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Black Book Éditions, le site de référence des jeux de rôle

[Notes de conception] Jeanne et ses dragons 225

Forums > Jeux de rôle > JdR Black Book > Joan of Arc

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Thomas Robert

ça me rappelle le triptyque d'un jeu où les persos se devaient prendre position entre dragons, humanisme et fatalisme... Et c'était justement un de ses points forts, toute autre comparaison à part, puisque difficile de comparer Joan d'Arc avec pro...

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  • Thomas Robert
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Pour les Bourguignons du nord, ne pas oublier la Picardie (avec le Ponthieu et la ville d'Amiens) à côté de l'Artois et des Flandres avec sa langue/patois le Picard encore parlé de nos jours dans cette région comme d'autres langues/patois dans d'autres régions....

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  • Thomas Robert
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Ced Hobbit Pro

Oui, Prophecy avait cette idée de triptyque philosophique. Il y a aussi Aquelarre qui avait une jauge Rationalité / Irrationalité. Globalement j'ai tendance à préférer un truc sur trois axes plutôt qu'une opposition entre deux concepts. Ça permet des variations intéressantes content

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Zaoutir30560

Si tu regardes, la Picardie est bien dans les régions d'origine possibles pour le Bourguignon de par-deçà. Par contre, les références que j'ai trouvées classent le picard comme une variation de la langue d'oil, que j'ai appellé le français par commodité (et la langue d'oc est devenu l'occitan). Par contre, il est stipulé que chaque personnage peut rendre son patois incompréhensible à un non initié s'il le souhaite. donc un Picard et un Berrichon peuvent se comprendre, mais pas si un des deux décide tout à coup de passer en mode "patois local" content

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Il est peut être encore tôt pour ce questionnement mais je me lance:

Quel visuel pour l'intérieur du livre?

Parce qu’honnêtement, votre travail de fond est incontestable mais (et je ne pense pas être le seul) le rendu, l’aspect de l’ouvrage fait beaucoup ; il y a peu Symbaroum a cartonné en partie par le visuel de l’ouvrage.

Je fais parti de ceux (nombreux je pense) qui achètent plus qu’ils ne jouent et là, la beauté du produit est aussi un déclencheur même si cela est forcement subjectif.

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  • Thomas Robert
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Griffesapin

En termes de visuel, je pense que ça va claquer. Vraiment. C'est LE domaine qui m'inquiète le moins pour l'instant content

Les artistes qui bossent avec Mythic sont dans le haut du panier, d'après moi. On devrait avoir la même qualité que pour le rpg Mythic Battles. Si tu en as le temps, tu peux aller voir du côté du Kickstarter de Joan of Arc, et si tu parcours un peu les news, tu auras quelques exemples assez parlants.

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à un niveau plus géopolitique le XVe présente un intérêt majeur, qui s'appelle Bourgogne. Avoir ce troisième acteur au milieu de la guerre, qui penche d'un côté puis de l'autre, avec les coups bas à la Game of Thrones, la "trahison" d'Isabeau de Bavière, la folie de Charles VI et ses conséquences, ça donne une situation explosive propice à propulser les PJ dans des trucs de grande envergure.

La bourgogne c'est bien plus que les coup bas. Comme un Historien l'a écrit, si le rêve bourguignon, avec la récupération de la couronne de Lotharingie avait pu être, alors la France serait resté une petite puissance.

Philippe III le bon, notamment, c'était le Prince d'occident craint et respecté tant par l'empereur du saint empire, que par les rois et prince d'Angleterre et de France. Et, en arrière-plan, c'était quelque chose, même de l'idéal de la chevalerie s'incarnant dans la réalité. La bourgogne fut, si ma mémoire est bonne, le dernier endroit où s'exercait, par exemple le pas de chevalerie, de même, c'est du protocole bourguignon que s'inspira le protocole de la cour d'espagne quand Charles quint, petit-fils de Charles le téméraire monta sur le trône. Même la fin de la bourgogne est d'un romantique achevé avec la mort de Charles le téméraire et sa veuve s'appuyant sur la jeune beuaté qu'était Marie de Bourgogne fit se lever les milices flamandes pour elle... Il y a une magie dans l'épopée bourguignonne.

Je ne connais pas du tout le jeu, entendons-nous bien et je débarque, mais, le XV est, effectivement d'un immense intérêt. Outre la Bourgogne on pense aussi, à la figure de la Navarre de l'époque où, là, on est en face d'un courtisan assez vicieux. Bref...

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J'ai pris le temps ce WE de lire ce qu'il se passe en 1422, et le programme est effectivement alléchant !

Très bon choix... mort de rire

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Le pledge manager est ouvert! et de nouvelles options sont ouvertes! notamment + d armes de sièges et une vraie armée ottomane. Si les auteurs veulent bien trouver un scenar intégrant ces figurines ce serait cool et ça me motiverait à les acheter, content

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J'ai pris le temps ce WE de lire ce qu'il se passe en 1422, et le programme est effectivement alléchant !

Très bon choix... mort de rire

MRick

Oui, dans le genre inspiration sur la période la BD : Le trone d'Argile ! elle débute en 1418 ... un régal (enfin pour moi)

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Actuellement en pleine campagne Vampire, nous nous somme inspirés de ce site pour savoir comment etait Paris a des dates spécifiques. Je partage si ca peut aider.

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Thomas Robert

Troisième sujet : la monnaie et l'équipement

Incontournables dans la plupart des jeux de fantasy, la pièce d'or ou la pièce d'argent ne sonnaient pas assez "authentiques" à notre goût. Pour moi, c'est un peu comme ces jeux américains qui traitent de certaines périodes historiques et où on manipule des dollars. C'est un vrai tue-l'amour. Après quelques recherches, nous sommes tout simplement retombées sur les monnaies de compte médiévales en France (et dans les territoires issus de l'Empire carolingien), et un taux de change que les fans de Warhammer reconnaîtront : 1 Livre = 20 sous = 240 deniers. Un taux qui n'était pas universel, mais quand même assez étendu pour être considéré comme tel. En simplifiant et en considérant que la Livre était équivalente au Florin, au Ducat, à l'Hyperpyron ou autres Guilder, on avait donc quelque chose de relativement acceptable et déjà "connu" pour les rôlistes (et qui fait quand même plus authentique et médiéval que le 1 po = 10 pa = 100 pc)

Mais ce ne sont que des monnaies de compte, alors on a voulu un peu explorer plus loin, et là , ça devient vite le chaos. Après quelques heures de recherche, j'en suis personnellement venu à la conclusion que les habitants de l'Europe à cette époque avaient certainement un niveau en arithmétique supérieur au Français moyen d'aujourd'hui. (La vérité est plutôt qu'ils ne se déplaçaient que rarement et que le commerce local passait quand même à de rares exceptions près encore par du troc - seul le négoce était véritablement confronté à la problématique des flux de devises) Avec en plus le chaos de la Guerre de cent ans qui ont longtemps poussé la monarchie à dévaluer ou réévaluer sa monnaie sur une base régulière (genre, en changeant le poids ou le matériau des pièces), c'était juste ingérable dans un jeu. Nous avons donc choisi d'y aller avec la simplification unités de compte = unités de règlement. Joan of Arc aura donc un système rappellant celui de Warhammer (dont les auteurs ont à mon humble avis fait un cheminement similaire au nôtre).

En laissant quand même une petite mention de la complexité véritable du système :

Option : Monnaies multiples et changeurs

En vérité, livre, sou et denier sont des monnaies de compte. C’est à dire des unités de valeur utilisées (notamment dans les livres de comptes des négociants) afin de mesurer la valeur des marchandises ou des terres. Chaque région a bien souvent ses propres monnaies, et de nouvelles pièces voient le jour avec chaque couronnement. Les guildes de changeurs connaissent toutefois avec exactitude les alliages utilisées dans les diverses monnaies européennes et sont capables de déterminer un taux de conversion exact (en prenant bien entendu une commission) en fonction de l’origine et du poids des pièces. La monnaie de change la plus régulièrement utilisée entre royaumes est le Florin (une pièce en or frappée à Florence).

Dans Joan of Arc, nous avons adopté un système simplifié en nous basant sur les seules monnaies de compte. Système qui ignore par exemple le fait qu’existaient en parallèle deux livres différentes : la livre parisis (frappée à Paris) et la livre tournoi (frappée à Tours). Mais n’hésitez pas à opter pour un système plus réaliste. Souvenez-vous toutefois qu’au quotidien, les seules pièces réellement manipulées sont celles de petite valeur. Pour prendre l’exemple du Royaume de France au XVe siècle, on peut compter (entre autres) les monnaies suivantes :

  • Une livre tournoi vaut 0,8 livre parisis (monnaie de compte).

  • L’écu, une pièce royale en or, qui vaut environ 3 livres.

  • Le louis, une pièce d’argent qui vaut elle aussi environ 3 livres.

  • Le gros tournoi, une pièce d’argent à peu près équivalente à 1 sou.

  • Le double tournoi, une pièce en billon valant environ 2 deniers.

  • La maille (ou obole), une toute petite pièce valant un demi-denier.

  • Le franc, une pièce en or valant environ 1 livre, inventée à la fin du XIVe siècle afin de stabiliser la monnaie et payer la rançon de Jean II Le Bon.

Passer de l'or au sou

La deuxième partie du problème, c'était de trouver un "taux de conversion" satisfaisant. Pour cela, nous avons tenté de trouver de la documentation sur la valeur de certaines choses à l'époque. Difficiles recherche étant donné que d'une décennie à l'autre, d'une région à l'autre, les prix pouvaient varier considérablement. Cela dit, quelques documents en ligne nous ont permis d'arriver à un taux assez simple et relativement correct de 1 po = 1 sou. Quelques petites règles de trois et des vérifications lorsque c'était possible plus tard, une autre problématique est alors apparue : le prix des armures. Dans le SRD, les armures sont tout simplement bradées. L'une des problématiques de la Guerre de cent ans fut justement que les combattants devaient payer leur armes et armures, et que ces dernières coûtaient les yeux de la tête. D'où souvent l'empressement de la chevalerie française à charger l'ennemi de front, pour des motifs chevaleresques bien sûr, mais aussi et surtout parce qu'il fallait capturer l'ennemi pour que la rançon rentabilise la campagne. Donc, préparez-vous, le harnois blanc, ce ne sera pas pour tout de suite, et pas pour des PJ de niveau 1 content

Compléter le SRD

Enfin, dernier point, le SRD est vraiment orienté sur de l'exploration. Que ce soit la liste des équipements ou des services, des biens ou autres, on avait quelque chose qui ne collait pas exactement à l'ambiance médiévale (sans parler des armes anachroniques et des montures fantastiques). Donc il a fallu repasser dans toutes les listes. L'idée était qu'un MJ dispose de matériel pour rapidement répondre aux éventuelles requêtes des joueurs, qu'il ait une idée globale de la valeur des choses, et pas seulement des armes et armures.

Voici quelques exemples :

Animaux

Animal Prix

Boeuf 15 s
Canard
4 d
Chèvre
1 s
Chien de berger
5 s
Chien de garde
10 s
Lapin
1 d
Molosse
25 s
Mouton
2 s
Oie
8 d
Poulet
1 d
Porc
3 s
Vache
10 s

Marchandises

Prix Marchandises

Aliments

1 d 2 petites pommes, 2 choux, 2 navets ou 2 oignons
3 d
6 oeufs
3 d
1 livre de cerises
4 d
1 livre de figues
6 d 1 livre de fèves ou de pois
6 d
1 poire
10 d
1 L de lait
10 d
1 livre de fromage blanc
2 s
1 L de miel
4 s
1 livre de saindoux
6 s
1 livre de beurre salé
6 s
1 L d’huile d’olive ou de noix

Services

Service Prix

Employé

Non-qualifié 5 d par jour
Qualifié
2 s par jour
Escorte armée
5 s par kilomètre
Soldat
10 s par jour

Primes

Capture d’un loup 20 s
Capture d’un criminel (mort)
30 livres
Capture d’un criminel (vivant)
50 livres

Rançons

Personnel non essentiel 15 livres (matelots, palefreniers, écuyers, etc.)
Experts
30 livres (artisans, navigateur, etc.)
Soldats à pied
50 livres
Chevalier
Selon le statut, jusqu’à 1 000 livres
Prince
Selon le statut, sans limite

Services et taxes

Changeur 2 d par 60 sous échangés
Ferrer un cheval
1 d par fer
Médecin de campagne
10 s la consultation
Médecin d’université
200 s la consultation
Moudre du blé
2 d par 5 livres de farine
Péage (pont, bac ou porte)
1 d par personne ou par cheval, 1 s par charrette, 2 s par chariot
Prostituée
10 d par passe

Services religieux - Indulgences

Misérable -
Pauvre
2 s
Modeste
10 s
Confortable
20 s
Riche
50 s
Aristocratique
200 s

Services religieux - Messes

Messe basse 4 s
Messe chantée
16 s

Bref, c'est toujours le SRD, mais le parfum n'est plus tout à fait le même. Qu'en pensez-vous ?

Ce message a reçu 2 réponses de
  • ephan
  • et
  • Thomas Robert
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Thomas Robert

Excellent.

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Bon, personnellement j'adore la direction artistique de l'ouvrage.

Cette liste donne vraiment un cachet d'authencité au cadre du jeu. Comme la magie, le surnaturel, seront en filigrane, voire carrément optionnels, on ressent vraiment la difficulté, la dureté, la pauvreté de la vie de l'époque. Un paysan qui se fait voler un boeuf sur le chemin du marché où il est censé le vendre (pour peu qu'il puisse en posséder un, je n'en sais rien), on voit que ça fait un manque à gagner de 15 sous et que ça peut vraiment le mettre dans une situation particulièrement précaire. Que sera prêt à faire le perso de niveau 1 dont le père se retrouve dans cette situation ?

En terme d'immersion, difficile de faire mieux qu'en situant les histoires au coeur de l'Histoire, puisque chacun dispose d'un champ de connaissance plus ou moins étendu de la vie de l'époque, ou au moins s'en fait une idée, mais qui sera considérablement soutenu, étoffé, par ce type de conversion des listes Fantasy vers le Moyen Age pur.

Sur ce point, j'attends avec impatience l'exploitation de la religion, par le biais du dogme, de l'organisation, mais aussi des mystères et du surnaturel.

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Mais ce ne sont que des monnaies de compte, alors on a voulu un peu explorer plus loin, et là , ça devient vite le chaos.

Ah ! ah ! tu m'étonnes ! J'en suis revenu : des heures d'épluchage de textes sur les monnaies dans la France médiévale, des comptes d'apothicaire avec des quarts de pièces et tout le bordel des alliages et des conversions ! joyeux

Bref, c'est toujours le SRD, mais le parfum n'est plus tout à fait le même. Qu'en pensez-vous ?

Du coup, je pense que c'est un bon compromis, bien joué. plaisantin Et c'est chouette d'avoir collé les rançons aussi. ^^

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Excellent compromis, et il n'y a pas que Warhammer qui a fait le même choix, il y a aussi Pendragon, qui a exatement le même système monétaire 1£ = 20 sous (ou sols) = 240 derniers (denarii). Ça me parle complètement !

Pendragon reste à mon humble avis une référence en terme d'immersion quand on parle de JdR Historico-Fantastique.

PS : pour le coup, on pourra comparer les tables d'équipement de Pendragon à celles de JoA...

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pour de la culture G pour rôliste à peu de frais, il y a cet E-zine qui est pas mal du tout http://utopies.zine.free.fr/ (le numeros deux).

Thomas Robert

que le commerce local passait quand même à de rares exceptions près encore par du troc

du troc ou de la prise sur le tas, ça se faisait beaucoup dans les villages moyen ageux, où il y avait beaucoup de bien commun (moulin, four,...) et de partages des biens de néscéssié courante dans les villages.

Présenter le «communisme» villageois et l'entr'aide dans les villages peut permetre de faire un fort contrastre en terme d'ambiance avec la ville et la noblesse d'une part, et avec avec la société actuelle d'autre part pour permetre le dépaissement du joueur. Le villagois du Moyen Age n'a pas le luxe d'être individualiste et de ne pas aider son voisin car si le village tombe, il tombe avec. (et ça permet de donner au jeu un petit message politique, comme pour Pavillon Noir et je c'est ce choix de Renaud Mauroy, de présenter les pirates comme des révoltés, qui m'avait embalé pour backer PN2 à l'époque. bon, après, les américains risquent de penser que les villageois sont des méchants parce qu'ils partagent leur moulin et aident gratuitement Jacques a reconstruire sa maison qui a brulé dans un incendie)

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Dans l'excelent "Batard de Kosigan" (que je recommande chaudement ainsi qu'un des intervenants précedent), l'auteur nous donne a peu pès la même chose pour les conversion monetaires (gros, sous , avec une correspondance en Euro ...

1 denier = 4 euros
1 gros, sol ou sou = 50 euros
.....
1 écu d’or, florin ou mark 3 livres parisis = 3 000 euros

c'est pratique de savoir qu'un ecu correspond a 3000 euros ... ca donne une idée de ce que représente un don de 10 écus ...

même si il n'y a pas équivalence stricte : certains biens actuel sont plus ou moins cher en valeurs, un vache coute 10 s, c'est a dire 500€, actuellement une vache coute 1500€ (+-) donc ca n'est pas identique mais pas délirant.

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En relisant la liste de prix, outre le tarif des prostituées qui ne vient pas du SRD, je remarque aussi les ordres de grandeur pour les rançons, et je trouve que c'est quelque chose de très intéressant.

Au moyen âge, les morts sur les champs de bataille n'était pas si nombreux qu'on pourrait le penser(*). Bien sûr on ne fait pas d'omelette sans casser d'oeufs, mais pour un guerrier, la probabilité de mourir lors d'une bataille était inférieure à celle de se faire capturer, surtout si on est un chevalier, car la rançon d'un chevalier, ça rapporte vraiment beaucoup (jusqu'à 1 000 £). 1 000 £, c'est juste ÉNORME ! De quoi se payer 24 000 passes chez Rosie la fougueuse !!! Bon bien sûr quand tu as autant de richesses, tu va plutôt voir une courtisane de luxe, mais bon vous avez saisi l'idée...

D'où ma question : Dans les règles SRD de base, un PJ qui tombe à 0 pv a des chances non-négligeables de mourir. Et c'est encore pire pour un PNJ !

Quelles seront les adaptations aux règles pour aller dans ce sens ? Est-ce qu'un PNJ à 0 pv pourra encore se rendre ou être juste inconscient ?

(*) : Une exception notable est la célèbre Bataille d'Azincourt (1415), l'armée Anglaise étant en infériorité numérique, elle n'avait pas les moyens de garder les prisonniers, et l'ordre a été donné de tuer les prisonniers. Les soldats Anglais ont éxécuté l'ordre à contre-coeur, non pas par charité chrétienne (enfin peut-être pour quelques soldats quand même), mais surtout parce qu'ils étaient déçu de renoncer à une juteuse rançon.

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(*) : Une exception notable est la célèbre Bataille d'Azincourt (1415), l'armée Anglaise étant en infériorité numérique, elle n'avait pas les moyens de garder les prisonniers, et l'ordre a été donné de tuer les prisonniers. Les soldats Anglais ont éxécuté l'ordre à contre-coeur, non pas par charité chrétienne (enfin peut-être pour quelques soldats quand même), mais surtout parce qu'ils étaient déçu de renoncer à une juteuse rançon.MRick

En fait, ce n'est pas du à l'infériorité numérique, mais à une tentative d'attaque du camp anglais par un groupe de paysans. Henri V craint une contre-attaque française qui libèrerait l'ensemble des prisonniers, et ordonne donc de les exécuter.

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  • MRick