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Black Book Éditions, le site de référence des jeux de rôle

Sondage : ouvrage de jeu de rôle, primauté de la rapidité de livraison ou de la qualité de relecture ? 105

Forums > Gnomes & liches

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On nous dit que les éditeurs n'ont pas les moyens de faire ni de faire faire les corrections. Je n'ai pas encore vu un palier de financement qui dit "les correcteurs seront mieux payés". Peut-être ne l'ai-je pas vu, mais que ça existe...Par contre, pour les auteurs ou les illustrateurs, ça s'est déjà vu. Non ? Un oubli ou une priorité oubliée ?

On nous dit que le fait que certains passionnés le fassent bénévolement est un vol de travail pour les correcteurs pro et sont donc des salauds. Je ne caricature que très peu...

D'un autre côté, ceux qui le font, sont des pledgeurs, qui font une avance de trésorerie aux éditeurs qui, par le financement participatif, réduisent grandement le risque financier lié à l'édition. En effet, ce qui est financé est déjà un volume de ventes assuré. Le travail d'édition ne risque pas ainsi d'être fait pour rien en attendant un volume de ventes hypothétique, car le volume de vente minimum est défini dès le début et si ce seuil n'est pas atteint, les pertes sont réduites.

Maintenant, si quelques personnes ne faisaient pas cette relecture de pdf "pledgeurs", les ouvrages sortiraient avec de nombreuses fautes. Quand j'ai fait des relectures "pledgeur" (oui gratuitement, je suis un salaud) sur quelques ouvrages de jdr, les retours étaient proches en moyenne d'une faute ou erreur toutes les deux pages. En moyenne car certains passages sont nickel et d'autres moins reluisants. Si il n'y avait pas cette relecture par ces salaupards, la qualité finale des ouvrages papier serait réduite et à terme, à force de "bavures", les clients seraient moins au rendez-vous...

Je ne dis pas que l'édition de JdR est un Eldorado. Cependant, cette niche n'est pas, à mon sens la plus à plaindre, et ce, grâce aux financements participatifs et aux pledgeurs qui sont tout de même très bienveillants globalement.

Les réalités sont sans doute très diverses en fonction des éditeurs et des projets, car on peut difficilement être dans la même réalité dans un projet à 10 000 euros et un projet à 300 000 euros...

Alors soyons tous bienveillants et modérés...

Ceux qui veulent aider, qu'ils puissent le faire sans se faire traiter de tous les noms quand ils proposent de le faire et demandent plus de temps pour relire.

Ceux qui veulent en vivre, qu'ils puissent le faire également et à long terme, qu'ils soient auteurs, illustrateurs, correcteurs, maquettistes... Mais pour ça, il faut vendre des produits de qualité et finis avec ou sans aide des "salauds".

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  • Ours
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On nous dit que les éditeurs n'ont pas les moyens de faire ni de faire faire les corrections.

Non. On dit qu'au prix payé, les éditeurs ont les gens, comme pour les auteurs et les illustrateurs, qui acceptent de bosser à ce prix. Ce qui est très différent.

D'un autre côté, ceux qui le font, sont des pledgeurs, qui font une avance de trésorerie aux éditeurs qui, par le financement participatif, réduisent grandement le risque financier lié à l'édition. En effet, ce qui est financé est déjà un volume de ventes assuré. Le travail d'édition ne risque pas ainsi d'être fait pour rien en attendant un volume de ventes hypothétique, car le volume de vente minimum est défini dès le début et si ce seuil n'est pas atteint, les pertes sont réduites.

Les pledgeurs ne sont pas engagés pour relire. Faut aussi arrêter deux secondes. Tu as juste un truc mis en place pour, si quelqu'un veut remonter une erreur qu'il a vue, qu'il puisse le faire et que ça ne se perde pas.

Mais il y a des relecteurs, faut arrêter deux secondes. Ils sont crédités dans les ouvrages, d'ailleurs.

Les réalités sont sans doute très diverses en fonction des éditeurs et des projets, car on peut difficilement être dans la même réalité dans un projet à 10 000 euros et un projet à 300 000 euros...

Ca n'a rien à voir non plus. L'important c'est le budget par page. Un projet à 300 000 euros avec 10 000 pages, c'est comme un projet à 30 000 euros avec 1 000 pages.

Ceux qui veulent en vivre, qu'ils puissent le faire également et à long terme, qu'ils soient auteurs, illustrateurs, correcteurs, maquettistes... Mais pour ça, il faut vendre des produits de qualité et finis avec ou sans aide des "salauds".

Phiro

Spoiler alert : quasiment aucun auteur de JDR en France n'en vit. Les quelques cas qui en vivent en vivent à peine au smic.

Vous avez conscience de l'état du milieu ? Il faut encore le répéter ? Même pour les "gros", hein... C'est vraiment pas la fête.

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Phiro

C'est je pense moi le on ! content Je n'ai pas dit que c'était des salauds, tu l'interpretes comme tu veux, mais je n'ai été grossier avec personne !

Je n'ai pas dit que les pledgeurs qui corrigent les fautes qu'ils trouvent étaient des salauds, juste que c'est un métier, et qu'organiser du bénévolat pour faire ce métier c'était forcément faire le boulot d'un pro ! content

Je pense qu'il faut en avoir conscience, désolé si ça te pose un problème, mais la situation des correcteurs du livre et de la presse s'est fortement dégradée et ça ne peut pas leur faire plaisir de voir s'installer une situation où des gens font leur boulot bénévolement tandis qu'eux n'arrive pas à se dégager un revenu suffisant ! Si tu ne comprends pas cela, j'y peux rien mais je pense que si tu te mets à leurs places il y a de quoi l'avoir mauvaise ! Et plus que de trouver des fautes dans une lecture loisir pour moi !

Tu parles comme si tu avais été insulté, je ne comprends pas vraiment pourquoi, ta répétition d'un terme que je n'ai pas utilisé, et personne d'autres non plus si je ne me trompe pas parait quelques peu eccessive !

Je suis entièrement d'accord avec toi soyons tous bienveillant et pondéré !

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Pour compléter je suis moi même assez nuls en orthographe et je trouve très bien que les pledgeurs remontent les erreurs comme c'est fait sur BBE ! De là à trouver normal de vouloir organiser une systématisation de ce fonctionnement non !

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Et puis, franchement, la rapidité de la livraison est-elle vraiment si importante ?

Prenons un exemple : COF.Entre les 4 réimpressions du LdB, combien d'autres livres de la gamme existent ?4, il me semble (le LdB, Compagnon, Invincible, Anathazerin).

Combien de temps avons-nous attendus pour la sortie du Compagnon (supplèment de règles) ? Des années ! (Pour exemple, la 2e impression du LdB date de 2014). Alors, quand on a attendu plus de 4 ans pour obtenir un livre, qu'est ce que c'est que 4 ou 5 mois de retard, le temps de la relecture ?

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@Julien,

Tu as juste un truc mis en place pour, si quelqu'un veut remonter une erreur qu'il a vue, qu'il puisse le faire et que ça ne se perde pas.

Je ne mets pas en doute ce que tu expliques, mais je n'ai donc pas de chance, lorsque j'ai reçu des pdf et que j'ai fait des remontés, elles se comptaient par dizaines.

Il faut encore le répéter ? Même pour les "gros", hein... C'est vraiment pas la fête.

Tu es totalement dans le milieu et tu sais donc ce que tu dis. Alors éclaire moi, si ce n'est pas fête, les éditeurs sont-ils tous masochistes ou inconscients pour continuer de sortir de plus en plus de nouveaux projets ?

A moins qu'il y ait un optimisme trop fort de leur part lorsqu'il font leurs prévisions de rentabilité sur les financements participatifs, sur les paliers, les bonus... L'euphorie des paliers peut plomber les budgets peut-être ?

Peux-tu nous livrer ton analyse sur le sujet ?

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@Ours,

Oui, je suis désolé d'être un peu excessif sur ce terme de "salaud".

Ceux qui souhaient aider à faire un produit de meilleure qualité ne doivent pas, à mon sens, être décrits comme les méchants de l'histoire.

J'essaie juste d'apporter un coup de main.

Le pledgeur n'est pas qu'un client, toujours à mon sens, c'est aussi quelqu'un qui s'engage, pas uniquement par de l'argent mais aussi sur le long terme (très long des fois) et soutient la création.

C'est juste ma façon de voir, et pas une vérité absolue.

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  • Ours
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Tu es totalement dans le milieu et tu sais donc ce que tu dis. Alors éclaire moi, si ce n'est pas fête, les éditeurs sont-ils tous masochistes ou inconscients pour continuer de sortir de plus en plus de nouveaux projets ?

Ils sont passionnés, ils essaient de développer des projets, et ils ne sont pas entrés dans ce milieu pour devenir riches. Donc ils font avec ce qu'ils peuvent avec leurs moyens en espérant qu'à un moment ça va se décanter. Comme toute personne bossant dans un milieu difficile par passion

A moins qu'il y ait un optimisme trop fort de leur part lorsqu'il font leurs prévisions de rentabilité sur les financements participatifs, sur les paliers, les bonus... L'euphorie des paliers peut plomber les budgets peut-être ?

Peux-tu nous livrer ton analyse sur le sujet ?

Phiro

C'est plus simple que ça : ils sont obligés de se plier aux effets de psychologie de consommation. Quand un éditeur, quel qu'il soit, te donne un pallier de financement, ce n'est pas un pallier de "on a l'argent pour tout payer". C'est un pallier absolument psychologique qui permet aux gens d'avoir ensuite l'envie de pledger parce que c'est financé. Ensuite viennent les palliers. Et tu as deux écoles : ceux qui étendent leur créa, et ceux qui ont déjà tout préparé et donnent artificiellement l'impression que le contenu s'enrichit (alors qu'en fait c'est juste "le contenu sera complet").

Mais même pour ça, au vu des prix pratiqués et des coûts, il est rare qu'un projet soit réellement bénéficiaire à la fin et souvent l'exploitation en boutique a tout autant d'importance. Parce que les gens veulent de la qualité physique, avec de la couleur, plein d'illustrations, etc...

D'ailleurs, honnêtement, je pense sincèrement que si on navait pas à ce point besoin de mettre des illustrations, et que l'on faisait comme les éditeurs de livres (une couverture, parfois une ou deux illustrations internes), les JDR seraient bien plus rentables.

Mais aujourd'hui, non, le JDR n'est pas plus rentable que ça. Et c'est aussi lié au fait qu'il y a une exigence supérieure sur le contenant, qui oblige à créer du livre de luxe, mais sans le prix d'un livre de luxe d'une pagination équivalente, ni les moyens.

Pour finir, certains éditeurs ont tenté le palier de financement "honnête". Vampire Requiem par Agate avait proposé un palier de financement réel avec l'idée de ne prendre que l'argent nécessaire à la fabrication (incluant la trad et cie) de l'objet. Ils se sont plantés parce que le process du CF n'a pas fonctionné, qu'il n'y avait pas de palier, et que les gens n'ont pas suivi. Quand ils ont remis en place leur CF pour que la dynamique soit celle qui "fonctionne", étrangement, ils ont levé plus d'argent que ce qu'ils demandaient dans leur premier CF.

On est dans un milieu paradoxal. On n'a pas d'argent. Les éditeurs qui ont un peu plus de moyens ont généralement une activité à côté (boutique, distribution, production de jeux d'autres genres, etc) qui aide à passer les mauvais caps. Et pourtant, on veut des livres qui sont d'une qualité que les moyens du milieu ne devraient logiquement pas permettre d'atteindre. Et parce que les éditeurs, mais aussi les auteurs, les illustrateurs, les maquettistes, et toute la chaine du livre de JDR, sont des passionnés, ils acceptent de se faire payer à bas prix, ce qui évite une explosion des prix des JDR que le public n'accepterait pas (et je ne lui jette pas l'opprobre, je le comprends parfaitement)

EDIT : juste pour parler chiffres. Sur le projet sur lequel j'ai été le mieux payé, pour être capable de gagner un smic mensuel avec, il aurait fallu que j'écrive en un an plus de 600 pages de contenu à moi tout seul. Et on n'écrit pas une page à l'heure (parce que les allez-retours, les recherches, les discussion avec le coordinateur éditorial, tout ça prend du temps aussi, beaucoup de temps). C'est l'équivalent d'un roman de 1 000+ pages par an. Ce qui est, convenons-en, énorme. Même pour les plus productifs des romanciers. Et ce qui correspondrait à deux livres de base ou 4 à 6 suppléments par an juste pour un auteur. Et il serait au smic.

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  • Nonobub
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Julien Dutel

Julien et comment se porterait le marché du Jdr si le catalogue proposé était plus restreint mais que les bouquins étaient vraiment nickel mais forcement beaucoup plus cher ?

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  • Julien Dutel
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On nous dit que le fait que certains passionnés le fassent bénévolement est un vol de travail pour les correcteurs pro et sont donc des salauds. Je ne caricature que très peu...

Non, juste un peu.

Alors soyons tous bienveillants et modérés...

?? De l'humour peut-être ? Ou alors une petite poussée de schizophrénie ?

Phiro

Je rejoins ce que dit Julien, un post avant celui de Phiro : le manque de bienveillance de certaines prises de parole sur les forums me laisse parfois pantois. Elles me semblent même parfois ridicules au vu des sujets abordés.

Du retard ? Des fautes ? Bien sûr que c'est embêtant, mais franchement, vous ne croyez pas qu'il y ait des sujets plus importants qui méritent qu'on se batte ou qu'on s'étripe ? Et pourtant, je suis un de ces professionnels, parfois vilipendés, qui attachent de l'importance à tout ça dans les projets que je gère, les retard, les fautes… Mais une importance relative. Pas au point de croire que j'ai le droit d'insulter les gens pour mes opinions.

Un de mes amis appelle ça "Réflexe de riches". Ça me va.

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Nonobub

Il faudrait poser la question aux éditeurs. Mais je ne suis absolument pas certain que les ventes libérées par les ouvrages non sortis se répercuteraient toutes sur les ouvrages restant. Au demeurrant, ce n'est pas les fautes qui empêchent les JDR d'atteindre le grand public.

A mon avis, si les livres de JDR étaient plus chers, le marché se réduirait pour devenir un marché d'ultra luxe totalement dévoué aux quelques personnes qui sont capables de mettre plus de 60 balles dans un livre de JDR.

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  • Nonobub
  • et
  • Nonobub
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Julien Dutel

De ma petite vision de mes pratiques d'achat et de celles des gens que je connais , j'ai quand même l'impréssion que nous sommes (en majorité) dans une ultra consommation de jdr et personnellement je serais partant pour une offre moins prolifique mais avec des produits incriticables quitte à en payer le prix , après au final ce n'est peur être pas rentable pour les editeurs ... je ne sais pas en fait...

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  • Julien Dutel
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Julien Dutel

Par contre je suis d'accord avec toi que le loisir doit permettre à tout le monde de s'y mettre et que je salue le travail des éditeurs depuis quelques années pour sortir des boites d'initiations abordables.

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Nonobub

Oui, on produit beaucoup. Trop peut-être en ce moment. Mais c'est aussi le marché qui le dicte. Quand les achats se feront plus rares, on verra aussi.

Ce n'est cependant pas pour rien qu'il y a un travail de plein d'éditeur sur l'accessibilité, que ce soit par des ouvrages fait pour, ou d'autres initiatives. Le seul salut, c'est l'élargissement du marché. content

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Phiro

Les bénévoles ne sont pas en causes pour moi ! Les clients dans leur ensemble devraient se demander, s'ils préfèrent payer plus cher ou avoir des erreurs dans leur bouquins, ce serait plus cohérent à mon sens mais ce n'est que mon avis et je ne vais pas faire un sondage pour cela.

Parce que la vérité, c'est que ce sont les éditeurs qui font des choix et ils le font en fonction de ce qu'ils pensent de ce qu'attendent leurs clients potentiels. Ils font des choix sur le nombres d'illustrations, la qualité du papier, le fait de payer un correcteur ou des relecteurs, et plein d'autres choix encore auquels je ne pense pas... plaisantin et qu'ils le font parce qu'ils sont pro parce que leur boulot d'éditeur c'est de faire ces choix là, et qu'ils essayent de vendre leurs produits et de gagner suffisament d'argent pour se payer eux aussi pour le boulot qu'ils font !

Quoi de plus normal ? Et je me doute que les éditeurs de jdr travaillent par passion, mais je suis à peu près certains qu'ils sont obligés de faire des choix qui ne dépendent pas que de leur volonté. S'ils estimaient qu'ils pouvaient vendre leurs livres assez cher pour payer un correcteur professionnel, je pense qu'ils le feraient. Ils bossent pour arriver à sortir un livre, je pars du principe que plus il s'approche de la perfection plus ils sont contents de leur taf.

Je comprends ta façon de voir, et ça ne fait pas toi un salaud ! Tu as envi d'avoir un truc mieux foutu, qui peux t'en vouloir ? content Mais en tant que client je trouverai ça honteux, pas de ta part mais d'une maison d'édition ! En exeptant les associations a but non lucratif (réélement hein, je connais trop le milieu associatif pour ignorer qu'il y a comme une part de plaisanterie chez certaines : content ) évidement. Donner un coup de main à des bénévoles c'est assez différent.

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[message supprimé]
Ce message a reçu 2 réponses de
  • Ismaren
  • et
  • alanthyr
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Utilisateur anonyme

Un effort de sincérité? Pourrais-tu développer? Réponds en MP si tu penses que cette question et que sa réponse n'ont pas leur place sur ce fil de discussion.

Une phrase devenue célèbre dit : Between one evil and another, I'd rather not choose at all. Et c'est peut-être tout aussi "sincère" de répondre à ce sondage que de ne pas y répondre. Et puis j'ai du mal à voir en un clic un "effort de sincérité".

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Moi, je ne vois pas la différence entre le fil de discussion sur :

- Le débat : faut-il avoir un livre "vite fait mal fait", ou un livre "lentement fait, bien fait"

- Le sondage parlant du même sujet : Pourquoi ne pas avoir mis le débat dans le sujet du sondage, ou inversement !

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Ce n'était pas un troll (mais il est vraie qu'il faut en être un pour pouvoir les identifiers clin d'oeil) il servait d'exemple pour illustrer que le temps n'y changeait rien....d'ou l'absurditée du sondage.

SmirnovV5312

Et si on peut meme plus troller dans le "repaire des trolls"... où va t on?? troll

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  • SmirnovV5312