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Black Book Éditions, le site de référence des jeux de rôle

Animaux de compagnie 17

Forums > Jeux de rôle > Dungeons & Dragons ®

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Salut,

Existe-t-il des règles ou des indications mêmes indirectes dans les suppléments précisant ou encadrant un animal de compagnie pour un PJ ? Ma question exclue le sort Appel de Familer et l'archétype de rôdeur Maître des Bêtes.

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Pas de règle.

Chacun est libre d'avoir des animaux de compagnie, tant que le MJ est d'accord.

https://twitter.com/jeremyecrawford/status/1023361783241666560

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  • Coyote
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Ah oui, tiens c'est vraie !

J'avais totalement oublié ce point. On oublie vote ce genre de détail et ça peut être un vrai eplus, tant d'un point de vue RP et que Système.

Je sens que mon prochain personnage de D&D va avoir un chien. mort de rire

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Le mien, un griffon. lapin

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  • NekoTenshi
  • et
  • alanthyr
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NooB294044

Sur COF j'ai un pégase en animal de compagnie (bon pas encore adulte, mais c'est amusant mort de rire)

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NooB294044

là pour le coup, c'est le griffon qui a un PJ de compagnie mort de rire

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Tu peux jeter un oeil à "monstrueusement mignons" content

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  • Damsse
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formol

Effectivement avec ce supplément ça te rajoute un nouveau don et un paquet de créature sous leur forme de bébé.

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NooB294044

Merci pour la réponse plaisantin

Du coup je pense que je vais lui proposer un animal de compagnie dans la limite du raisonnable : L'animal ne peut pas combattre pour lui et à une vocation décorative. Ceci étant, s'il lui ou un autre membre du groupe peut posséder l'animal par un quelconque biais cela leur donnera laissera l'avantage de l'avoir sous la main le moment venu. Il ne faut pas non plus que cela empiète sur la capacité Maître des Bêtes du Rôdeur.

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  • Gollum
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là pour le coup, c'est le griffon qui a un PJ de compagnie mort de rire

alanthyr

mort de rire

C'est pas faux.

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Coyote

Être raisonnable est une évidence (ce qui explique qu'il n'y ait pas besoin de règles trop précises, mis à part pour le dressage, éventuellement)...

En effet, tout le monde comprend très vite qu'un pigeon ne sera pas très utile en combat mais qu'un ours s'avérera délicat dès qu'il s'agira de dormir dans une auberge ou de prendre un bateau...

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Autant laisser mes PJ posséder un animal de compagnie ne me pose pas de problème, autant l'utilisation en combat de ce dernier est pour moi exclusivement réservé a ceux qui possèdent la capacité ecrite sur leur feuille de personnage, qu'elle soit donnée par la classe ou bien un don homebrew.

Il ne faudrait pas léser ceux qui ont "investi" de leur personnage dans cette spécialité contre un simple jet de dressage.

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  • Gollum
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Xandrae

Oui, je suis parfaitement d'accord avec toi. D'où ma restriction : mis à part pour le dressage. Ça, ça doit être soumis à des règles strictes.

Parce que c'est une chose d'avoir un gentil toutou et c'en est une autre d'avoir un chien de combat apte à dépasser ses instincts pour attaquer de la façon la plus stratégique possible !

Donc, personnellement, lorsque mes PJ ont des animaux de compagnie, ce sont des PNJ et c'est moi qui les fait réagir. Ils se défendent, bien sûr, et défendent éventuellement leur maître, mais de manière instinctive. Le jet de dressage ne permet que de les empêcher d'aboyer quand il s'agit d'être silencieux, ou de les faire revenir lorsqu'il leur prend la folle envie de courser un lapin...

Pour que le joueur puisse diriger son animal comme un PJ lors d'un combat, il faut qu'il soit un dresseur pro (avec les capacités ad hoc) et qu'il ait passé beaucoup de temps à dresser son animal (ce qui peut avoir été fait hors jeu si le background du personnage le justifie).

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Hum et concernant les modalités d'acquisition de l'animal, qu'en pensez vous ?

Dans le cas de mon joueur, il souhaite un corbeau. Je pensais lui faire payer mais je ne sais pas trop l'évaluer...ou peut être envisager une autre manière ou la contrainte serait le temps et non l'argent ?

Ce message a reçu 1 réponse de
  • chsic
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Pour moi, aucun problème. Je dirais 2 po.

Mais qui n'a pas Dressage risque de voir l'animal s'enfuir à la première occasion.

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Coyote

AMHA S'il est pas apprivoisé pour obeir à un maitre qu'il ne connait pas (ce qui me semble au mieux compliqué), il va partir direct à tire d'aile (éventuellement retrouver son ancien maitre) !

Un tel animal sauvage aurait demandé tellement de soins sur le long termes qu'il couterait fort cher.

Sinon il faut trouver un oisillon et l'élever au fil du temps.

Perso, je considère qu'un animal de compagnie sera pour un bon moment (jusqu'à ce qu'il soit bien dressé) un fardeau dans les missions (pas discret, fait n'importe quoi n'importe quand).

Il fera toujours ce que son instinct lui dicte (pour des animaux domestiques comme des chiens, on peut faire un jet de dressage à ce moment pour les en dissuader).

Il existe des règles (en vo seulement je crois) sur le net pour le dressage d'animaux de compagnie (apprendre des "tours"), ça prend de l'or et des jours de temps morts (bon les animaux sont généralement vendus directement avec un éducation pour une tâche, être monté, défendre, chasser etc. qu'ils accompliront dès qu'il seront dans le bon contexte).

Pour avoir des animaux utiles en missions, ça coute des pouvoirs de classes / sorts, on peut pas les acheter pour quelques PO à la boutique du coin.

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Hello. Pour info, voici les régles que j'utilise pour les compagnons animaux (insipirés de O Silencieuses Ruines de John Grümph).

Compagnons animaux

Les compagnons et familiers sont des animaux normaux de petite et moyenne taille. Ils sont attachés et fidèles à leur maitre, capables d’une certaine astuce et d’accomplir des tours. Le personnage s’attache définitivement un animal après une halte, après avoir dépensé deux points de réputation au cours de la précédente aventure. Si l’animal est acquis à la création, on considère qu’il est déjà attaché au personnage.

Chaque compagnon est habitué à obéir à des ordres plus ou moins complexes, généralement un par tour de combat au prix d’une action. Quand un personnage est lié à un animal, il lui apprend 1 ordre. Lors d’une halte, un nouvel ordre peut être appris à l’animal si le personnage annonce agir spécifiquement en ce sens (i.e. : aucune autre formation ni activités). Pour cela, 3 jets de dressage réussis sont nécessaires. 1 jet de dressage peut être réalisé par mois.

La difficulté du jet de dressage est de 15, ajusté avec la somme des bonus et malus de Sagesse et d’Intelligence de l’animal.

Par exemple : pour une belette (int 2 / -4 ; Sag 12/+1), la difficulté du jet de dressage est de 18.

Il est possible d’entrecouper ces périodes de dressage par une aventure. L’ordre est acquis une fois les 3 succès obtenus.

Par exemple : Omberik, fieffé voleur, décide d’apprendre l’ordre Surveillance à sa belette afin qu’elle veille sur la planque de ses larcins. Il a deux mois devant lui. Il fait un premier jet de dressage et obtient 14. La belette est rétive et ne progresse pas. Il ne perd pas courage et continue l’entrainement. Le deuxième résultat obtenu est de 19. On avance ! Sur ces entrefaites, il part à l’aventure dérober un précieux joyau. Il en revient avec de nouvelles richesses ! Il profite des deux mois suivants pour continuer l’entrainement. Il obtient alors 21 et 22 sur ses jets de dressage. Ça y est ! La belette est à présent apte à Surveiller. Elle viendra l’avertir dès qu’un malandrin rodera à proximité de sa planque.

Le nombre maximum d’ordres différents qu’un animal peut apprendre est égal à votre bonus de Sagesse.

Voici quelques exemples, à adapter aux capacités naturelles de l’animal. Il est bien sûr possible de faire preuve de créativité, mais le meneur de jeu a toujours le dernier mot.

  • Aide : Une fois par combat, l’animal vient attaquer et perturber un adversaire, ce qui vous permet d’obtenir un avantage sur votre prochain jet d’attaque. Vous pouvez choisir plusieurs fois cette aptitude, avec un maximum dépendant de la taille de votre animal. (TP;0, P:1, M: 2)
  • Courage : l’animal suit le personnage, quel que soit le danger dans lequel ce dernier se précipite (incendie, saut depuis une falaise, etc.)
  • Détournement d’attention : l’animal attire l’attention des adversaires du personnage, donnant à ce dernier un avantage à un jet de discrétion.
  • Garde : l’animal garde un lieu ou un objet et attaque quiconque souhaite s’en emparer ou donne l’alarme.
  • Intimidation : grognements et menaces font grande impression sur un adversaire que le personnage souhaite interroger, lui accordant un avantage en intimidation.
  • Respect : l’animal tient en respect un adversaire que le personnage a réduit à l’impuissance (0 point de vie, désarmé, etc.). L’adversaire ne cherchera pas à fuir.
  • Sacrifice : l’animal subit une blessure à la place du personnage. Cette blessure est difficile à soigner et laisse une séquelle. Si l’animal se sacrifie une seconde fois à n’importe quel moment de l’aventure, il meurt. Le compteur est remis à 0 à chaque nouvelle aventure (en général, après une halte).
  • Suivre une piste : l’animal accorde un avantage à un jet de Pistage à un jet pour retrouver des traces ou des odeurs.
  • Surveillance : l’animal prévient le personnage si quelqu’un approche d’une zone qu’il lui désigne.

Dégâts sur un compagnon animal :

Les compagnons animaux ne subissent habituellement pas de dégâts. Ils sont trop petits ou trop insignifiants pour attirer l’attention d’un monstre ou d’un adversaire.

Trois exceptions doivent cependant être considérées :

  • Les dégâts de zone.
  • Dans le cas où l’animal accorde un avantage stratégique déterminant. Un adversaire pourrait alors le prendre pour cible. Le MJ est seul juge si cela cadre avec l’intelligence ou la psychologie de l’adversaire
  • Une créature gloutonne dont la seule vocation est de manger

Dans de telles situations, on considère que le compagnon animal possède les caractéristiques de sa race, avec un nombre de dés de vie égaux à la moitié de ceux de son maitre. S’il tombe à 0 points de vie, l’animal est blessé et ne pourra plus agir avant la prochaine halte. Si l’attaque est particulièrement dévastatrice, le MJ peut considérer que l’animal est mort sans espoir de guérison.

Comme les personnages, un compagnon ou un familier peut aussi posséder des talents. La capacité d’octroyer des talents à son compagnon animal est conférée par certaines classes de personnage.