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Black Book Éditions, le site de référence des jeux de rôle

[Débat] Le rôliste moyen est-il un nerd? 19

Forums > Gnomes & liches

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Ola amis rôlistes!

Tandis que je lisais amoureusement le pdf de mon Casus n°20, je suis tombé sur un article très intéressant traitant d'une série dont j'avais à peine entendu parler (et sur laquelle je vais prochainement jeter mon dévolu!). Et j'ai été interpellé par l'attitude de l'auteur sur un sujet très précis: les stéréotypes plutôt péjoratifs dont souffre le jdr depuis que le monde est monde.

En effet, dans l'article, l'auteur déplore une certaine persistance de ces stéréotypes en citant d'autres séries ne valorisant pas particulièrement le jeux de rôle - notamment The Bing Bang Theory où le jdr est un traité comme un ressort humoristique renforçant le côté décalé et marginal des protagonistes, en caractérisant au passage ce loisir comme quelque chose d'un peu abscons.

Et je vous avoue que je m'interroge un peu sur cette défiance.

Comme si c'était forcément faux. Comme si le rôliste moyen n'était pas un nerd ou un marginal. N'en avait jamais été un. D'aucune manière possible.

Je veux dire, certes tous les rôlistes ne sont pas forcément des marginaux souffrant de difficultés sociales particulières et je comprends que notre communauté lutte contre ce genre de cliché (ou éprouve des réactions épidermiques à leur évocation) mais n'est-ce pas un peu hypocrite de notre part? Nombre de rôliste ont mordu la pomme lors de leur adolescence, période de la vie difficile et cruciale où les affres de la puberté, le changement de milieu scolaire (collège ou lycée), la prise de conscience de différences sociales ou culturelles et les bouleversements hormonaux peuvent créer isolement et solitude et où le jeux de rôle peut être perçu comme une bouffée d'oxygène salvatrice - avec le risque largement stigmatisé par les médias de se jeter à corps perdu dans cette autre réalité née de l'imaginaire et tellement plus supportable que le quotidien.

Dans cet isolement, nous sommes qualifiés de geek, nerd, gothique, etc. Parfois, nous ne réunissons pas suffisamment de critères sociaux pour être placés dans une case prédéfinie par les critères de la société, mais on est pas forcément comme les autres.

Je suis probablement moi-même le fruit de ces préjugés et estime peut-être trop facilement que le rôliste type est un marginal mais j'ai la réelle impression que c'est le cas - après tout, c'est la définition même de notre activité qui est une activité de niche, au marché très réduit et qui nécessite une "transmission de flamme" intensive pour croître et ne pas s'éteindre.

En fait, ce qui m'a le plus saisi, ça a été l'exemple cité de The Big Bang Theory. Avec ses personnages gauches, décalés, souffrant de phobies sociales, etc.. Ces clichés ô combien repris par les médias qui ne mettent pas en valeur le jeu de rôle et l'auteur qui déplore cet état.

Mais... est-ce un cliché si éloigné que ça de la réalité? Avons-nous été beaucoup de rôlistes cools sur les bancs du collège, les mecs et nanas à suivre? Ces gens populaires qui lançaient des modes et qui étaient les plus m'as-tu vu du Lycée?

Et surtout... est-ce un mal que nous ayons été de ces gens là? Est-ce mal d'être différents?

Pour en revenir à ces protagonistes de The Big Bang Theory. Il me semble important de garder à l'esprit que ces nerds, ils réussissent dans la vie! Ils s'élèvent au fil des saisons, ils se mettent en couple, ils se marient, parfois même avec la pompom girl du lycée qui n'avait d'yeux que pour le beau mec "cool" mais sans grande ambition dans nos années lycées. Ils évoluent tous super bien!

Alors certes, ce n'est qu'une série et elle n'utilise pas le jdr comme moteur de leur réussite sociale et professionnelle c'est vrai mais ce loisir fait intégralement partie de leur vie. Et vu qu'on est entre rôliste, on peut se l'avouer: le jdr nous aide à développer nos compétences sociales, à parler, à développer notre imaginaire, etc. C'est un loisir qui nous apporte beaucoup au quotidien (et dans les discours promoteurs de cette activité, c'est souvent ce qui est mis en avant).

Au final, devons-nous avoir honte d'être/avoir été des marginaux?

PS: spontanément, je ne me qualifie pas de marginal. Même dans mon adolescence, cet adjectif ne me vient pas à l'esprit. Parce que j'ai eu la chance d'avoir une famille stable, une adolescence pas trop ingrate, des proches pour m'épauler et m'écouter, etc. La "crise de l'adolescence" n'est pas vraiment un truc que j'ai connu.

Et pourtant, à bien y repenser, j'étais dans le petit groupe d'intellos de service. De ceux avec lesquels je pouvais discuter, partager, créer. Ecrire des histoires, faire vibrer mon imagination. Et la découverte du jdr dans mes années lycées ne m'a pas fait changer de cercle de fréquentation.

Donc même si je ne me retrouve clairement pas dans la plupart des stéréotypes décriés, je n'en étais pas loin quand même.

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Au final, devons-nous avoir honte d'être/avoir été des marginaux?

Je te répondrai par une (presque) citation de JPS : "Les nerds, c'est les autres" mort de rire

Mais plus sérieusement, n'ayant pas consacré ma vie adolescente exclusivement au JDR mais aussi au Rugby, à la plage, aux différentes Férias du côté de chez moi, à la pêche en bord de mer, à la montagne (surtout le vin chaud), aux balades en forêt landaise ...bref ... je ne me suis jamais vraiment considéré comme un nerd, un isolé ou quelque chose dans le genre.

Bizarrement, c'est plutôt maintenant (à 45 ans) que j'aurai peut être tendance à devenir nerd parce que j'ai passé l'âge de faire la bringue tous les we (ne rigolez pas les jeunes, vous allez vous en rendre compte assez tôt), que je n'ai plus envie de m'emmerder avec une gonzesse, que j'ai la chance (pour l'instant) d'avoir un taf et de pourvoir dépenser dans les PP que je veux, parce qu'on vit une époque tellement de merde que se réfugier dans le JDR permets d'oublier tout ça quelques heures ... après je vous rassure, j'ai une vie sociale bien remplie, tout va bien et je ne suis pas dépressif clin d'oeil. C'est juste la réflexion de Leo qui me fait réfléchir sur mon propre cas.

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Ce qui m'embête dans les qualificatifs de marginal, intello et surtout nerd, c'est celui de asocial : ne serait-ce pas un paradoxe pour de tels asociaux que nous sommes de se réunir pour jouer ensemble ?

moqueur

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  • LeoDanto
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ephan

Alors il faut garder à l'esprit que ces termes sont très durs et employer pour placer des gens dans des cases sociales bien définies. Le mot en lui-même n'a en général qu'un lien assez éloigné avec la situation décrite: dire de quelqu'un qu'il est marginal ne veut pas dire qu'il est asocial et qu'il vit en ermite au fin fond des bois.

Par contre, il peut avoir des goûts et des centres d'intérêts qui ne sont pas ceux du reste de la communauté dans laquelle il évolue.

Quant à savoir si on peut qualifier d'asocial des rôlistes qui se réunissent ensembles pour jouer... je ne sais pas. On pourra toujours dire que le rôliste moderne cherche à répandre son loisir, à le faire comprendre, à le partager. Il multipliera donc les tables, les conventions, les expériences, etc.

Mais combien ont "leur table habituelle"? "Leur groupe de joueurs" avec lequel ils ont partagé leurs meilleurs souvenirs?

Aujourd'hui, avec le jdrvirtuel et ma volonté de faire comprendre mon loisir aux profanes qui m'entourent, j'ai l'occasion de pratiquer de plus en plus de joueurs différents. Mais dans les faits j'ai fait l'essentiel de ma vie de rôliste avec les 3 mêmes personnes et aujourd'hui encore, en jdr virtuel, une fois que je trouve une table avec une alchimie que je juge parfaite, je fais tout mon possible pour toujours revenir à cette table, avec ces mêmes personnes.

Le paradoxe se place là, n'est-ce pas? :p

Après, je ne dis pas qu'il ne faut pas promouvoir le jdr, qu'il ne faut pas chercher à casser le schéma dans lequel on a vite tendance à enfermer le rôliste classique, schéma né de la méconnaissance de ce loisir. Je m'interroge simplement sur la réalité du statut rôliste = différent et surtout, sur la nécessité de mal percevoir cette réalité - si réalité il y a.

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"J'abhorre cette étrange habitude qu'ont les littéraires de se vanter de leur nullité en maths ! On n'est jamais aussi bien asservi que par soi-même..." - Norman Baillargeon.

Je fais mon intelligent en sortant cette citation pour illustrer que bien souvent les caricatures, les représentations dans lesquelles on vous enferme forment un abris bien confortable et rassurant également, et que l'on se retrouve vite à s'y complaire. La question n'est donc pas de savoir si on doit avoir honte d'avoir été des marginaux, pour reprendre le terme, mais si cette complaisance vis à vis de nous-même qui devient avec le temps de l'auto-satisfaction ne nous rends pas effectivement ridicule. On a l'image que l'on mérite, plus souvent qu'on veut bien l'admettre.

C'est valable pour toutes les postures, du grand blond sportif au rat de bibliothèque binoclard. Après on fait ce qu'on peut :

On se regroupe par activités, par affinités, par ressemblance physique, par idéologie... Lorsque l'on observe les déplacements dans un supermarché sonorisé, on se rend compte que beaucoup marchent au rythme de la musique de fond quand elle bien rythmé... Tout ça est naturel. Je trouve dommage que notre niveau de conscience potentiel ne nous décoince pas davantage et je trouve [ton moralisateur] médiocre de satisfaire de ces cloisonnements par souci de posture, de fébrilité ou par flemme intellectuelle[/].

Heureusement ici personne n'est dans cette situation plaisantin. On est tous blonds, féru de sciences, de lettres, de foot, de métal, d'opéra lyrique, de poker et d'échecs. On ne déteste rien ni personne par principe, uniquement après expérimentation démon. Donc d'où viennent ces images...? troll. Au final on s'en fout ! Let's play content

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"J'abhorre cette étrange habitude qu'ont les littéraires de se vanter de leur nullité en maths ! On n'est jamais aussi bien asservi que par soi-même..." - Norman Baillargeon.

[...]

Heureusement ici personne n'est dans cette situation plaisantin. On est tous blonds, féru de sciences, de lettres, de foot, de métal, d'opéra lyrique, de poker et d'échecs. On ne déteste rien ni personne par principe, uniquement après expérimentation démon. Donc d'où viennent ces images...? troll. Au final on s'en fout ! Let's play contentSpark5262

Excellent. Je suis prof de maths d'ailleurs !

Je ne suis pas blond et je n'aime pas le foot. Le reste.... tu me connais ou bien ?

Non décidément, même symboliquement je ne peux pas être blond ou regarder du foot, mais peut-être qu'il s'agissait d'y jouer clin d'oeil

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J'avais en fait pas mal des caractéristiques des stéréotypes, petit à lunettes, plutôt chétif et intello. Le fait est que pour moi le jdr est finalement l'outil qui m'a permis de m'ouvrir à des milieux sociaux culturels très différents du mien et je pense que sans le jdr ça ne serait jamais arrivé. Entre le grand mec en blouson de cuir qui faisait déjà 1m80 en cinquième , qui écoutait du métal et que tous le monde pensait sataniste, le jeune de banlieu en survet lacoste qui faisait du breakdance, en passant par le fils de prof pratiquant d'art martiaux, qui vivait dans une villa avec piscine ou moi même fils d'éditeur vivant dans ce même genre de quartier plutôt aisé. On était un peu à part parce qu'on faisait effectivement des jdr dans la cour du collège entre midi et deux, mais d'un autre côté certains membre de ce groupe de joueur étaient parmi les plus sociaux du collège.
Finalement je me sens geek parce que je suis passionné et capable de devenir monomaniaque dans le jdr, où la majorité de mes autres activités sont plus ou moins soumises au prisme de : Est-ce que je vais pouvoir utiliser ça dans un jdr. Ca m'empêche pas d'aller boire des coups régulièrement, de faire de l'escalade une à deux fois par semaine en salle ou en extérieur et de rencontrer des gens qui ne font pas du jdr (pas encore du moins ;o) mais au fond de moi, je m'assume comme geek, voir nerd parce que je suis chimiste aussi et qu'en fonction des gens, je peux passer ma soirée à parler de chimie...
Cependant je ne me suis jamais considéré comme socialement handicapé, et j'ai même tendance à mettre le jdr en avant pour expliqué mon aisance à l'oral et mon assurance. Mais il ya tellement de joueurs et de manière de jouer, je pense que cette image vient du fait que ça peut être tellement abscon et en décalage avec les discussions habituelles de cour d'école, de machine à café ou autre que forcément tu apparaît comme différent et étrange. Quand tu essayes d'expliquer ce dont il s'agit, si ton discours n'est pas rodé, tu risque de perdre l'attention des interlocuteurs rapidement et donc d'apparaitre comme déconnecté de la réalité parce que tu explique avec fébrilité que la veille tu as trouvé dans le trésor d'un dragon l'épée de Kirlam, une arme vorpale +4! Alors que pour nous c'est pas plus différent que de voir des gens raconter qu'hier un tel à mis deux buts en pleine lucarne. Mais foot tout le monde connait (ce qui n'empêchera pas certains amateurs de foot de passer pour des beaufs).

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"J'abhorre cette étrange habitude qu'ont les littéraires de se vanter de leur nullité en maths ! On n'est jamais aussi bien asservi que par soi-même..." - Norman Baillargeon.

Je fais mon intelligent en sortant cette citation pour illustrer que bien souvent les caricatures, les représentations dans lesquelles on vous enferme forment un abris bien confortable et rassurant également, et que l'on se retrouve vite à s'y complaire. La question n'est donc pas de savoir si on doit avoir honte d'avoir été des marginaux, pour reprendre le terme, mais si cette complaisance vis à vis de nous-même qui devient avec le temps de l'auto-satisfaction ne nous rends pas effectivement ridicule. On a l'image que l'on mérite, plus souvent qu'on veut bien l'admettre.

Parfait. Exactement ce que j'aurais voulu savoir dire, mais en plus érudit. Je t'offre mes pouces.

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SmirnovV5312

Personellement je ne me reconnais pas du tout en nerd ou autre poncifs.

Je n ai pas été le plus populaire de mon lycée ou collège mais j ai jamais été dans mon coin ou isolé, j ai été et suis toujours une grande gueule, j ai 44 ans père de 4 gosses dont 2 de deux femmes différentes, fan de sport surtout du foot et sports de combat (donc pour le côté chétif...) j ai pratique pas mal de sports extrêmes, dans ma jeunesse je suis beaucoup sorti j ai testé quelques drogues comme beaucoup, fait de la politique,milité, j ai fait l armée comme tout le monde a mon époque et je voue un amour immodéré à Disney. paradoxalement c est maintenant ou je suis plus a l aisé financièrement que je bouge moins mais j adore recevoir.

Après il est vrai que je lis énormément et ça doit en conforter certains quand je dis que je suis roliste sur le côté intello mais bon si il faut des niches....

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  • Sehkmy
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Thanos17

" père de 4 gosses dont 2 de deux femmes différentes" je dois être nul en math je ne te comprends pas, les 2 autres tu les as eu avec des hommes (ce qui ne serait pas un problème, hein) ?

Il y aura toujours des exceptions mais le groupe de rôlistes est bien souvent composé des rêveurs de la classe. Ces rêveurs peuvent être sportifs, populaires ou intellos mais la société n'admet pas toujours facilement les rêveurs, surtout quand leur loisir s'affranchit des règles courantes de consommation.

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Un pote me disait que tous les rôlistes sont un peu des marginaux (terme non péjoratif) ; en tout cas, au moment où ils ont débuté le JDR. Je suis assez d'accord avec cette idée. D'ailleurs, je trouve pas cela choquant. Au passage, c'est pas tellement notre vision à nous rôlistes qui définit cette image, mais ceux des autres.

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" père de 4 gosses dont 2 de deux femmes différentes" je dois être nul en math je ne te comprends pas, les 2 autres tu les as eu avec des hommes (ce qui ne serait pas un problème, hein) ?

Il y aura toujours des exceptions mais le groupe de rôlistes est bien souvent composé des rêveurs de la classe. Ces rêveurs peuvent être sportifs, populaires ou intellos mais la société n'admet pas toujours facilement les rêveurs, surtout quand leur loisir s'affranchit des règles courantes de consommation.

Sehkmy

Je me suis mal exprime j ai 2 gosses avec ma femme et j ai eu 2 filles avec deux autres femmes avant

Désolé a 6 heures du mat on es pas clair

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48 ans, marié un enfant de 13 ans et demi qui a attaqué le jdr cette année. Ancien batteur de métal, alpiniste, cadre supérieur de la fonction publique.

Mon cas personnel on s'en fout. Mais notre point commun à tous c'est l'écrit et la littérature, du moins je crois.

Que celui qui a joué ou fait jouer tout ce qu'il a lu se signale: ça ne fera pas beaucoup d'individus. Parce qu'on adore lire, non? Se raconter des hisoires, non? Nous sommes justes des enfants des lettres.

Moi j'aurais aimé vers 1840 avoir Honoré de Balzac comme MJ.

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@bocoro: Quand tu dis que "notre point commun à tous c'est l'écrit et la littérature" c'est ce qui semblerait évident mais qui ne l'est pas tant que ça au final. Dans mon groupe de joueurs (et cela semble être le cas aussi sur ce forum) il y a plus de gens qui travaillent dans l'informatique et les sciences dites "dures (chimie, maths etc...) que de "littéraires". Et j'ai du mal à l'expliquer, peut être le côté "stats" et "opti" des jdr à la pathfinder?

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  • Spark5262
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Slimouze

Au passage, il y a deux catégories de rôlistes : Les maîtres de jeu et les joueurs... Si si ! Bien sûr, quelques perles rares appartiennent aux deux. Si on revient au rapport à la lecture/littérature et culture, on remarquera probablement que l'on retrouve une répartition d'adhésion ou non à ce centre d'intérêt assez proche de celle de joueurs/MJ.

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Rôliste = nerd, depuis que le mot est à la mode. Avant c'était, "bizarre" ou "je t'ai vu à bas les masques". Perso, rien à BIP de tout çà et je ne m'y suis jamais reconnu en tout cas. Pourtant, c'est un super hobby à partager entre amis ! plaisantin

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  • Julien Dutel
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Sammy

nerd n'est pas un mot à la mode. Il n'est toujours pas valorisant d'être nerd. (c'est geek qui est à la mode, même s'il n'est pas vraiment valorisant d'être geek à moins que tu sois geek juste parce que tu es sur twitter et instagram)

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le bon détérrage des familles joyeux

le roliste est-il un nerd ?! lol

Le roliste est une personne qui joue au jeu de rôle point ...

Puis même si le roliste est un nerd , un geek, un mec banché ?! ... je sais pas si y'a lieu de débat ...

On m'a dit quand j'ai débuté le jeu de rôle :

"Pour jouer au jeu de rôle il y a pas de bonne méthode il faut juste faire preuve d'imagination, d'écoute, d'ouverure d'esprit et de respect "

Pour exemple : Je suis ambulancier , j'ai 25 ans, j'écoute du rap j'ai des amis d'un peu tout les univers (culture) et j'aime le jeu de rôle , j'aime autant les films de tarantino, spielberg, stephen king ... je suis aussi fan de la littérature de tolkien , Jk Rowling , j'ai même lu l'ensemble des twilight (t'en veux du has been ^^) !

Donc suis-je un Nerd ?! ou un mec bizarre bof je m'en fous joyeux

La vrai question c'est : vous, vous situez dans qu'elle "catégorie" ?!

edit : a une époque (pas si lointaine) la mode s'était de s'agiter comme pour se coiffer sur de la fausse musique techno, en slim avec une coiffe d'indien :

J'ai rien contre chacun ses goûts mais bon ... je me sens pas marginal du tout !

Donc non le roliste n'est pas un nerd, c'est les ignorant qui catégorise mal , la mode et ses codes c'est pas toujours bien joyeux

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la piqure de rappel de fois ça fait du bien joyeux