, j'ai toujours été payé pour mes textes.

C'est juste un principe général dans toute relation commercial à appliquer.

L'écriture c'est assez particulier. C'est un travail d'auteur, donc tu peux te faire payer sans être déclaré, sans N° SIRET, tout ça... Juste avec une note de droit d'auteur. L'éditeur verse lui-même les cotisations. Toi tu encaisses, et bien sûr tu indiques ton revenu sur ta déclaration d'impôts, voire à Pôle Emploi, ou à la CAF si tu es au RSA. Et tout le monde est en règle, c'est une activité annexe.

La relecture en revanche c'est un peu plus compliqué, il faut être salarié ou micro-entrepreneur pour rester dans les clous (cf. procès Gallimard).

Quoi qu'il en soit, un éditeur qui publie ton travail sans te payer, comme il a été sous-entendu, ça me paraît gros. C'est juste du vol. Le pb plus fréquent, c'est plutôt qu'on ne te réponde pas, ou qu'on te balade un mois avec des "Je vois ça demain" de la part d'éditeurs qui se plaignent de ne pas trouver de collaborateurs... Là tu fuis.

Je précise que je ne parle pas en particulier de BB, je n'ai jamais travaillé avec eux (enfin j'attends une réponse, mais ça ne fait pas très longtemps ). C'est une appréciation générale pour ceux qui veulent faire ça.

Le propos ne concernait pas BBE en particulier, mais une précaution général à prendre.

Et c'est mon expétience d'independant d'avant (pas dans le monde du jdr).

Pour le coup, BBE paie et Casus paie les textes fournis.

Par contre, tu entends quoi par "un pigiste non professionnel"?

Simplement quelqu'un dont ce n'est pas l'activité principale. Par ex, un expert (juriste, médecin etc) qui écrit un article occasionnellement pour un journal, mais sans être journaliste.

Bien sûr, je comprends bien qu'on attend de la qualité à partir du moment où on parle de rémunération...

Par contre, tu entends quoi par "un pigiste non professionnel"?

Simplement quelqu'un dont ce n'est pas l'activité principale. Par ex, un expert (juriste, médecin etc) qui écrit un article occasionnellement pour un journal, mais sans être journaliste.

C'est super limitatif. Le fait d'exercer plusieurs activités ne rend pas toutes les activités à l'exception de la plus importante "non professionnelle". Du moment que tu te fais payer et que ça entre dans tes revenus, que tu les déclares aux impôts, que tu paies des cottisations dessus, c'est que tu en a fait une profession.

Selon ta définition, pratiquant plusieurs activités, je ne suis pas professionnel dans la plupart. Pourtant si : je suis engagé et payé pour mes compétences.