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Croisière dans les ténèbres 18/02/2016

 

Dernier supplément Pathfinder mensuel en date, Forêts ténébreuses compile deux modules partageant un décor similaire : une forêt sombre et ténébreuse.

Cette seconde preview de Forêts ténébreuses vous propose simplement de découvrir l'histoire de Baie sanglante, la cité dans laquelle débute l'aventure « Croisière dans les ténèbres », un module de niveau 4 qui plongera les PJ au coeur d'une forêt dangereuse...

Bonne lecture !

 


 

Baie-sanglante est une communauté unique située à la lisière entre la civilisation et une vaste étendue sauvage et inconnue. Sur les cartes, la zone qui s’étend à l’est de Baie-sanglante est généralement représentée par un blanc intitulé l’Étendue du Mwangi. La ville en elle-même est très originale car elle est construite sur des échafaudages et des passerelles qui s’élèvent de plus en plus haut dans l’enchevêtrement des racines d’un gigantesque palétuvier d’une espèce spécifique au Mwangi. Cette position défensive lui permet de se protéger contre les raids des sauvages de l’intérieur de la région mais aussi contre ceux des sauvages « civilisés » des Chaînes, au nord. La ville tire son nom de la couleur rouge sang que le fleuve Vanji adopte à son embouchure.

Baie-sanglante est à la fois un refuge de pirates et un port commercial libre. La ville a été fondée par de grands capitaines des Chaînes qui, devenus trop vieux pour la piraterie, ont compris que, au crépuscule de leur vie, le commerce légitime était le meilleur moyen de s’enrichir. Depuis, Baie-sanglante est devenu un terrain neutre. Les passerelles élevées grouillent d’équipages pirates comme de marins venus à bord des navires marchands de tous horizons. Chaque nuit voit son lot de bagarres et de coups de couteaux mais on n’assiste jamais à de véritables guerres des gangs. Tant que les bateaux et leur cargaison restent au port, ils sont généralement à l’abri des pirates. Mais une fois qu’ils reprennent la mer, ils perdent la protection dont ils bénéficiaient à Baie-sanglante.

La ville est vaguement dirigée par le grand Amiral de la mer de la Fièvre (comme il se nomme), un fonctionnaire élu à vie parmi les héritiers des pirates fondateurs. Mais les riches consortiums marchands qui font halte à Baie-sanglante ont plus que leur mot à dire quant au choix de l’Amiral et à la façon dont il gère la ville. En pratique, le grand Amiral se contente d’entretenir une maigre milice mal entraînée afin de protéger la ville contre les habitants de la jungle, de maintenir un niveau de violence acceptable dans les rues et de s’assurer que la place du Libre échange reste ouverte au commerce. Quoi qu’il arrive. En échange de ces services, les négociants et les habitants de Baie-sanglante paient une modeste taxe mensuelle à l’amirauté.

Les habitants basanés de l’Étendue du Mwangi forment la moitié de la population de Baie-sanglante : des corsaires et des commerçants qui habitent dans les jungles côtières occidentales depuis des siècles. Le reste de la population compte toutes sortes de races et d’ethnies humaines venues des royaumes du nord pour prélever leur part de richesses dans les trésors de la jungle. Les tensions sont vives entre les diverses races et groupes ethniques mais la plupart du temps, les habitants de Baie-sanglante ne laissent pas le sang interférer avec le profit.

 

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