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Black Book Éditions, le site de référence des jeux de rôle

[Cas d'étude pour MJ] La résurrection et ses conséquences 23

Forums > Jeux de rôle > Dungeons & Dragons ®

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Bonsoir à tous,

Je réfléchis actuellement à la résurrection d'un personnage au sens théorique du terme. Je n'ai personne à réssuciter actuellement. content

Hormis la possibilité offerte par les sortilèges de résurrestion, quelle conséquences voyez-vous à ressuciter un personnage ? Attention : ma réflexion n'englobe pas la réincarnation. Dans mon processus de réflexion, le fait que l'esprit (pour ne pas dire l'âme) de l'être et son corps ne soit pas séparés est très importante.

Comment feriez-vous (faites-vous) lorsqu'un sort de résurrection vise une cible ? Quels paramètres rentrent en compte pour vous au préalable, pendant et après ?

Je m'intèresse vraiment à tous les aspects de cet acte très spécifique dans la vie (la mort ?) d'un personnage.

Merci de m'aiguiller sur ce sujet de réflexion pour nourrir mon propre cheminement.

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En voilà une question difficile !

A défaut d'apporter une réponse, je propose de relire la subrace Revenant : https://media.dnd.wizards.com/upload/articles/UA%20Gothic%20Characters.pdf qui comporte quelques idées intéressantes à appliquer à un ressuscité, à mon avis.

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Je ne comprends pas trop la question. Tu parles d'un point de vue meta-jeu ? Tu cherches des pistes pour des intrigues annexes ? Des conséquences ? Quelle réponse attends tu exactement ?

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  • Athabaska
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Si tu ne veux pas que la résurrection soit anodine, il peut être intéressant d'intégrer en jeu des conséquences.

Il pourrait y avoir des conséquences pyschologiques. Selon le type de personnage, son bref passage dans l'au delà pourrait changer sa perception des choses.

Le personnage pourrait devenir sucidaire par exemple, n'ayant plus peur de mourir, ou au contraire devenir moins enclin à ôter des vies, prenant conscience de la valeur de cell-ci.

Il pourrait aussi tout bêtement se manger une folie, ayant vu des choses que son esprit n'a pas supporté ...

Il pourrait aussi devenir traqué par une créature du Shadowfell , son âme y ayant séjourné quelque temps ...

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Tu pourrais t'inspirer du cas Béric Dondarrion dans Game of Thrones. A chacune de ses résurrections, un bout de son âme et de son humanité disparaissent. Il devient donc de plus en plus froid, ressent moins d'émotions. Et son corps porte également les séquelles de ses morts (oeil en moins, cicatrices,... tout dépend de ce qui l'a tué!)

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J'ai eu le cas récémment. Mes 3 joueurs présents (sur 5 max habituellement) se sont rapidement fait couchés par un monstre qui s'est ensuite éloigné. Manque de pot, un des joueurs a loupé ses jets de sauvegarde contre la mort... Mort bête et déception.

Cela aurait pu s'arréter là mais par chance, 2 sessions avant, un des joueurs avait noué une relation avec la matriarche d'une communauté d'elfe retiré de la société (sur une ile, personne ne sait qu'ils existent et tout le monde pense l'ile maudite). Cette matriarche s'avèrait être une grande prêtresse de la nature ... qui a initié un de mes joueurs a sa religion (qu'il honnorait déjà) ==> Multiclassage.

Bref, mes personnages tombent. Un des sujet de la matriarche les reveils à coup de claque, toujours aussi "delicat" (ils ne pouvaient pas les blairer), mais sait que mes personnages défendent une cause noble. Il les amène donc à la matriarche, qui leur indique qu'elle peut éventuellement rescusciter leur ami... mais que cela a un coût. Après tout, relever les morts pour les ramener à la vie est contre nature !

* Il faut préciser que les PJ ont "nettoyé" un temple plein de mort vivant qui s'averaient, surprise, être l'ancien temple de la matriarche.

Bref, discution hors RP avec mes joueurs :

" je ne veux pas que le rappel à la vie soit si facile, êtes vous d'accord pour qu'on trouve des conséquences RP / en terme de règle ?"

"oui, c'est intéressant et ça parait logique ".

On cherche donc de belles solution, et on a opté pour :

- le personnage rescucité (magicien) ne pourra plus lancer de sort de nécromancie, puisque c'est une déesse de la nature qui l'a ramené à la vie (moyennement impactant il en avait peu),

- il doit respecter la nature et ceux qui la protège car sa vie est entre les mains de Melenna (la déesse de la nature).

Un des personnages (barbare) est nouvellement multiclassé clerc de Melenna, donc je pense qu'en terme de RP et de jeu, on a trouvé une très bonne solution.

Voila de mon coté.

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Sarlessa

La question est vaste... En fait, si j'emploi le terme "personnage" la question est ouverte aussi aux PNJ.

Je comprend que ce ne soit pas très clair. Pour reformuler, je dirais que je souhaite analyser la résurrection sous tous ses points. Donc les conséquences en font partis. Mais pas que ! Avez-vous songé à la façon dont se déroule le sortilège ? Les composants, sont-il suffisant à votre sens ou êtes vous plus exigeant ? Quelles forces entrent en action ? Peut-il y avoir des "contrariétés" a voir ainsi un mort quitter son nouveau royaume ?
J'avoue que je ne me limite pas à ce que disent les textes des règles. J'aime bien aller au-delà (pour un sortilège qui permet de revenir de l'au-delà, c'est un minimum, non ? clin d'oeil)

Bref, tous les aspects m'intéressent... Je vous cache pas que j'y ai déjà penser, mais pour ne pas influencer vos remarques, pour l'instant je ne dis rien. Et évidemment je retrouve certaines de mes réflexions dans vos retours.
La finalité ? Oui j'ai une idée derrière la tête, mais il me semble que cet évènement est vraiment capital s'il survient dans l'existence d'une personne. Donc, en avoir une idée complète ne me semble pas inutile.

Là je manque de temps, mais ce soir je vous ferais part de ma propre cogitation.

Merci déjà pour ces réflexions. Si vous avez des choses à ajouter, n'hésitez pas !

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Petite précision : je pose, comme MJ, que toute résurrection peut attirer l'attention désapprobatrice de la Reine Corneille ou d'un de ses agents shadar-kai.

L'idéal, bien sûr, serait de jouer toute la partie mortem, entre le moment du décès et celui de la résurrection.

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Il fût un temps, avant que je sois MJ... lorsque j'étais jeune joueur, on m'appliqua une perte définitive de 1 ou 2 pts de CON (je ne sais plus) et des pertes de mémoires qui se résorbèrent peu à peu (la preuve que non pas tout à fait plaisantin )...

Ce message a reçu 1 réponse de
  • MRick
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Panda Monk

La perte définitive d'un point de Constitution ça faisait partie des règles du rappel à la vie dans AD&D2. Probablement aussi dans AD&D1 d'ailleurs...

Mais ça a disparu des règles lors du passage à D&D 3.0. Par contre il y avait les niveaux négatifs (temporaires).

En terme de mécanique/règles les niveaux négatifs temporaire pour simuler le côté traumatique du fait de revenir d'entre les morts, je trouve ça pas mal. Mais c'est bien d'enrober ça avec du RP et des choses spécifiques liés aux circonstances de la mort, ainsi qu'à la divinité qui a permis le rappel à la vie.

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Si tu ne veux pas que la résurrection soit anodine, il peut être intéressant d'intégrer en jeu des conséquences.

Il pourrait y avoir des conséquences pyschologiques. Selon le type de personnage, son bref passage dans l'au delà pourrait changer sa perception des choses.

Le personnage pourrait devenir sucidaire par exemple, n'ayant plus peur de mourir, ou au contraire devenir moins enclin à ôter des vies, prenant conscience de la valeur de cell-ci.

Il pourrait aussi tout bêtement se manger une folie, ayant vu des choses que son esprit n'a pas supporté ...

Il pourrait aussi devenir traqué par une créature du Shadowfell , son âme y ayant séjourné quelque temps ...

Abbadhon

La réapparition de -no spoil mais bon c'est l'un des personnages principaux- dans je-ne-sais-plus-quel épisode du cycle de Drizzt exploite assez bien ces filons, si l'on fait abstraction du caractère un peu grossier du procédé initial... joyeux

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On peut également parler du volet juridique du ressuscité et du statut de ses biens.

Ses héritiers peuvent réclamer leur part d’héritage. Bien oui, s’il est ressuscité c’est qu’il y a eu décès, et par conséquent ses héritiers peuvent réclamer légitimement leur part d’héritage. Il ne reste plus alors au personnage qu’à se perdre en procès pour faire reconnaitre que bien qu’il y ait eu décès et bien en fait il est vivant, pour espérer récupérer ses biens.

De la même façon, les liens du mariage étant rompus au décès d’un des deux partenaires, il va devoir convaincre son ex-épouse de se remarier et qu’elle consente à ne pas tirer profit de sa part d’héritage.

Ce peut également être une source de guerre si le ressuscité est une tête couronnée. Son successeur désigné pourrait profiter de l’acte du décès pour revendiquer de pleins droits le trône : il est légalement roi au décès de son prédécesseur. Alors que l’ancien roi ressuscité argumenterait que comme il est vivant il n’a pas de raison d’abandonner le trône, après tout il a été désigné roi à vie.

Alors évidemment lorsqu’il n’y a pas de délai entre le décès et la décision de ressusciter l’individu, ce que j’évoque au-dessus frise la bonne blague. Mais si le décès a été acté et les conséquences juridiques prises en conséquence et que quelques temps après il vient à l’idée de ressusciter l’individu en question et bien c’est vraiment des problématiques que l’on va rencontrer, comme dans le cas des disparus déclarés légalement morts et qui finalement refont surface.

Si les ordres religieux qui réalisent les résurrections et autres rappel à la vie sont sérieux et sages, ils ont certainement fait en sorte que le cadre juridique des résurrections autorisées évite ces types de conflits et/ou que le statut juridique d’un ressuscité ne l’autorise pas à réclamer ses droits passés s’ils ont été perdus au cours de sa « période d’absence ».

Et puis des diamants de 500 - 1000 - 5000 po ça ne se trouve pas comme ça. On peut imaginer qu'il existe un commerce (vols / faux [zyrcons] ?) autour de ces pierres bien spécifiques...

mort de rire

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  • MRick
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Orian

Alors il faut quand même souligner que dans l'immense majorité des cas, le rappel à la vie survient très peu de temps après la mort du personnage. Mort violente qui plus est.

Le sort Rappel à la vie, que ce soit en D&D 3, Pathfinder ou D&D 5, c'est au maximum quelques jours après la mort du perso (généralement autour de 10 jours).

En général, l'héritage n'a pas eu le temps d'être partagé, mais il est effectivement intéressant de prendre ça en compte. Il existe probablement des dispositions dans les codes juridiques des univers intégrant ce type de magie. Mais il faut garder en tête que ça reste exceptionnel.

Encore plus exceptionnel seront les cas de Résurection ou Résurection suprême, car il y a très peu de personnages capables de lancer de tels sorts.

À noter tout de même, qu'un personnage mort de vieillesse ne peut pas être rappelé à la vie ou réssucité.

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  • Abbadhon
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MRick

Avec le sort de niveau 2 Doux repos, tu peux facilement augmenter cette durée en préservant le corps. Ce sort doit être connu par beaucoup de monde vu qu'un niveau 3 peut le lancer.
Voir le Sage advice à ce sujet

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Mon personnage ( niveau 13 à PÄTH ) est revenu via un pacte d'un PJ avec un diable - Le corps était " frais " - le temps que l'âme revienne cela a pris plusieurs jours -

Le PJ devra s'acquiter d'une quête et moi aussi : service contre service

A noter que mon personnage a souffert de : cauchemars, amnésie partielle ( pendant la partie ) , catonie au gré du MJ devant certaines scènes ou descriptions et/ou conversations ( ayant un lien avec sa mort ), des capacités de combat amoindries mais qui reviennent au fil des aventures ........

bref l'enfer , c'est le cas de le dire mais fun à jouer

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Salut,

Ma vision autour de ma table & quelques règles :

1. Il ne se trouve pas partout des clercs capables de lancer de tels sorts (et certainement pas dans toutes les villes, même les grandes).

2. En tel cas, ce n'est pas parce qu'ils ont le niveau qu'ils vont pour autrant le faire : De même, Le dieu n'est pas obligé d'autoriser le clerc à rendre la vie à un mort, car cela pourrait aller contre son dogme ou contre les lois de l'univers. Pour la plupart des cultes, la mort est quelque chose contre laquelle les dieux ne sont pas censés intervenir. Mais, puisqu'ils en ont la puissance, il peut arriver qu'ils décident de laisser l'un de leur prêtre ressusciter une personne qui, en général, aura attiré l'attention du dieu. En terme techinque, à minima, il faut que l'alignement du PJ et du dieu soit identique. Enfin, pas de retour d'entre les morts pour les infidèles ! (le PJ, si ce n'est déjà, le cas devra accepter de vouer le culte de celui lui ayant octroyé ce miracle). Cet aspect peut d'ailleurs avoir un impact encore plus important pour un PJ décédé de classe paladin ou un clerc vouant un culte opposé au retour d'entre les morts (perte des pouvoirs, changement de culte et donc de domaine, anti-pladin ou paladin en rédemption etc.).

Donc : En résumé, beaucoup de SI qu'il va falloir me justifier en RP.

3. Ce n'est pas un sort simple : nécessite un long rituel (donc pas faisable en combat ou aprés celui-ci).

4. C'est un investissement trés couteux pour le groupe : Prix x10 (entre 30 000 et 50 000 po selon les cas et le RP). Est-ce qu'utiliser autrant de ressources vaut-elle la peine de ramener le personnage, plutôt que dans créer un nouveau ?

Et en conclusion, que faire durant tout ce temps où on cherche un moyen, un PNJ dont le dieu autoriserait la retour à la vie ? Et bien c'est l'occasion idéal pour le PJ de se créer un re-rôle ou de prendre le contrôle d'un de mes PNJ, car peut-être cette résurection n'interviendra que dans deux ou trois scéances... (et de plus le groupe va devoir gérer la gestion du corps du défunt durant tout ce temps...).

& Si malgré tout ils réunissent toutes ces conditions, que se passe t-il lors du retour ?

J'applique la règle d'AD&D de la perte d'un point de CONS DEFINITIF (ou d'une séquelle physique en relation avec la cause de la mort), mais je permets au PJ un test de save en CONS pour D&D5 / Vigueur pour PF (inutile de dire la tension lors du jet...). De même, si dans ma partie je joue avec des regles sur la folie, santé mentale : test de Volonté pour PF / Sagesse en D&D5, pour ne pas que la situation impacte cette dernière (c'est l'occasion de développer par exemple une phobie relative à ce qui a tué le personnage en jeu : Aura t-il désormais peur du feu, du vide, des orques, des dragons, des haches, des nains, d'une oreganisation ? etc.).

Par contre, contrairement à AD&D avec ses niveaux négatifs et perte de points d'XP, jaurais plus tendance à accorder l'inverse : De l'XP au revenant ! Pour l’expérience qu’a vécu son âme suite à la mort de son enveloppe corporelle. J'invite le joueur à interpréter le déroulé des évenements de façon narrative hors partie (pour ne pas ralentir celle-ci & garder du mystère pour les autres joueurs) : Que s'est-il passé, qu'a t-il vu dans l'au-delà ? Où est-il ? Avec qui a t-il échangé, vieux ennemis ou alliés ? Membres de la famille décédés ? Des dieux, des anges, des démons ? etc. Et selon la qualité de ce récit, j'attribue plus ou moins de points. Cela permet de gommer un peu (mais pas totalement) le différentiel d'XP qui pourrait se produire avec le reste du groupe à son retour.

Tout cela permet d'avoir de nombreux nouveaux éléments à disposition pour en tant que MJ, mais également pour le joueur dans son RP et le développement de son personnage (le Retour à la Vie, c'est pas juste un sort qu'on lance !).

Et n'oubliez pas la regle optionnelle (du DMG, il me semble) : Chaque fois qu'un PJ meurt et revient à la vie, il revient avec un plus grand risque d'une mort permanente en cas d'échec aux JS. Cela signifie qu'une créature qui est morte une fois et qui est revenue meurt après seulement deux échecs (au lieu de trois) et une créature qui est morte deux fois et qui est revenue meurt encore après un seul échec au JS. En RP, cela symbolise l'effritement de l'âme du défunt au fur et à mesure de ses morts successives.

(Cela signifie d'ailleurs en creux au passage, que dans l'esprit des créateurs de D&D5, un personnage ne devrait jamais avoir droit à plus de 3 résurections/rappels à la vie dans toute sa carrière. Et encore avec une telle règle, à la 3° résurection, s'il tombe à 0 PV : Mort automatique, pas de JS).

Et une petite dernière regle suplémentaire pour la route : La durée de vie du personnage diminue de 10% par résurrection (7 ans pour un humain).

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Le retour à la vie de quelqu un est un sujet qui m'a toujours interpelé. Rien n'est spécifié dans les univers officiel concernant ceci. Il y a bien un passage dans les RO sur le Plan de la Fugue (si je me souviens bien du nom) et le sdiables et démon qui viennent chipper, au nez et la barbe des Maruts, les âmes des défunts imprudents mais rien concernant leur retour.

Pour moi le problème concerne surtout les PNJs:

- un paysan : tout le monde s'en fout : il est mort, sa famille et ses amis le pleurent ! Oui mais .. un PJs passe dans el coin et le résusiste .. heu ! joie et bonheur mais ensuite . Quel est la réaction sde ses amis . et des autres PNJs? Soit l n'était pa smort , soit , est ce le mê ? En fait tout dépend de l 'univers et comment est perçu l au -elà.

- un puissant meurt : Ah , problème. Tout le monde est courant.

Succession , trône vaquant ou pas? Un prêtre lance rappel à la vie et voilà le "bon" roi de retour .. mais il a été assasiné !! Dur pour le tueur , les comploteurs ont du mourron à se faire..

L 'héritier ? Quelle lignée puisque le roi peut revivre indéfiniment ou presque ..

Rivalité entre nobles pour la place suprème..

Problème de surpopulation?

Toutes ces questions auraient dû être traité officiellement.

Pourquoi s interroger sur une résurrection lorsqu il y a des liches au pouvoir!

ah oui et il ne fauit pas confondre revenant( aveuglé par la haine et quelque à terminer pour être apaiser) et retour à la vie (le sort prévoit un retour en parfait état spychologique du moins identique au vivant).

Pour les PJs aucun soucis sauf si dans la région dans laquelle ils sont c'ets perçu d'un mauvais oeil ou bien une queue monstreuse d'arrivistes débarquera pour quémander non pas des sous mais un retour à la vie d'un membre de leur famille , "mes enfants, ramené les !" , "et moi mon amour !!" S'iou plait !! et si refus = frustration et colère, des PJs entourés d'un foule immense, mais que peuvent il faire? Gniark , gniark!!

Je joue les composants. Un jour, des brigands attaquaient les convois de marchands.. pénurie dans la région, .. des denrées, des minéraux .. des diamants.. d'une valeur incommensurable .. les composants des sorts de rappel à la vie et résurrection... ARGH! Les nobles et les temples étaient aux abois!! Tous les marchands et bijouteries de la ville étaient dévalisés de leur diamants et autres pierres précieuses.. plus rien pour les PJs!!

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Absolument.

Sans parler des problèmes de morale. Ramener à la vie quelqu'un est-il moral ? La réponse est loin d'être évidente.

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  • MASTER
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NooB294044

La morale n'entre pas dans ce cas de figure. Elle concerne uniquement les personnes qui n'ont pas perdus d'être chers ou celles qui argumentent car ils ne veulent pas voir telle personne revenir pour une raison qui leur est propre mais bien souvent une convoitise quelconque.

Dans les univers de DD/PF/H&D et autres, la morale pourrait être appliqué par des personnages puissants représentants d'institutions du royaume qui ne donneraient pas leur accord pour une retour à la vie d'un meurtrier (ou inverse un bon samaritain qui se rebelle contre le pouvoir maléfique en place) et autre traitre ou agitateur (politique, religieux, etc)

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  • NooB294044
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MASTER

Elle se pose pour le clerc (qui a son alignement, et sa tutelle divine) à qui il est demandé de lancer le sort.

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  • MASTER